| Jean-Gabriel Peltier - France - 1792 - 572 pages
...l'enleva, le mit fur fes épaules, & fut le porter dans la rue, où il reçut la mon..... fai les yeux fi pleins de larmes, que je ne vois plus ce que j'écris. Nous nous regardions fans proférer une parole ; nous nous ferrions les mains; nous nous embralfionà Immobiles, dans un... | |
| Switzerland - 1813 - 500 pages
...allons donc , le dé„ cida : il l'enleva , le chargea sur ses „ épaules , et fut le porter daos la rue , où „ il reçut la mort.... J'ai les yeux...pleins „ de larmes , que je ne vois plus ce que „ f écris..." XV. Un garde - Suisse échappé de Paris le 10 août 1792,-étoit le lendemain sur... | |
| France - 1823 - 412 pages
...décida. Il l'enleva , le mit sur ses épaules , et fut le porter dans la rue où il reçut la mort (2) J'ai les yeux si pleins de larmes , que je ne vois...nous regardions sans proférer une parole ; nous nous serrions les mains ; nous nous embrassions Immobiles , dans un morne silence , et les yeux fixés ,... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - France - 1823 - 406 pages
...sur ses épaules , et fut le porter dans la rue où il reçut la mort (2) J'ai les yeux si pleins dé larmes ^ que je ne vois plus ce que j'écris. Nous...nous regardions sans proférer une parole ; nous nous serrions les mains j nous nous embrassions Immobiles , dans un morne silence, et les yeux fixés ,... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1823 - 424 pages
...camarade , en le regardant et en lui disant : « Allons donc , » le décida. Il l'enleva , le mit sur ses épaules , et fut le porter dans la rue où il reçut la mort (2) J'ai les yeux si pleins de larmes , que je ne vois plus ce que j'écris. Nous nous regardions sans... | |
| 1823 - 404 pages
...camarade , en le regardant et en lui disant : « Allons donc , » le décida. Il l'enleva , le mit sur ses épaules , et fut le porter dans la rue où il reçut la mort (2). ..... J'ai les yeux si pleins de larmes, que je ne vois plus ce que j'écris. Nous nous regardions... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - France - 1823 - 404 pages
...camarade, en le regardant et en lui disant : « Allons donc , » le décida. Il l'enleva, le mit sur ses épaules , et fut le porter dans la rue où il reçut la mort (2) J'ai les yeux si pleins de larmes, que je ne vois plus ce que j'écris. Nous nous regardions sans... | |
| Adolphe Granier de Cassagnac - France - 1852 - 372 pages
...camarade, en le regardant et en lui disant : « Allons donc ! « le décida. Il l'enleva, le mit sur ses épaules, et fut le porter dans la rue, où il...pleins de larmes, que je ne vois plus ce que j'écris (1). « Quoique Jourgniac, en écrivant sa curieuse et dramatique relation, le 15 septembre, ait fait... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - France - 1858 - 348 pages
...vie à un jeune homme de Besançon, prisonnier dans la chambre où j'étais. ( Noie de l'auteur. ) et fut le porter dans la rue, où il reçut la mort (1) J'ai les yeux si pleins de larmes que je ne vois plus ce que j'écris. Nous nous regardions sans... | |
| France - 1858 - 348 pages
...vie à un Jeune homme de Besançon, prisonnier dans la chambre où j'étais. ( Noie de l'auteur. ) et fut le porter dans la rue, où il reçut la mort (1) J'ai les yeux si pleins de larmes que je ne vois plus ce que j'écris. Nous nous regardions sans... | |
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