Revue de Rouen et de Normandie, Volume 15Alfred Péron Au bureau de la Revue de Rouen., 1847 - Normandy (France) |
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Alexandre artistes assez avaient avons belle Bonne-Nouvelle c'était Cache-Ribaut Caen Cathédrale Cathédrale de Rouen Champmeslé chant Charlotte Corday charme château chrétien cloche cœur comte Coquebert de Montbret Corneille critique dessin devant Didron Dieu divines Donay donner doute duc de Normandie Duchesse église enfin époque femme Ferrand figure fille fils François Ier Gaillon Georges d'Amboise gloire Guillaume heureux historique homme jeune jour jusqu'à l'art l'artiste l'auteur l'église l'histoire laisse Louis Louis Poterat Louis XI madame de Longueville main maison Mathilde médailles ment mérite monuments mort Mortemer-sur-Eaulne moyen-âge noble Normandie œuvres passé pauvre peinture pensée père personnages personnes pièce pierre poésie poète Pont-Saint-Pierre porcelaine porte portrait Pradon première prieuré province qu'un religieux représente reste Richard rien Roger de Mortemer Rouen s'était saint Saint-Igny savant science seigneur semble sentiment serait seul siècle Société sorte souvent statue style sujet surtout tableau talent terre tête théâtre tion trouve voix yeux
Popular passages
Page 298 - Vous n'écrivez que pour écrire, C'est pour vous un amusement; Moi qui vous aime tendrement, Je n'écris que pour vous le dire.
Page 714 - Jamais Iphigénie, en Aulide immolée, N'a coûté tant de pleurs à la Grèce assemblée Que dans l'heureux spectacle à nos yeux étalé En a fait sous son nom verser la Champmeslé 2.
Page 720 - Boyer est mort fort chrétiennement ; « sur quoi je vous dirai, en passant, que je dois réparation à « la mémoire de la |Champmeslé, qui mourut avec d'assez « bons sentiments, après avoir renoncé à la comédie, très« repentante de sa vie passée, mais surtout fort affligée do
Page 284 - Œnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.
Page 283 - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
Page 720 - ... très glorieux pour elle de mourir comédienne. Il faut espérer que, quand elle verra la mort de plus près, elle changera de langage, comme font d'ordinaire la plupart de ces gens qui font tant les fiers quand ils se portent bien.
Page 283 - Noble et brillant auteur d'une triste famille, Toi, dont ma mère osait se vanter d'être fille, Qui peut-être rougis du trouble où tu me vois, Soleil, je te viens voir pour la dernière fois ! OENONE.
Page 281 - Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin, Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Page 303 - Si donc, lorsque vous présentez votre don à l'autel , vous vous souvenez que votre frère a quelque chose contre vous , laissez là votre don devant l'autel , et allez vous réconcilier auparavant avec votre frère , puis vous reviendrez offrir votre don.
Page 289 - Dans un coin de Paris, Boileau, tremblant et blême, Fut hier bien frotté, quoiqu'il n'en dise rien; Voilà ce qu'a produit son style peu chrétien, etc.