1690. Et recenter fet que fous cette caquoque eft confit mata a permultis Europa Univerfitatibus, quæ ex facto confultæ ita refponderunt, uti videre eft ex libello publicè edito à Principe Noffovicous Sige nehfiy cujus eft ti tulus, vis non jus. hu pura ve 2 arebane men Francnibre al 2008 Se condition. Or, que des enfans qui n'ont là été mis ou inftituez que condition nellement, n'ayent pas été appellez, fur tout en Ligne Collaterale, cela parle affez de foi-même ce qui auffi fut le fentiment & la défenfe dont fe fervit le même Prince Fre deric Henri, lors qu'il fit la Transac, tion de l'Ap 30093 H 2 & & cela a auffi été ainfi décidé recem ment dans plufieurs Univerfitez del'Eu . rope, qui ayant été i confultées fur le fait, ontrépondu conformément à cela,comme on le peut voir 1cl dans un petit écrit, mis au jour par le Prince de Naffau rico Siegen, dont le tiwe eft Vis non Jus." -La feconde confidération ne paroît pas moins claire, fi l'on fait attention aux termes de ladite Tranfaction folem nelle; car il est évi dent par là qué les trois fils du Prince Guillaume prémier, qui étoient eux-mêmes compris dans la condition, tranfigerent, après la Secundum non minus perfpicuè apparet, inspectis tantummodo verbis prædictæ folennis tranfactionis, Quippe ex quibus patet, inter tres Pincipis Wilhelmi primi, qui ipfi crant pofiti in conditione, tranfactum effe poft obitum Parentis ex certa & plena fcien Sitia, filios mort Renati, mort de leur Pere, & ce, de certaine & pleine fcience, & fur leur foi & honneur, de tous les différens quiconcernoient la fucceffion Paternelle, & fpécialement auffi do fufdit Fideicommis du Prince René, & entre autres dans ces termes, que chacun d'eux pourroit difpofer & ordonner à fa vo• lonté des biens qui leur étoient affignez par ce partage, & qu'ancun n'auroit à femêler dans les biens des autres, & ne ut anus quisque eorum de bonis, fibi per divifionem ibi adfignatis libere poffet difponere, ordinare quoquo -modo vellet, & nemo bonis alterius aliquo -modo fe immifceret, nec fuper ea jus ullum fibi vindicaret. Qua tranfactione illud fi deicommiffumPrin-pourroit s'y attibuer cipis Renatieviden-aucun droit. Par ter penitus eft re- laquelle Tranfacjectum. ubon Quod tion, ce Fideicommis du Prince René eft évidemment Quod attinet fe- : Quant à ce qui cundo fideicommiffum ex teftamento Principis Wilhelmi primi, vix eft credibile, Boruffie Re regarde, en deuxiéme lieu, le Fideicommis porté par le Tettament du PrinceGuillaume premier, gem palam de eoil n'eft pas à croire amplius memoratu- que le Roi de Pruffe rum. Et, fi fieret, s'avife d'en parler ad refellendum illud d'avantage publitria breviter notan quement; Et ficedá forent, & utique la arrivoit,ilm'yaufingula etiam ad hoc roit, pour le refuter, fufficerent. Primo, qu'à remarquer ces tale fideicommiffum trois chofes, dont quoque neutiquam l'une seule em partiibi reperiri. Secun- ovculier peut même do, torumitud fuffire. Premiéreprætenfum Teftament, qu'untel Fideïmentum fuifle plane commis ne s'y trounullum & invali-ve en aucune madum, tum quia fuit - niére.Secondement, apertum ab ipfo Te-que ceTeftamenten ftatore diu ante ejus toutes les parties fut obitum,& nunquam rendu entiérement rurfus obfignatum, tum etiam quia fuit ruptum per po nul & non valable, tant par ce qu'il fut ouvert par le Tefta teur tum. fterius Teftamen Et tertio, quia etiam per præ dictam folennem Tranfactionem anni 1609. fpecialiter a&tum eft de Patris difpofitione, proinde omnis dif putatio fuper ea, que perfpicue, ac fuper fideicommiffo Principis Renati, prorfus eft fubla 7 teur même, longtems avant la mort, & qu'il ne fut depuis, jamais reca cheté; que parce auffi qu'il fut caffé par un autre pofle acrieur; Et en troifiémelieu, parce que. par la fufdite Trantaction folemnelle de 1609, cette difpofition Paternelle a fpécialement -Et quod attinet tertio fideicommiffum ex teftamento Principis Frederici été débatue & annullée, Henrici, animadver- ment du Prince Fre rendum eft, præ deric Henri; præ-deric il eft à dicta H 4 ré. |