Éloge historique et funèbre de Louis XVI, roi de France et de Navaree: précédé des fastes des Bourbons; suivi de la déclaration de s. m adressée a tous les Français a sa sortie de Paris, le 20 juin 1791. par m. Montjoye |
Common terms and phrases
Agis aimable aimé âme assemblée assemblée nationale auguste avaient bonheur Bourbon c'était calomniateurs capitale château cher ciel Cléry cœur commissaires consolation constitution constitutionnels convention nationale courage Courbevoie crime Dauphin décrets demande dernière Desèze devait dire donner douleur duc de Berry enfans ennemis états-généraux eût factieux famille fidélité force fût garde nationale gouvernement haine Henri Henri IV hommes infortuné Jacques Roux jamais jeter jeune prince jour journée jugement justice l'assemblée nationale l'auguste laisser larmes législative long-temps Louis IX Louis n'a Louis XIV Louis XVI Majesté Malesherbes malheureux ment ministre monarque mort n'avait n'en n'était n'eût nation officiers paroles père personne Pétion peuple philosophes porte postérité pouvait premier prendre présente princesse prison qu'un règne religion répond Louis reste rien rois royale royaume s'était s'il sacrifice sang sentimens sentiment serait seul siècle sorte sujets Temple tion tour du Temple Tronchet trône trouvait Tuileries vérité vertueux vertus voilà voulait yeux
Popular passages
Page 261 - Dans la situation où sont encore les choses , je craindrais de les compromettre si je parlais plus explicitement; mais je recommande spécialement à mon fils de chercher les occasions de pouvoir les reconnaître. Je croirais...
Page xxvii - Fils et père de deux de nos plus grands rois, il affermit le trône encore ébranlé de Henri IV, et prépara les merveilles du règne de Louis XIV.
Page 277 - ... à la Convention nationale cet appel par tous les moyens qui seront en leur pouvoir, et de demander qu'il en soit fait mention dans le procès-verbal de la séance de la Convention.
Page 311 - L'esprit des clubs domine et envahit tout; les mille journaux et pamphlets calomniateurs, incendiaires, qui se répandent journellement , ne sont que leurs échos , et préparent les esprits de la manière dont ils veulent les conduire. Jamais l'assemblée nationale n'a osé remédier à cette...
Page 305 - On lui a laissé l'usufruit de quelques-uns des domaines de la couronne, avec plusieurs formes gênantes pour leur jouissance. Ces domaines ne sont qu'une petite partie de ceux que les rois ont possédés de toute ancienneté, et des patrimoines des ancêtres de Sa Majesté, qu'ils ont réunis à la couronne. On ne craint pas d'avancer que, si tous ces objets étaient réunis, ils dépasseraient de beaucoup les sommes allouées pour l'entretien du roi et de sa famille, et qu'alors il n'en coûterait...
Page 315 - Français , et vous surtout Parisiens, vous habitans d'une ville que les ancêtres de Sa Majesté se plaisaient à appeler la bonne ville de Paris, méfiez-vous des suggestions et des mensonges de vos faux amis ; revenez à votre Roi...
Page 315 - ... au milieu de vous , lorsqu'une Constitution qu'il aura acceptée librement , fera que notre sainte religion sera respectée, que le gouvernement sera établi sur un pied stable , et que , par son action , les biens et l'état de chacun ne seront plus troublés , que les lois ne seront plus enfreintes impunément , et qu'enfin la liberté sera posée sur des bases fermes et inébranlables. A Paris , le 2o juin 1791. Signé Louis.
Page 92 - J'ai appris les malheurs arrivés à mon » occasion : j'en suis pénétré. On m'apporte en ce » moment ce que le roi me donne tous les mois » pour mes menus plaisirs : je ne puis disposer que » de cela ; je vous l'envoie. Secourez les plus mal
Page 302 - ... nullité dont le défaut absolu de liberté entache toutes les démarches qu'il a faites depuis le mois d'octobre 1789, si cet espoir eût été rempli : mais aujourd'hui que la seule récompense de tant de sacrifices est de voir la destruction de la royauté, de voir tous les pouvoirs méconnus, les propriétés violées, la sûreté des personnes mise partout en danger, les crimes...
Page 282 - La Convention nationale déclare nul l'acte de Louis Capet, apporté à la barre par ses conseils, qualifié d'appel à la nation du jugement contre lui rendu par la Convention ; défend à qui que ce soit d'y donner aucune suite , à peine d'être poursuivi et puni comme coupable d'attentat contre la sûreté générale de la république.