| Friedrich Schoell - France - 1819 - 646 pages
...circonstances ; mais je suis comptable envers Dieu qui a bien lAilu se servir de mon bras pour rétablir cette religion. Et comment puis-je, sans gémir, la« voir compromise par les lenteurs de la cour de Rome ? On ne finit rien ; et, pour des intérêts mondains, de vaines prérogatives de la tiare , on laisse... | |
| Jean Cohen - 1823 - 546 pages
...pour Votre Sainteté la déférence filiale que je lui ai montrée dans toutes les circonstances; mais je suis comptable envers Dieu , qui a bien voulu se servir de mon bras pour rétablir cette religion. Et comment puis-je, sans gémir, la voir compromise par les lenteurs de la cour de... | |
| Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - France - 1836 - 796 pages
...souffrance, regardez-moi faire : je serai plus sage, plus habile, » plus pieux même que vous ; mais je suis comptable envers Dieu qui « a bien voulu se servir de mon bras pour rétablir la religion. Ils en répon« dront devant Dieu , ceux qui mettent tant de zèle à protéger des mariages . protestants... | |
| Artaud de Montor - 1837 - 670 pages
...ou>nibus retribuere desidft'at. — V. Mandant nobis fitius vef ter, dominas videlicct nosterj ^vifi, Dieu qui a bien voulu se servir de mon bras pour rétablir...lenteurs de la cour de Rome, où l'on ne finit rien, où pour des intérêts mondains, de vaines prérogatives de la tiare, on laisse périr des ames, le... | |
| m.a. bonnetty - 1838 - 486 pages
...pour Votre Sainteté la déférence filiale que jo lui ai montrée dans toutes les circonstances; mais je suis comptable envers Dieu qui a bien voulu se...lenteurs de la cour de Rome, où l'on ne finit rien, ou pour désintérêts mondains, de vaincs prérogatives de la tiare, on Unisse périr tics âmes,... | |
| Catholic Church and philosophy - 1838 - 494 pages
...pour Votre Sainteté la déférence filiale que je lui ai montrée dans toutes les circonstances; mais je suis comptable envers Dieu qui a bien voulu se...puis-je, sans gémir, la voir compromise par les lenteurs do la cour de Home ,• où l'on ne finit rien, ou pour des intérêts mondains, de vaines prérogatives... | |
| Catholic Church and philosophy - 1838 - 484 pages
...pour Votre Sainteté la déférence filiale que je lui ai montrée dans tontes les circonstances; mais je suis comptable envers Dieu qui a bien voulu se servir de mon bras pour rétablir la reli— gion : et comment puis-je, sans gémir, la voir compromise par les lenteurs de la conr de Rome,... | |
| Capefigue (M., Jean Baptiste Honoré Raymond) - Europe - 1842 - 648 pages
...!,i déférence filiale que je lui ai montrée dans toutes les circonstances; mais je suiromptable envers Dieu qui a bien voulu se servir de mon bras pour rélalilir la religion : et comment puis-je, sans gémir, la voir compromise par les lenteurs Je !,i... | |
| Armand Édouard Lefebvre - Europe - 1847 - 536 pages
...Sainteté la déférence « filiale que je lui ai montrée dans toutes les circon« stances : mais je suis comptable envers Dieu , qui a « bien voulu se servir de mon bras pour rétablir la re« ligion. Et comment puis-je, sans gémir, la voir com« promise par les lenteurs de la cour de... | |
| Jacques Crétineau-Joly - 1859 - 518 pages
...Votre Sainteté la déférence filiale que je lui ai montrée dans toutes les circonstances ; mais je suis comptable envers Dieu , qui a bien voulu se...lenteurs de la cour de Rome, où l'on ne finit rien, où pour des intérêts mondains , de vaines prérogatives de la tiare, on laisse périr des âmes,... | |
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