Histoire Du Règne de Louis XIV: 3. ptie. La décadence: Guerres de la seconde coalition et de la succession d'Espagne. 1878-79Lecoffre fils et cie, 1876 - France |
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affaires alliés Anglais août armée Autrichiens avaient bataille bataillons Bavière Berwick Bossuet Boufflers c'était Camisards campagne cardinal de Noailles Catinat cent Chamillard Charles commencement comte conseil d'Utrecht Dangeau Dauphin duc de Bourgogne duc de Noailles duc de Savoie ennemis Espagne Espagnols état États-Généraux eût évêques Fénelon Flandre forces française général gouvernement guerre Guillaume Heinsius Hollandais jansénisme jours juillet juin l'Angleterre l'archiduc l'armée l'Autriche l'électeur de Bavière l'Empereur l'ennemi l'Europe laisser lettre livre Louis XIV lui-même madame de Maintenon maison Marcin maréchal Marlborough Mémoires de Berwick Mémoires de Noailles Mémoires de Torcy Mémoires de Villars menace ment Milanais mille hommes ministres Mme de Maintenon mois monarchie mort n'avait n'était nation négociations paix passer Pays-Bas Pays-Bas espagnols Pelet petit-fils peuple Philippe pouvait prince de Bade prince Eugène Quiétisme Rhin royaume Ryswick Saint-Simon septembre seul succès Tallard Tessé testament tion Torcy traité de partage troupes Vauban Vendôme victoire Victor-Amédée Villars Villeroi
Popular passages
Page 560 - ... ne sont jamais assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je connais cette rivière ; elle est très difficile à passer ; il ya des places qu'on peut rendre bonnes.
Page 559 - La confiance que j'ai en vous est bien marquée, puisque je vous remets les forces et le salut de l'État. Je connais votre zèle, et la valeur de mes troupes ; mais enfin la fortune peut vous être 1 . La duchesse de Ventadour sauva la vie du futur Louis XV en l'arrachant aux médecins.
Page 136 - Ayez une cassette pour mettre ce que vous aurez de particulier, dont vous aurez seul la clef.
Page 131 - Soyez bon Espagnol , c'est présentement votre premier devoir, mais souvenez-vous que vous êtes né Français, pour entretenir l'union entre les deux nations; c'est le moyen de les rendre heureuses et de conserver la paix de l'Europe...
Page 131 - Messieurs, leur dit-il en montrant le duc d'Anjou, voilà le roi d'Espagne. La naissance l'appelait à cette couronne, le feu roi aussi par son testament, toute la nation l'a souhaité et me l'a demandé instamment ; c'était l'ordre du ciel, je l'ai accordé avec plaisir.
Page 481 - ... les paroles qu'on leur fait donner. On ne peut plus faire le service qu'en escroquant de tous côtés ; c'est une vie de bohèmes , et non pas de gens qui gouvernent.
Page 422 - ... de chose .près, à cette malheureuse condition , que des quatre autres parties qui restent, les trois sont fort malaisées; et embarrassées de dettes et de procès ; et que, dans la dixième, où je mets tous les gens d'épée, de robe...
Page 681 - ... avec elle. Cette irréligion, ce mépris de toute diffamation, cet abandon à une si étrange personne, semblent rendre croyable tout ce qu'on a le plus de peine à croire.
Page 693 - Messieurs, je suis content de vos services ; vous m'avez fidèlement servi et avec envie de me plaire. Je suis fâché de ne vous avoir pas mieux récompensés que j'ai fait ; les derniers temps ne l'ont pas permis. Je vous quitte avec regret. Servez le Dauphin avec la même affection que vous m'avez servi ; c'est un enfant de cinq ans, qui peut essuyer bien des traverses, car je me souviens d'en avoir beaucoup essuyé pendant mon jeune âge.
Page 61 - Tout ce qui pour;> roit regarder des secrets de cette nature sur » ses dispositions intérieures est oublié, et il