Almanach des Muses: 1765-Claude-Sixte Sautreau de Marsy, Vigée (M., Louis-Jean-Baptiste-Étienne), Justin Gensoul Delalain, 1787 - French poetry |
Other editions - View all
Common terms and phrases
actes affez ainfi ALMANACH DES MUSES amant amour Athamas auffi baifer beauté beaux befoin belle bonheur brillant Bufte c'eft c'eſt chanfon chants charmant cher Cherbourg ciel cieux Cléon Comédie Cythère Damon défert defirs deftin Dieu Dieux doux efprit encens enfans Epigramme eſt étoit FABLE facré fage fans ceffe fecret fein féjour fenfible fens fentiment feul fiècle fleurs foins foir foit font foupirs fous fouvent fuis fuivi fujets fur fon gloire Glycère goût grace hélas heureux inftant j'ai jamais jeud vend jeune jour Junon l'Abbé l'Amour l'efprit laiffe long-tems lund Lune Madame main malheur Matin Melpomène mufe mufique n'eft n'eſt Noms des Lev paffer penfe philofophie plaifir plaifirs plaiſirs pleurs Poéfies Poëte PONS DE VERDUN préfent printems raifon refpire refte repréſentée rofe ſes ſon Sophocle Stances talent tems Théâtre Italien Thyade Tragédie lyrique trifte Vénus vœux vois voix yeux
Popular passages
Page 53 - arbitre, tu languis. cher Abbé : je vois, malgré tes foins, que ton triple menton, l'honneur de ton Chapitre, aura bientôt deux étages de moins. Efclave malheureux du chagrin .qui te dompte, tu fuis un repas qui
Page 111 - annonce d'un Dieu l'éternelle exiftence; on ne peut le comprendre, on ne peut l'ignorer. La voix de l'Univers annonce fa puiflance
Page 266 - pas même celle de blâmer ceux qu'on voit un peu trop aimer Ou leurs erreurs , ou leur maîtrefle ! 'Adieu ; puis-je me confoler par 'votre amitié noble
Page 111 - un jour. Vois ton Dieu dans ton père, un Dieu veut ton amour. Que celui qui t'inftruit te foit un nouveau père
Page 240 - cacher, quand on n'a que fon cœur. Vous ferez comme moi, quand vous aurez mon âge, Archevêques, Abbés, empourprés Cardinaux, Princes, Rois,
Page 54 - ce n'eft pas Vivre, felon moi. Quelques femmes toujours badines, quelques amis toujours joyeux, peu de Vêpres, point de
Page 227 - la nue-; d'autres fois, pour montrer ma flexibilité , je m'agite en ployant mes rameaux à ta vue* A tout ce beau
Page 246 - un fruit étranger, que toujours quelque ver en fecret vient ronger ; par-tout de la douleur j'y trouve les images. l'amour a
Page 245 - dans une paix profonde , je n'entends plus mugir les tempêtes du monde. Le monde a
Page 245 - du ciel, habiter le ciel même, que j'aime à voir tes pas empreints dans ces