Histoire des Girondins, Volume 1Furne, 1847 |
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... fanatisme de son idée est tout humain , le froid matérialisme de son siècle enlève à son àme le mobile , la force et le but des choses impérissables . Il meurt en disant : « Enveloppez - moi de parfums et >>> couronnez - moi de fleurs ...
... fanatisme de son idée est tout humain , le froid matérialisme de son siècle enlève à son àme le mobile , la force et le but des choses impérissables . Il meurt en disant : « Enveloppez - moi de parfums et >>> couronnez - moi de fleurs ...
Page 24
... qu'on appelle l'idéal , c'est l'at- trait et la force des religions qui aspirent toujours plus haut qu'elles ne montent ; c'est ce qui produit le fanatisme , ce délire de la vertu . Rousseau 24 HISTOIRE DES GIRONDINS .
... qu'on appelle l'idéal , c'est l'at- trait et la force des religions qui aspirent toujours plus haut qu'elles ne montent ; c'est ce qui produit le fanatisme , ce délire de la vertu . Rousseau 24 HISTOIRE DES GIRONDINS .
Page 25
Alphonse de Lamartine. le fanatisme , ce délire de la vertu . Rousseau était l'idéal de la politique , comme Fénelon avait été l'idéal du christianisme . Voltaire avait eu le génie de la critique , la néga- tion railleuse qui flétrit ...
Alphonse de Lamartine. le fanatisme , ce délire de la vertu . Rousseau était l'idéal de la politique , comme Fénelon avait été l'idéal du christianisme . Voltaire avait eu le génie de la critique , la néga- tion railleuse qui flétrit ...
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... fanatisme du passé : elle admettait les modifica- tions admises par le roi lui - même , et compatibles avec l'inviolabilité du trône et l'action du pouvoir exécutif . De Mirabeau à lui il n'y avait pas loin dans le dogme , mais l'un ...
... fanatisme du passé : elle admettait les modifica- tions admises par le roi lui - même , et compatibles avec l'inviolabilité du trône et l'action du pouvoir exécutif . De Mirabeau à lui il n'y avait pas loin dans le dogme , mais l'un ...
Page 49
... 'était pas restée une lettre morte : elle était devenue en lui un dogme , une foi , un fanatisme . Dans l'âme forte d'un sectaire toute conviction devient secte . Robespierre était le Calvin de la politique ; il cou- I. 4 LIVRE PREMIER .
... 'était pas restée une lettre morte : elle était devenue en lui un dogme , une foi , un fanatisme . Dans l'âme forte d'un sectaire toute conviction devient secte . Robespierre était le Calvin de la politique ; il cou- I. 4 LIVRE PREMIER .
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Common terms and phrases
applaudissements aristocratie armée assemblée avaient Bailly Barnave Bouillé Brissot C'était Camille Desmoulins Champ-de-Mars chevaux citoyens clergé club club des Jacobins cœur comte comte de Fersen constitutionnel cour crime culte Danton décret démocratie députés devait dévouement émigrés ennemis esprit eût factieux factions famille royale fanatisme Fayette femme force foule fuite garde nationale génie Girondins Goguelat gouvernement guerre haine heures Jacobins jour l'Assem l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'empire l'esprit l'Europe l'homme laisser Lameth législatif liberté lois Louis XVI lui-même lution madame Élisabeth mains marquis de Bouillé ment ministres Mirabeau monarchie municipalité n'avait n'était nation noblesse officiers orateurs paroles passé passions patrie patriotes pensée Pétion peuple philosophie politique populaire portes pouvait pouvoir prêtres prince Prusse publique puissance qu'un reine république respect reste Révolution Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould sang secret semblait sentait serait seul sort Stenay talent terreur tion traîtres tribune triomphe trône troupes Tuileries Varennes vices voitures Voltaire voulait
Popular passages
Page 340 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 340 - Alors, et dans ce cas, Leurs dites Majestés l'empereur et le roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 329 - J'espère que Votre Majesté approuvera mes idées, et qu'elle me gardera le secret le plus absolu sur la démarche que je fais auprès d'elle : elle sentira aisément que les circonstances où je me trouve m'obligent à la plus grande circonspection : c'est ce qui fait qu'il n'ya que le baron de Breteuil qui soit instruit de mon secret, et Votre Majesté peut lui faire passer ce qu'elle voudra.
Page 275 - ... loi; d'employer tout le pouvoir qui m'est délégué à maintenir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale constituante, et à faire exécuter les lois. «Puisse cette grande et mémorable époque être celle du rétablissement de la paix, de l'union, et devenir le gage du bonheur du peuple et de la prospérité de l'empire!
Page 189 - Les grands ne nous paraissent grands que parce que nous sommes à genoux... Levons-nous!...
Page 340 - M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe.
Page 181 - Non, Messieurs, il faut ou prononcer sur tous les coupables, ou prononcer l'absolution générale de tous les coupables. Voici, en dernier mot, l'avis que je propose. Je propose que l'Assemblée décrète qu'elle consultera le vœu de la nation pour statuer sur le sort du roi...
Page 442 - ... révolution moderne appelait les gentils comme les « juifs au partage de la lumière et de la fraternité. Aussi « n'y eut-il pas un de ses apôtres qui ne proclamât la paix « entre les peuples. Mirabeau, Lafayette, Robespierre lui« même, effacèrent la guerre du symbole qu'ils présen
Page 158 - France; j'ai bien reconnu, dans ce voyage, que je m'étais trompé et que c'est là l'opinion générale. — Votre Majesté at-elle quelque ordre à me donner ? — Il me semble, reprit le roi en riant, que je suis plus à vos ordres que vous n'êtes aux miens.
Page 416 - ... que si le feu du ciel était au pouvoir des hommes, il faudrait en frapper ceux qui attentent à la liberté des peuples.