Les origines du système financier actuel |
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14 décembre 16 milliards 18 brumaire 400 millions arrérages assignats banqueroute bons d'arrérages bons de réquisition bons du quart brumaire an VIII budget Caisse d'amortissement caisses publiques Cambon cautionnements citoyens club des jacobins comité des finances commission comptabilité conseil des Anciens conseil des Cinq-Cents Consulat contributions directes Convention créan créanciers création début décret déficit délégations dépenses dette publique Directoire émission faillite fonctionnaires forcé et progressif fortune fournisseurs Gaudin gouvernement grand-livre impôts indirects institution juin l'an VIII l'arriéré l'Assemblée constituante l'émission l'emprunt forcé l'État l'impôt livres loi du 28 loterie mandats territoriaux matrices ment mesure millions d'assignats ministre des finances Mirabeau mois Mollien municipalités nationaux nécessaire Necker numéraire officiel opérations papier-monnaie papiers dépréciés payement peuple porteurs rapporteur réalisa recettes receveurs généraux recouvrement RENÉ STOURM rentes rentiers rentrée ressources revenu Révolution riches rôles ruine septembre 1797 service seulement situation SYSTÈME FINANCIER ACTUEL taxe tiers consolidé tiers mobilisés tion trésorerie valeurs mortes
Popular passages
Page 61 - Ils avaient cependant envahi un ministère, celui de la guerre. Pache le leur avait ouvert par faiblesse, et il avait remplacé par des membres du club tous ses anciens employés. On se tutoyait dans ses bureaux, on y allait en sale costume, on y faisait des motions, et il s'y trouvait quantité de prêtres mariés, introduits par Audouin , gendre de Pache, et prêtre marié lui-même.
Page 15 - De régler et de surveiller tout ce qui concerne, tant la perception et le versement du produit de ces contributions, que le service et les fonctions des agens qui en seront chargés...
Page 46 - L'Assemblée s'empresse de déclarer qu'aussitôt qu'elle aura, de concert avec Sa Majesté, fixé les principes de la régénération nationale, elle s'occupera de l'examen et de la consolidation de la dette publique; mettant dès à présent les créanciers de l'État sous la garde de l'honneur et de la loyauté de la nation française.
Page 46 - Déclare que la dette publique , ayant été mise sous la garde de l'honneur et de la loyauté française , et la nation ne refusant pas d'en payer les intérêts , nul pouvoir n'a le droit de prononcer l'infâme mot de banqueroute; nul pouvoir n'a le droit de manquer à la foi publique , sous quelque forme et dénomination que ce puisse être.
Page 26 - ... mauvaise foi, vous avez entendu naguère ces mots forcenés : Catilina est aux portes de Rome, et l'on délibère. Et certes, il n'y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni Rome... Mais aujourd'hui la banqueroute, la hideuse banqueroute est là; elle menace de consumer vous, vos propriétés, votre honneur... et vous délibérez...
Page 8 - Toutes les contributions et charges publiques, de quelque nature qu'elles soient, seront supportées proportionnellement, par tous les citoyens et par tous les propriétaires, à raison de leurs biens et facultés.
Page 28 - Ces talens si recommandés , et regardés si long-temps comme recommandables , ne feront plus fortune parmi nous. Ils sont finis ces jours de notre enfance. ' C'est d'un plan général, d'un plan régénérateur, que nous avons besoin. Tous les bons esprits seront en état de les juger, si des moyens simples sont présentés dans un langage intelligible. Il n'est plus permis d'en employer d'autres; et désormais...
Page 42 - ... succès; ceux qui espèrent ou favorisent la contrerévolution disent: gardons nos titres de Louis XIII, XIV, XV et XVI, des ci-devant états provinciaux, du défunt clergé, des parlements, des cours des aides et de toutes les autres corporations supprimées, parce que tous ces établissements si chers à nos cœurs peuvent ressusciter, et nous espérons qu'ils ressusciteront; alors, en nous présentant à nos seigneurs, nous...
Page 6 - Tu es riche , tu as une opinion qui nous occasionne des dépenses ; je veux respecter tes propriétés , mais je veux t'enchaîner malgré toi à la révolution ; je veux que tu prêtes ta fortune à la République, et quand la liberté sera établie, la République te rendra tes capitaux. Je...
Page 26 - ... affaiblis ainsi journellement , un discrédit sans exemple et fondé sur les causes les plus réelles , et partout une suite d'alarmes ou de désordres qui multiplient à chaque instant les défiances et les présages funestes. L'avenir nous donne des promesses , mais elles n'influent pas encore sur les opinions du moment.