| Théodore Vernier comte de Montorient - 1810 - 392 pages
...plus la couture qui les a jointes. Si on me presse , continue-t-il , de dire pourquoi je l'aimois , je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant , parce que c'étoit lui, parce que c'étoit moi. Il ne peut définir la force inexplicable de cette union , que... | |
| Sophie Pannier - French fiction - 1836 - 964 pages
...d'un mélange si uni» versel qu'elles effacent et ne retrouvent plus » la couture qui les a jointes. Si on me presse » de dire pourquoi je l'aimais, je...sens que cela » ne se peut exprimer qu'en répondant « parc* M que c'était lui, parce que c'était moi. »"J » avait je ne sais quelle force inexplicable... | |
| Jean Mamert Cayla - 1839 - 426 pages
...d'un mesi lange si universel , qu'elles effacent et ne retrouvent i plus la couture qui les a jointer. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais , je sens que cela ne se peut exprimer qu en répondant : parce que e'étok Iri , » parce que quec'étoît moij Notts nous cherchions avant... | |
| F T - 1848 - 410 pages
...l'autre d'un mélange si universel, qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointe?. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens...ne se peut exprimer qu'en répondant, " Parce que c'était lui ; parce que c'était moi." Il ya, au-delà de tout mon discours et de ce que j'en puis... | |
| Lyon (France) - 1849 - 800 pages
...de son âme. Kcoutons-le parler lui-même de cette amitié : « Si l'on me presse de dire pourquoy je l'aimais, je sens que cela <• ne se peut exprimer, qu'en répondant : Parce que c'estait lui, parce « que c'estait moy. Il ya au-delà de tout mon discours, de ce que j'en « puis... | |
| Auguste Baron - French literature - 1851 - 598 pages
...Paris, 1818. 8 « Si on me presse, dit Montaigne en parlant de La Boëtie, de dire pourquoi je l'aimois, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : Parce que c'étoil lui, parce que c'éloit moi... Depuis le jour où je le perdis, je ne fais que traîner 'anguissant,... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1856 - 438 pages
...rapidité et l'imprévu de l'amour : « Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, dit Montaigne, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : Parce que c'était lui; parce que c'était moi. Nous nous cherchions avant que de nous être vus... : je crois... | |
| Jean François Payen - 1853 - 180 pages
...redirais-je quelques-unes de ces phrases si touchantes répandues à profusion dans les Essais. « Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, « je sens que cela ne se peut exprimer qu'en dite sant : parce que c'était lui, parce que c'était moi ! » Leur amitié c'était : « Je ne sais... | |
| Jean J. F. Poujoulat - 1856 - 466 pages
...servitude volontaire, est restée comme un charmant souvenir dans la mémoire des hommes : « Si l'on me presse de dire pourquoi je l'aimais , je sens que cela ne peut s'exprimer qu'en répondant : Parce que c'était lui, parce que c'était moi. » Ces paroles sont... | |
| 1857 - 430 pages
...pleura. La France la première. — Si l'on me presse d'expliquer pourquoi je l'aimais, dit Montaigne, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : parce que c'était lui ; parce que c'était moi. Interrogeons la France à l'endroit de son deuil, elle répondra... | |
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