Revue germanique, publ. par C. Dollfus et A. Nefftzer [afterw] Revue germanique, française et étrangère [afterw.] Revue germanique et française [afterw.] Revue moderne, Volume 54

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Charles Dollfus
1869
 

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Popular passages

Page 110 - En conséquence ils jureront, en vertu de ce dernier décret, de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui leur est confiée, d'être fidèles à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout leur pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi...
Page 514 - Venez après cela crier d'un ton de maître Que c'est le cœur humain qu'un auteur doit connaître ! Toujours le cœur humain pour modèle et pour loi. Le cœur humain de qui ? le cœur humain de quoi ? Celui de mon voisin a sa manière d'être; Mais morbleu! comme lui, j'ai mon cœur humain, moi.
Page 615 - La femme est obligée d'habiter avec le mari et de le suivre partout où il juge à propos de résider. Le mari est obligé de la recevoir, et de lui fournir tout ce qui est nécessaire pour les besoins de la vie, selon ses facultés et son état.
Page 512 - Quand on voit le style naturel, on est tout étonné et ravi; car on s'attendait de voir un auteur, et on trouve un homme.
Page 517 - Je n'ai jamais chanté ni la paix ni la guerre ; Si mon siècle se trompe, il ne m'importe guère : Tant mieux s'il a raison, et tant pis s'il a tort; Pourvu qu'on dorme encore au milieu du tapage, C'est tout ce qu'il me faut, et je ne crains pas l'âge Où les opinions deviennent un remord.
Page 516 - Dors-tu content, Voltaire, et ton hideux sourire Voltige-t-il encor sur tes os décharnés? Ton siècle était, dit-on, trop jeune pour te lire; Le nôtre doit te plaire, et tes hommes sont nés.
Page 746 - L'idéal qu'avait rêvé ma jeunesse, L'étoile où montaient mes espoirs perdus, Ce n'était pas l'art, l'amour, la richesse, C'était la justice ; et je n'y crois plus.
Page 119 - Je jure de veiller avec soin aux fidèles dont la direction m'est confiée. Je jure d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi. Je jure de maintenir de tout mon pouvoir la constitution française décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi, et notamment les décrets relatifs à la constitution civile du clergé.
Page 518 - Roule, libre et superbe, entre tes larges rives, Rhin! Nil de l'Occident! coupe des nations! Et des peuples assis qui boivent tes eaux vives Emporte les défis et les ambitions!
Page 518 - LE RHIN ALLEMAND RÉPONSE A LA CHANSON DE BECKER lous l'avons eu, votre Rhin allemand, II a tenu dans notre verre. Un couplet qu'on s'en va chantant EfFace-t-il la trace altière Du pied de nos chevaux marqué dans votre sang ? Nous l'avons eu, votre Rhin allemand.

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