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Dépôt des monumens français ouvert au public.
Muséum des tableaux pareillement ouvert au public.
Télégraphes inventés et adoptés.

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Nouveau calendrier admis par le gouvernement.

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Division de l'année, son commencement, dénomination des

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Durée et époque de l'abolition de ce calendrier.
Mesures révolutionnaires proposées par le comité de salut-
public; réquisition générale; levée de quatre cent mille
hommes; emprunt d'un milliard.

Le général Custine condamné à mort.

503

503,

504

504

La condamnation de ce général autorise celle de plusieurs
autres généraux et de personnes les plus recommandables. 505
Escadre anglaise devant Toulon.

Intrigues mises en œuvre dans cette ville.

Les Anglais entrent dans Toulon.

Embarras que cause la prise de Toulon.

Des manœuvres des puissances étrangères contre le gouver-

nement républicain.

Ib.

506, 507

508

509

509, 510, 511

T. II.

FIN DE LA TABLE DU SECOND VOLUME.

338

Additions et corrections.

Page 5, ligne 5, inperturbable, lisez imperturbable.
Page 11, ligne 13, sous les mains de, lisez sous la main.
Page idem, ligne 21, de nombreuses, lisez d'abondantes.
Page 13, ligne 17, féconder, lisez : développer.

Page 16, ligne 27, éclataient, lisez: apparaissaient.

Page 18, ligne 9, n'était, lisez : n'étaient.

Page idem, ligne 23, de son amitié, lisez : de l'amitié du roi son maître.

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Page 19, ligne 19, l'objet, lisez : l'occasion.

Page idem, ligne 25, janvier, que, lisez : janvier, annonce que. Page 40, ligne 14, dans le même mois, le 20 mars, lisez le 20 du même mois.

Page 83, ligne 16, Legendre, lisez : Huguenin.

Page 84, ligne 10, Legendre, lisez : Huguenin.

Page 86, ligne 16, parlent, lisez : ils parlent.

Page idem, ligne 19, cette dame, lisez : madame Campan.

Page 87, après le mot jardin, retranchez du château.

Page 88, ligne 23, objet celui, retranchez celui.

Page 89, ligne 9, et répandent, lisez : et qui répandent.

Page 113, ligne 23, elle peint, lisez : il peint. Même ligne, elle tend, lisez : il tend.

Page 125, après la ligne 14, ajoutez: ce fut M. Dejoly, ministre, qui détermina le roi à retenir aux Tuileries comme ôtage.

Page 132, ligne 10, poste qui gardait le Pont-Tournant, lisez : au poste du Pont-Tournant.

Page 133, ligne 28, Monmorin, lisez Montmorin.

:

Page 138, ligne 8, déchéance, eh bien! que l'assemblée la prononce donc, ajoutez cette observation :

M. Dejoly, alors ministre, acteur dans ces scènes

d'alarme, en donne le récit, dans le Mémoire qu'il a composé en 1792 sur la journée du 10 août. Les paroles qu'on lui attribue ici ne s'y trouvent pas. Il m'a assuré de plus ne les avoir point prononcées ; je me fais un devoir de rapporter sa dénégation.

Page 141, retranchez le premier paragraphe, et après le second paragraphe, ajoutez ce qui suit:

Cette députation, composée de neuf membres, chargea un d'eux (le député Paganel) de haranguer cet homme menaçant dont la stature était colossale, et qui, à la tête d'une troupe d'hommes, s'était placé sur le perron de l'escalier du jardin des Tuileries, qu'il fallait monter pour arriver à la terrasse des Feuillans et de-là dans le lieu des séances. Armé d'un sabre nu, il semblait s'opposer à l'approche du roi et de son cortége. M. Paganel, au nom du corps législatif, parla à cet homme de l'inviolabi-. lité du roi, du respect dû à l'Assemblée nationale et des conséquences graves qui résulteraient d'un combat donné à ses portes. Cet homme, touché, descendit du perron, embrassa Paganel, se plaça au-devant du roi et favorisa sa marche. Ce fut alors qu'il saisit le prince royal, l'assit sur une de ses vastes épaules, et le montra au public. Son action fit cesser les murmures, et le roi ainsi que la députation purent sans obstacles entrer dans la salle.

Cet homme, appelé Rocher, n'était point un sapeur, mais un militaire en uniforme, portant deux épaulettes. Lorsque la députation rencontra

Louis XVI, M. Roederer ne l'accompagnait plus. (Détails fournis par M. Paganel acteur dans cette scène.)

Page 237, ligne 27, parcourent plusieurs rues, lisez : passent par les rues qui devaient les mener à la Ménagerie; ils sont, etc. Page 245, ligne 18, trois cent mille têtes, lisez deux cent mille têtes.

:

Page 254, ligne 15, dans la journée du 19 et dans une partie de la journée du 20, lisez dans les journées du 19, du 20 et d'une partie de celle du 21.

:

Page 261, ligne 2 de la note, après les mots qu'en projets, mettez un point.

Page 265, ligne 19, après les mots n'aboutiront à rien, mettez un point.

Page 268, ligne 7, qu'il fallait s'élever, lisez qu'il fallait se

récrier.

Page 272, ligne 14, Paris donna à la rue et à la place Dauphine le nom de Lille, lisez Paris donna le nom de Lille à la rue de Bourbon.

:

Page 286, ligne 27, la donna le 20 janvier, lisez la donna le 22 janvier.

Page 287, ligne 9, d'éclairer l'opinion de leurs habitans, lisez : d'y éclairer l'opinion.

Page 299, ligne 7, cacher ses actes, retranchez ces mots ses actes.

Page idem, ligne 21, dans le nord; mais il ne put, lisez : mais ce député ne put.

Page 301, ligne 2, demandaient, lisez : demandèrent.

Page 305, ligne 17, le prièrent, lisez : ils le prièrent.

:

Page 341, ligne 6, du Palais-Royal, lisez au Palais-Royal.
Page 352, ligne 17, retranchez (Pitt.)

Page 365, ligne 11, effacez ces mots : sur la raison.
Page 391, ligne 10, plus exercés, lisez : plus influens.

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