Mercure de France au dix-neuvième siècle1775 |
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Page 10
... Dieu de nos fens . La loi qu'il nous impofe eft la feule adorée . On s'abreuve à longs traits dans fon urne facrée . Que la tendre Euphrofine & les touchantes Sœurs , Inclinent pour Chloé plus que pour les grandeurs ; Une Dane titrée au ...
... Dieu de nos fens . La loi qu'il nous impofe eft la feule adorée . On s'abreuve à longs traits dans fon urne facrée . Que la tendre Euphrofine & les touchantes Sœurs , Inclinent pour Chloé plus que pour les grandeurs ; Une Dane titrée au ...
Page 33
... de fortune aufli éminent , par des moyens auffi bas . « Jeune homme » lui dit un vieillard , le fumier fait pouf fer les rofes , & fouvent Dieu le ferr دو 30 By » du vice pour faire triompher la vertu . » AVRIL . 1775 . 33.
... de fortune aufli éminent , par des moyens auffi bas . « Jeune homme » lui dit un vieillard , le fumier fait pouf fer les rofes , & fouvent Dieu le ferr دو 30 By » du vice pour faire triompher la vertu . » AVRIL . 1775 . 33.
Page 37
... Dieu de Paphos , pour prix de ma constance , Adoucis s'il le peut fa fiere indifférence . Sous le chevet de P *** Vas dépoler ce volume chéri . page : ? Des plus belles chansons fais lui noter la D'Imbert ou de Dorat les chants ...
... Dieu de Paphos , pour prix de ma constance , Adoucis s'il le peut fa fiere indifférence . Sous le chevet de P *** Vas dépoler ce volume chéri . page : ? Des plus belles chansons fais lui noter la D'Imbert ou de Dorat les chants ...
Page 52
... En le fuyant , fans s'en douter , On le retrouve fur fa route . Auffi le petit Dieu lutin , Dont le croyait bien éloignée La dédaigneuse Renommée , De nouveau barra fon chemin . 32 MERCURE DE FRANCE : VERS à Madame de Montanclos, Auteur ...
... En le fuyant , fans s'en douter , On le retrouve fur fa route . Auffi le petit Dieu lutin , Dont le croyait bien éloignée La dédaigneuse Renommée , De nouveau barra fon chemin . 32 MERCURE DE FRANCE : VERS à Madame de Montanclos, Auteur ...
Page 89
... Dieu , de la néceffité de la marale & de notre im- mortalité . Les raifonnemens qu'il a em ployés ne mènent point au dogme trifte & froid de l'indifférence . L'indifférence , comme l'obferve très bien notre Philo- fophe , eft le ...
... Dieu , de la néceffité de la marale & de notre im- mortalité . Les raifonnemens qu'il a em ployés ne mènent point au dogme trifte & froid de l'indifférence . L'indifférence , comme l'obferve très bien notre Philo- fophe , eft le ...
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Common terms and phrases
affez ainfi Alcoran Apollonius auffi avoient avoit beauté befoin bonheur Buc'hoz bufte c'eft c'eſt c'étoit caufe charmes chofe clavecin Clément XIV cœur compofé confidérable connoiffance connoître defirs deftination Difcours différens diftingue eft mort Elmire enfuite eſt étoient étoit fage faifant fans fcène fe trouve feconde fecours fecret femble fenfible fens fentiment fera feroit fervir feul fiècles fieur fociété foient foin foit foleil font fous fouvent fpectacle François fuccès fuis fuivant fujet Harley homme j'ai j'étois jour jufqu'à jufte KOULI-KAN l'Académie l'Auteur l'efprit l'hiftoire laiffer Lettre Libraire loix lorfque Louis XV Marc-Aurèle Mars Melille ment Mifis miroir Miroménil Monfieur motet mufique n'avoit n'eft néceffaire obfervations Ouvrage paffé paffion paroît perfonnes philofophie plaifir plufieurs Poëte Pologne pouvoit préfente prefque propofe raifon Rakitis refpect refte repréfentant Riff Royale ruban rue St s'eft Saint ſon talens tion toyen Tragédie lyrique ufages vertu Voltaire دو
Popular passages
Page 133 - Marc-Aurèle ! pardonne : je te parle au nom des dieux, au nom de l'univers qui t'est confié ; je te parle pour le bonheur des hommes et pour le tien. Non, tu ne seras point insensible à une gloire si pure. Je touche au terme de ma vie ; bientôt j'irai rejoindre ton père.
Page 150 - S'il est franc canonnier. Avec grâces présenter l'arme, Viser, se déployer, Dans le ponton faire vacarme, Voilà le canonnier. (Recueil de pièces concernant le prix général de l'Arquebuse royale de France , rendu par la compagnie de la ville de SaintQuentin , le 5 septembre et jours suivants, 1774.
Page 98 - Naturelle qui concerne les Teftacées ou les Coquillages de mer, de terre & d'eau douce , avec la Nomenclature , la Zoomorphofe , & les -différens fyftêmes de plufieurs célèbres Naturalises, anciens Se mor dernes.
Page 188 - Salency , arrangée pour le clavecin ou le forte- piano, avec accompagnement d'un violon & violoncelle, ad libitum; par M. Benaut. Prix i 1
Page 116 - Puisse-je, au bout de ma carrière , en parcourant la vie de Marc-Aurèle , honorer à vos yeux les derniers momens de la mienne ! et toi qui es ici présent , toi son successeur et son fils , écoute les vertus et les actions de ton père ; tu vas régner ; la flatterie t'attend pour te corrompre. Une voix libre , pour la dernière fois , peut-être , se fait entendre à toi. Ton père...
Page 130 - MARC-AURÈLE. <)f terme approcha , il ne fut donc point étonné. Je me fentois élevé par fes difcours. Romains , le grand homme mourant a je ne fais quoi d'impofant & d'augufte ; il femble qu'à mefure qu'il fe détache de la terre , il prend quelque chofe de cette nature divine & inconnue qu'il va rejoindre. Je ne touchois fes mains défaillantes qu'avec...
Page 124 - Bientôt je voulus méditer sur la douleur ; la nuit était déjà avancée ; le besoin du sommeil fatiguait ma paupière ; je luttai quelque temps ; enfin je fus obligé de céder , et je m'assoupis ; mais , dans cet intervalle , je crus avoir un songe ; il me sembla voir dans un vaste portique une multitude d'hommes rassemblés ; il avaient tous quelque chose d'auguste et de grand.
Page 70 - ... miroirs ardens dont le foyer pût atteindre la flotte des Romains , il eût été néceflaire d'avoir des miroirs ou convexes ou concaves, d'une telle grandeur , que l'exécution en auroic été absolument impraticable.
Page 130 - Enfin, il nous fit appeler. Tous les amis de ce grand homme et les principaux de l'armée vinrent se ranger autour de lui ; il était pâle, les yeux presque éteints, et les lèvres à demi glacées.
Page 133 - Si ce n'eft pas-là de l'éloquence , de la grandeur & du génie , il n'y en eut jamais. Quelles paroles que celles-ci : Ecoute : quand Néron eut empoifonné fon frère , &c. ! jamais la vérité n'eut un ton plus mâle & plus fublime. Et quel tableau que celui qui termine l'Ouvrage ! quel effet il produirait fur la toile , fi le pinceau d'un grand Artifte l'y retraçait ! J'avoue que la beauté de ce morceau m'a profondément frappé. Ne nous...