Esquisses historiques des principaux événemens de la révolution française: depuis la convocation des États-généraux jusqu'au rétablissement de la maison de Bourbon |
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Page 111
... crié vive le roi ! vive la reine ! à bas la nation ! avaient chanté des chansons inciviques ; qu'ayant témoigné leur ... crie qu'il faut les désarmer ; les Marseillais répondent que , pour cette opéra- tion , il faut les conduire dans un ...
... crié vive le roi ! vive la reine ! à bas la nation ! avaient chanté des chansons inciviques ; qu'ayant témoigné leur ... crie qu'il faut les désarmer ; les Marseillais répondent que , pour cette opéra- tion , il faut les conduire dans un ...
Page 117
... crie d'Epré- » mesnil , j'ai été chéri de ce peuple : il m'a donne » des couronnes : j'étais le plus ferme soutien de » ses droits ; vous voyez comme il me traite1 . » Pétion , soit pressentiment , ne put cacher son » émotion . Ce ...
... crie d'Epré- » mesnil , j'ai été chéri de ce peuple : il m'a donne » des couronnes : j'étais le plus ferme soutien de » ses droits ; vous voyez comme il me traite1 . » Pétion , soit pressentiment , ne put cacher son » émotion . Ce ...
Page 180
... crie à la trahison ; dit qu'on veut livrer la France à Brunswick et envoyer trente mille Parisiens à la boucherie ; invite les Parisiens à ne point s'enrôler , et dit qu'il faut fouler aux pieds les décrets de l'As- semblée nationale ...
... crie à la trahison ; dit qu'on veut livrer la France à Brunswick et envoyer trente mille Parisiens à la boucherie ; invite les Parisiens à ne point s'enrôler , et dit qu'il faut fouler aux pieds les décrets de l'As- semblée nationale ...
Page 238
... crie que la mul- titude arrête les chariots contenant les prisonniers ; alors il revient au galop , trouve le premier chariot entouré par une foule menaçante , et s'écrie : Ne vous déshonorez pas ; laissez agir la justice ; elle vous ...
... crie que la mul- titude arrête les chariots contenant les prisonniers ; alors il revient au galop , trouve le premier chariot entouré par une foule menaçante , et s'écrie : Ne vous déshonorez pas ; laissez agir la justice ; elle vous ...
Page 263
... crie : Robespierre , ne nous dis pas ce que tu as fait ; dis - nous si tu as proposé la dictature . Cette apostrophe reste sans réponse , et Robespierre finit par traiter la dictature de ridicule et par appuyer le projet de loi proposé ...
... crie : Robespierre , ne nous dis pas ce que tu as fait ; dis - nous si tu as proposé la dictature . Cette apostrophe reste sans réponse , et Robespierre finit par traiter la dictature de ridicule et par appuyer le projet de loi proposé ...
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Common terms and phrases
10 août accusés adresse agens armée armes arrêté assemblée avaient Barbaroux bataillons Berchiny Beurnonville Caen canon cent Charlotte Corday château citoyens comité de salut commandant commissaires commission des douze commune conspirateurs constitution Convention nationale Corday crie crimes d'arrestation Danton déclara décret d'accusation demande dénoncé départemens députés dit-il Dumouriez égorger émigrés ennemis événemens faction force garde nationale général guerre habitans heures jacobins jour journaux journée juges juillet juin l'Abbaye l'armée l'Assemblée nationale Lanjuinais lettre liberté Louis XVI Louvet madame Campan madame Roland maire majorité mande Marat Marseillais massacres membres Mémoires ment més mille hommes ministère anglais ministre mort municipalité n'était nation nombre nommé nonville officiers patrie patriotes Pétion peuple place porte poste président prison prison de l'Abbaye prisonniers projet proposition république révolution Robespierre Roland sabre Saint-Méard salle salut public sauver séance sections septembre serait sort succès Suisses suivant tion tribunal tribune troupes trouvait Tuileries vention Voici voulait
Popular passages
Page 323 - La Convention nationale décrète que quiconque proposerait ou tenterait d'établir en France la royauté ou tout autre pouvoir attentatoire à la souveraineté du peuple, sous quelque dénomination que ce soit, sera puni de mort.
Page 336 - Je recommande à mon fils, s'il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses Concitoyens, qu'il doit oublier toute haine et tout ressentiment, et nommément tout ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve. Qu'il ne peut faire le bonheur des Peuples qu'en régnant suivant les Lois...
Page 68 - Majesté, par une proclamation vraiment impolitique dans la circonstance; la situation de Paris, sa proximité des frontières, ont fait sentir le besoin d'un camp dans son voisinage. Cette mesure, dont la sagesse et l'urgence ont frappé tous les bons esprits, n'attend encore que la sanction de Votre Majesté. Pourquoi faut-il que des retards lui donnent l'air du regret, lorsque la célérité lui gagnerait tous les cœurs?
Page 110 - Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents; Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire!
Page 110 - Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats? Ils viennent, jusque dans vos bras, Egorger vos fils, vos compagnes!
Page 214 - Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison ; une trèsfaible garde était à la porte : j'entre.... Non, jamais ce spectacle ne s'effacera de mon cœur ! Je vois deux officiers municipaux revêtus de leur écharpe; je vois trois hommes tranquillement assis devant une table , les registres d'écrous ouverts et sous leurs yeux , faisant l'appel des prisonniers ; d'autres hommes les interrogeant ; d'autres hommes faisant...
Page 227 - Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départemens qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple; actes de justice qui lui ont paru indispensables pour retenir, par la terreur, ces légions de traîtres cachés dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi; et sans doute la nation entière, après la longue suite de trahisons qui l'ont conduite sur les bords de l'abîme, s'empressera d'adopter ce moyen si...
Page 459 - Ce calme imperturbable et cette entière abnégation de soi-même qui n'annoncent aucun remords, et pour ainsi dire en présence de la mort même, ce calme et cette abnégation, sublimes sous un rapport, ne sont pas dans la nature, ils ne peuvent s'expliquer que par l'exaltation du fanatisme politique qui lui a mis le poignard à la main. Et c'est à vous, citoyens jurés, à juger de quel poids doit être cette considération morale, dans la balance de la justice. Je m'en rapporte à votre prudence.
Page 417 - ... ce ne sera pas en vain ; les factieux seront abandonnés des bons citoyens qu'ils abusent... Si vous n'avez pas ce courage, c'en est fait de la liberté. Je vois la guerre civile, qui déjà est allumée dans ma patrie, étendre partout ses ravages, et déchirer la France en petits États...
Page 236 - Delessart , nous vous laisserons emmener les autres : autrement ils périront tôt ou tard, nous irons à la Ménagerie; si nous les laissions aller , on les sauverait encore. Pendant ce temps, la multitude avait fermé la grille de l'Orangerie, de manière que l'avant-garde était toujours séparée du reste de l'escorte. M.