Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison; une très-faible garde était à la porte; j'entre Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mon cœur. Je vois deux officiers revêtus de leurs écharpes : je vois trois hommes... Histoire de la Révolution française - Page 344by Adolphe Thiers - 1824 - 372 pagesFull view - About this book
| France - 1861 - 828 pages
...la Commune ; je me rends de là à » l'Hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Des » citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit...spectacle ne s'effacera de mon » cœur ! Je vois deut officiers municipaux revêtus de » leur écharpe ; je vois trois hommes tranquillement assis... | |
| Louis Marie Prudhomme - France - 1797 - 654 pages
...même-tems que tout .est fini. Je me rends à l'hôtel de la Force avec plu;sieurs de mes collègues. Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mon cœur...officiers 'municipaux , revêtus de leur écharpe , avec trois autres hommes assis devant une table , avec les registres . d'écrous , appelant les -prisonniers... | |
| Louis Marie Prudhomme - France - 1797 - 280 pages
...même-tems que tout est fini. Je me rends à l'hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mon cœur ! Je vois deux officier! municipaux , revêtus de leur écharpe , avec trois autres hommes assis devant une table,... | |
| Guillaume N. Lallement - Constitutional history - 1820 - 536 pages
...collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison ; une très faible garde était à la porte; j'entre... Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mou cœur ! Je vois deux officiers municipaux revêtus de leur écharpe; je vois trois hommes tranquillement... | |
| Guillaume N. Lallement - Constitutional history - 1820 - 556 pages
...conseil de la commune ; je me rends de là à l'hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison ; une très faible garde était à la porte ; j'entre... Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mon cœur... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1821 - 550 pages
...conseil de la commune ; je me rends de là à l'hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit...j'entre.... Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mou cœur ! Je vois deux officiers municipaux revêtus de leur écharpe ; je vois trois hommes tranquillement... | |
| Jacques-Antoine Dulaure - France - 1823 - 584 pages
...la commune; je me rends de-là à » l'hôtel de la Force avec plusieurs de mes col» lègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient » la rue qui...tranquillement assis devant » une table , les registres d'écrou ouverts et sous » les yeux, faisant l'appel des prisonniers; d'au» tres hommes les interrogeant... | |
| Adolphe Thiers - France - 1828 - 356 pages
...conseil de la commune ; je me rends de là à l'hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison ; une très faible garde était à la porte : j'entre Non; jamais ce spectacle ne s'e£Facera de mon coeur!... | |
| René Levasseur, Francis Levasseur - France - 1829 - 458 pages
...conseil de la commune; je me rends de là à l'hôtel de la Force , avec plusieurs de mes collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit...ne s'effacera de mon cœur. Je vois deux officiers revêtus de leurs écharpes : je vois troi* hommes tranquillement assis devant une table , les registres... | |
| René Levasseur - 1829 - 838 pages
...conseil de la commune; je me rends de là à l'hôtel de la Force, avec plusieurs de mes collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit...ne s'effacera de mon cœur. Je vois deux officiers revêtus de leurs écharpes : je vois trois hommes tranquillement assis devant une table, les registres... | |
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