Correspondance de la mairie de Dijon: extraite des archives de cette ville, Volume 2J.-E. Rabutot, 1870 - Dijon (France) |
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advertir advis affaires affin asseuré aultres aussy Auxonne avez avoit avons baron Beaune Bernard besoing Bourgogne capitaine catholiques ceste ceulx CHABOT-CHARNY Chalon CHARLES DE LORRAINE Charny chose commandement comte conservation debvoir députés dict digne garde duc de Mayenne duc de Nemours ÉCHEVINS ennemys envoyer escript estat esté estoit estre faict fault Fervaques Franchesse garnison gouvernement Grancey Guillaume de Saulx heureuse et longue humble j'ay jour l'estat lettres lieutenant général MAGISTRATS DE DIJON maire et eschevins mairie de Dijon mandé maréchal d'Aumont mayeur et eschevins ment mesme Messieurs les maire Messieurs les vicomte Monseigneur Monsieur MONTMOYEN Navarre Nemours ORIGINAL PAGNY party peult plaist priant Dieu prince province qu'ilz quoy receu Roy de Navarre royaulme Saint-Jean-de-Losne sainte et digne seigneur Sennecey sera seroit service seureté sieur soubz Tavannes Tintry tost tousjours treuver troupes Vaugrenant Verdun vicomte mayeur Vitteaux voz bonnes
Popular passages
Page lxviii - J'ay aussi , par plusieurs despesches , mandé à M. le duc de Nevers que si les forces de Champagne et de ce païs estoient jointes près de luy, nous pourrions executer quelque effet sur ladicte armée ; j'en attends sa resolution. Si mon frere, le vicomte de Tavannes, y vient à la guerre, comme il en est le bruit, je la luy feray si ferme que mes mal-veillans n'auront point subject de me blasmer. Les partialitez forgées en cedict...
Page 462 - ... retournez à Suresne, l'assemblée fut assinée au lundy dix-septiesme. Ceux de l'union s'y rendirent. En ceste seance M. l'archevesque de Bourges , ayant un visage joyeux, dit avec beaucoup d'affection : « Messieurs, nous avons donné compte là où nous devions de ce qui s'est passé entre nous sur le subject pour lequel ceste assemblée a esté faite, depuis le commencement que nous entrasmes en conference aux derniers erremens où nous en sommes demourez.
Page 464 - ... du tout vaines; il est fleschy jusques là d'en vouloir prendre les moyens, et mesme tels que ses principaux serviteurs luy ont voulu conseiller. En quoy ils ont voulu faire l'honneur à nostre sainct...
Page 463 - ... d'avantage est recompensé de quelque bon succez au principal , comme nous le desirons et l'esperons. Nous ne voulons vous celer, messieurs, selon ce que nous ont rapporté lesdits sieurs de Schombert et Revol , que les termes par lesquels vous avez conclu vos premiers progrez n'ayent esté trouvez un peu estranges, veu la fin pour laquelle nous sommes assemblez, et que la premie're conception que...
Page 18 - De ce faire, vous avons donné et donnons plain pouvoir, puissance, auctorité, commission et mandement espécial, mandons et commandons à tous nos...
Page 44 - Lude, chevalier de mon ordre, capitaine de cinquante hommes d'armes de mes ordonnances, et mon lieutenant général en Poictou. 160. — 28 août 1680. — Lettre de M. du Lude au roi Henri III. (Fonds fr. 15563, f...
Page 466 - Et neantmoins, pour ne vous engaiger plus avant que ce que vous voudrez en ce qui touche le Roy, vous pourrez reserver, s'il vous semble, que rien ne sera effectué de ce qui seroit accordé jusques à ce qu'il soit catholique. Et, à fin que son instruction ne soit interrompue ny empeschée pour les occupations de la guerre, Sa Majesté est contente d'accorder une...
Page 466 - ... a esté faicte et accordée. Nous n'entendons vous presser d'entrer pour ceste heure en traicté avec Sa Majesté; mais il nous semble que vous le pouvez et devez faire sans scrupule avec les princes et...
Page 486 - Messieurs, Messieurs de la ville de Dijon. Messieurs. Je ne veux pas pour votre oubliance manquer à mon debvoir. Ce m'est honneur de vous escrire souvent et croirois estre honoré si l'on se souvenoit de la fidélité de mes services. Mais puisque vous le jugés aynsy et que depuis le changement du magistrat je ne mérite vos souvenances, je le treuveray bon avec vous, et pour cela je ne changeray ma façon accoustumée de vous advertir de Testât de nos affaires.