Revue générale, biographique, historique, etc. Le Biographe universel et l'historien [ed. by E. Pascallet]., Volume 9

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E. Pascallet
1845
 

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Popular passages

Page 206 - Nous nous livrons à la joie de la recevoir ; à l'espérance d'y voir réunir la totalité de cette noblesse. Oui , messieurs, ce qui nous manque nous sera rendu : tous nos frères viendront ici. C'est la raison et la justice, c'est l'intérêt de la patrie qui les appellent et qui nous en répondent. Travaillons de concert à la régénération du royaume, au soulagement du peuple. Nous...
Page 206 - conscience et remplissent un devoir ; mais il se » joint , à cet acte de patriotisme , un sentiment » douloureux. Cette conscience qui nous amène , » a retenu un grand nombre de nos frères. Arrêtés » par des mandats plus ou moins impératifs , ils » cèdent à un motif aussi respectable que les nôtres. » Vous ne pouvez , Messieurs , désapprouver notre » tristesse et nos regrets. » Nous sommes pénétrés de la sensibilité la » plus vraie pour la joie que vous nous avez témoi
Page 206 - Arrêtés par des mandats plus ou moins impératifs, ils cèdent ù un motif aussi respectable que le nôtre. Vous ne pouvez, messieurs, désapprouver noire tristesse et nos regrets. • Nous sommes pénétrés de la sensibilité la plus vraie pour la joie que vous nous avez témoignée. Nous vous apportons le tribut de notre zèle et de nos sentiments, et nous venons travailler avec vous au grand œuvre de la régénération publique.
Page 49 - Ils osent affirmer que leur opinion indivia duelle est celle de la très-grande majorité de « leurs frères d'armes; en conséquence ils ont « l'honneur de prier M. le maréchal de mettre « cette déclaration sous les yeux des membres de « la commission du gouvernement , et de les iu« viter à lui faire donner la plus grande publicité,. « afin de prévenir les désordres qui pourraient « résulter de toute incertitude à cet égard.
Page 107 - Je me plais à rendre à messieurs les commissaires la justice qui leur est due, ainsi qu'ils m'en ont témoigné le désir. Je n'ai eu qu'à me louer de leurs attentions et de leurs respects pour ma personne et pour ma famille.
Page 95 - Très-chrétienne ont été accomplies par l'armée d'expédition avec cet empressement et cette ardeur si naturels aux Français. Le souvenir de leurs faits d'armes précédait leurs drapeaux, et il a suffi pour déterminer à la retraite les Musulmans, qui ravageaient si cruellement la Morée. Dans la seule occasion qui se soit offerte à leur valeur, vos jeunes soldats ont rivalisé de zèle et de courage pour prouver qu'ils étaient dignes de marcher sous les ordres de chefs éprouvés dans les...
Page 159 - L'établissement est déjà tout formé à Franciade; le citoyen 'Dizé ', l'un des co-associés , en a dirigé particulièrement la '. construction : elle est faite de manière qu'il peut servir également à toute espèce d'usages et de procédés de ce genre ; c'est une justice que lui rendent ses co-associés.
Page 268 - Si toutes les hallucinations devaient être rangées parmi les produits d'une imagination en délire, les livres saints ne seraient plus qu'une erreur-, le christianisme, ce puissant mobile du perfectionnement social et individuel , une erreur; les croyances de nos pères, les nôtres, celles de nos enfans, des erreurs. actions les plus belles, ont été enseignées ou faites par des fous hallucinés...
Page 49 - Paris , en réponse à l'ordre de ce jour, 6 juillet 181 5, ont l'honneur de déclarer à M. le maréchal Masséna , prince d'Essling, leur commandant en chef, qu'ils tiendront à honneur de conserver à jamais les couleurs nationales qui ne pourraient être abandonnées sans danger. •' » Ils osent affirmer que leur opinion individuelle est celle de la très-grande majorité de leurs frères d'armes; en conséquence, ils ont l'honneur de prier M. le maréchal de mettre cette déclaration sous...
Page 139 - ... beaucoup se sont réalisés. Que, parmi « ces industries nouvelles si nombreuses, quelques-unes « soient plus propres à d'autres peuples qu'au nôtre ; que « plusieurs, pour se perfectionner, nous imposent, pour « quelque temps encore , de pénibles sacrifices ; que , de « leur perfectionnement même et de leur insuffisance « pour nos besoins, il résulte momentanément, si l'on « veut, un moindre écoulement de nos richesses agricoles, « quelque altération dans nos relations mercantiles...

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