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XLIX
242
L
251
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257
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263
LIV
265
LV
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LVI
273
LVII
276

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XXXV
192
XXXVI
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XXXVII
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XXXVIII
205
XXXIX
208
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XLIII
223
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XLV
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LVIII
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LIX
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LXXXIII
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LXXXVII
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LXXXVIII
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Common terms and phrases

Popular passages

Page cxxxiv - C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant appelées ni par leur naissance ni par leur fortune au maniement des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours en idée quelque nouvelle réformation...
Page xix - La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Page lxxxvi - C'est en cherchant à instruire les hommes que l'on peut pratiquer cette vertu générale qui comprend l'amour de tous. L'homme, cet être flexible, se pliant dans la société aux pensées et aux impressions des autres, est également capable de connaître sa propre nature lorsqu'on la lui montre, et d'en perdre jusqu'au sentiment lorsqu'on la lui dérobe.
Page lxxxvi - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page i - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page xxxvi - Dieu, dit-il, est le commencement, le milieu et la fin de tous les êtres ; il marche toujours en ligne droite, conformément à sa nature, en même temps qu'il embrasse le monde; la justice le suit, vengeresse des infractions faites à la loi divine. Quiconque veut être heureux, doit s'attacher à la justice, marchant humblement et modestement sur ses pas...
Page cii - Platon parle d'une république fondée sur la vertu , et nous parlons d'une monarchie. Or , dans une monarchie où , quand les charges ne se vendraient pas par un règlement public , l'indigence et l'avidité des courtisans les vendraient tout de même, le hasard donnera de meilleurs sujets que le choix du prince.
Page 16 - le veut , puisqu'elle fait les corps des hommes libres « différents de ceux des esclaves, donnant à ceux-ci « la vigueur nécessaire dans les gros ouvrages de la « société, rendant au contraire ceux-là incapables de « courber leur droite stature à ces rudes labeurs , et « les destinant seulement aux fonctions de la vie civile, « qui se partage pour eux entre les occupations de « la guerre et celles de la paix...
Page 30 - On convint de donner et de recevoir dans les échanges une matière qui , utile par elle-même , fût aisément maniable dans les usages habituels de la vie ; ce fut du fer, par exemple, de l'argent, ou telle autre substance...
Page 212 - ... ils sont politiquement indisciplinables, et n'ont jamais pu conquérir leurs voisins. En Asie, au contraire, les peuples ont plus d'intelligence, d'aptitude pour les arts ; mais ils manquent de cœur, et ils restent sous le joug d'un esclavage perpétuel. La race grecque, qui topograpbiquement est intermédiaire, réunit toutes les qualités des deux autres.

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