..., & ufant de » fcs amis comme de fes meubles. P. i7î. » Malgré cela , il fut les confiantes » délices du monde , de la Cour > » des armées, la divinité du peuple, r, le héros des Officiers , l'amour du » Parlement , l'admiration des Sa» vans, Théologiens, Jurifconfultes...

...avec tous les hommes, c'est-à-dire qu'il prenoit à tâche de plaire à l'artisan, aux domestiques , au plus bas journalier comme au ministre d'état....d'une lecture infinie , qui n'oublioit rien , qui possédoit les histoires particulières , jugeoit sans confusion, sans mélange, et avec une singulière...

...chercher , flatteur pour les obtenir, reconnoissmt autant qu'il falloit pour ne pas paroître ingrat, snns véritable attachement , et usant de ses amis comme...officiers , l'amour du parlement, l'admiration des savans , théologiens , jurisconsultes, astronomes , mathématiciens les plus profonds. C'étoit un...

...oublioit l'heure d^'il"™™" du rep38- " « H fut» ajoute-t-il, les délices du monde, d» £„"'«. " de la cour, des armées, la divinité du peuple, le...officiers, l'amour du parlement, l'admiration des savants. » M. de Montausier et Bossuet, qui l'avoient vu élever avec le dauphin, l'ainioient tendrement...

...une vérité, cent fois éprouvée , qu'on y oublioit l'heure du repas :« II fut, ajoute-t-il, les délices du monde, de la cour, des armées, la divinité...officiers , l'amour du parlement, l'admiration des savants. » M. de 8. Montausier et Bossuct , qui l'avoicnt vu élever avec le dauphin , l'aimoient...

...mais une vérité, cent fois éprouvée, qu'on y oublioit l'heure du repas. Il fut, ajoute-t-il, les délices du monde, de la cour, des armées, la divinité...officiers, l'amour du parlement, l'admiration des savants. » M. de Montausier et Bossuet, qui l'avoient-vu élever avec le dauphin, l'aimoient tendrement...

...seigneur,au général d'armée, et si naturellement que le succès eu était certain. Il fut aussi les constantes délices du monde, de la cour, des armées, la divinité du peuple, l'idole des soldats, le héros des officiers, l'espérance de ce qu'il y avait de plus distingué,...

...(François-Louis) , l'élève du grand Coudé, celui que le duc de S. Simon appelle les constantes délices de la cour, des armées, la divinité du peuple , le héros des officiers , l'amour du parlement et f admiration des savons les plus profonds, était le second candidat. L'abbé de Polignac le proposa...

...ses Mémoires, loue sans restriction François de Conli. « II fut, dit-il, les constantes délices de la cour, des armées, la divinité du peuple, le héros des officiers, l'amour du parlement et l'admiration des savants les plus profonds. » Élevé sous les yeux du grand Condé, il se passionna...

...d'État, au général d'armée, et si naturellement, que le succès en était certain. II fut aussi les constantes délices du monde, de la cour, des armées, la divinité du peupl?, l'idole des soldats , le héros des officiers, l'espérance de ce qu'il y avait de plus distingué...