Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 1Baudouin frères, 1827 - Bible |
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Achille Agamemnon anciens Aristote assez auteurs beau beautés Boileau caractère César chant chose Cicéron Clytemnestre combat critique d'Aristote d'Homère défauts Démosthènes Despréaux diction dieux dire discours dit-il doit donner dramatique écrivains Énée Eschyle esprit Étéocle Euménides Euripide eût fable Fénélon génie genre gloire goût Grecs Harpe hémistiche héros Hésiode heureux Homère homme idées imité ISMENE j'ai jamais juger Jupiter l'art l'auteur l'autre l'Énéide l'épopée l'esprit l'harmonie l'Iliade l'imagination l'imitation l'Odyssée langue latin long-temps Longin Lucain lui-même madame Dacier malheur ment mérite mieux modèle morceau mots Motte nature Oreste ouvrages paraît parler passion Patrocle pensée personnages Pharsale philosophie phrase pièces pitié plaisir poésie poëte poétique Pompée premier principe prose qu'Homère qu'un Quintilien Racine raison regarder reproche reste rhythme rien s'il sait scène semble sentir serait seul siècle Sophocle sorte souvent style sublime succès sujet talent teur théâtre tion traduction tragédie traits trouve Ulysse vérité veut Virgile Voilà Voltaire vrai
Popular passages
Page 212 - Usez-en. Saluez ces pénates d'argile : Jamais le ciel ne fut aux humains si facile Que quand Jupiter même était de simple bois ; Depuis qu'on l'a fait d'or, il est sourd à nos voix. Baucis, ne tardez point : faites tiédir cette onde : Encor que le pouvoir au désir ne réponde, Nos hôtes agréeront les soins qui leur sont dus.
Page 99 - ... et qui provient ou de la grandeur de la pensée et de la noblesse du sentiment, ou de la magnificence des paroles, ou du tour harmonieux, vif et animé de l'expression; c'est-à-dire, d'une de ces choses regardées séparément, ou, ce qui fait le parfait sublime, de ces trois choses jointes ensemble.
Page 100 - ... dont il fait sentir toute la noblesse par ce tour même d'expression , élève l'âme au-dessus de ses idées ordinaires de grandeur, et qui, la portant tout à coup à ce qu'il ya de plus élevé dans la nature , la ravit et lui donne une haute idée d'elle-même.
Page xxxi - J'avais sur ma table l'Imitation, et l'on m'avait dit que, dans cet excellent livre, je trouverais souvent la réponse à mes pensées. Je l'ouvre au hasard, et je tombe, en l'ouvrant, sur ces paroles : « Me voici, mon fils! Je viens à vous parce que vous m'avez invoqué.
Page 175 - L'ennemi tortueux dont il est entouré. Le sang tombe des airs. Il déchire, il dévore Le reptile acharné qui le combat encore; II le perce, il le tient sous ses ongles vainqueurs; Par cent coups redoublés il venge ses douleurs. Le monstre en expirant...
Page 51 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 130 - C'est là le sort heureux des vrais fils d'Apollon : ' Tes vers en tout pays sont cités d'âge en âge. Hélas ! je n'aurai point un pareil avantage. Notre langue un peu sèche, et sans inversions, Peut-elle subjuguer les autres nations? Nous avons la clarté, l'agrément, la justesse; Mais égalerons-nous l'Italie et la Grèce? Est-ce assez en effet d'une heureuse clarté , Et ne péchons-nous pas par l'uniformité?
Page 33 - ... le beau est le même dans tous les temps, parce que la nature et la raison ne sauraient changer. Des ennemis de tout bien ont voulu tirer avantage de cette vérité pour taxer d'inutilité les discussions littéraires. A les entendre, tout a été dit...
Page 108 - L'enfer s'émeut au bruit de Neptune en furie. Pluton sort de son trône, il pâlit, il s'écrie; II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour...
Page 306 - Parmi nous, au contraire, le poëte ne jouit pas d'un tiers de l'idiome national": le reste lui est interdit comme indigne de lui. Il n'ya guère pour lui qu'un certain nombre de mots convenus...