 J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs, Salut, champs que j'aimais ! et vous, douce verdure ! Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature, Salut...  Histoire de la littérature en France - Page 502by L. L. Buron - 1851 - 606 pagesFull view - About this book
 | Periodicals - 1781 - 458 pages
...fur ma tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verier des pleurs. Salut, champs que j'aïmois, & vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois;...admirable nature, Salut pour la dernière fois. Ah! puiflent voir long-tems votre beauté ¿crée, Tant d'amis Courds à mes adieux ; Qu'ils meurent pleins... | |
 | Gilbert (M., Nicolas-Joseph-Laurent) - French literature - 1797 - 204 pages
...convive , J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et'sur ma tombe , où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais,...l'homme, admirable nature, Salut pour la dernière fois î Ah ! puissent voir long-tems votre beauté sacrée , Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'il meurent... | |
 | Louis Mayeul Chaudon, Antoine François Delandine - Biography - 1804 - 644 pages
...sur la tombe où lentement j'arrive , Nul ne viendra verser des pleurs. Salut ! champs que j'aimois , et vous douce verdure , Et vous riant exil des bois...nature , Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir long-temps votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux î Qu'ils meurent pleins de... | |
 | Louis Maïeul Chaudon - Biography - 1804 - 640 pages
...j'arrive , Nul ne viendra verser des pleurs. Salut ! champs que j'airnois , et vous douce verdure , Er vous riant exil des bois , Ciel , pavillon de l'homme...nature , Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir long-tehïps votre» beaufí sacr-îe Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'Us meurent pleins... | |
 | French poetry - 1805 - 480 pages
...infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais!...pavillon de l'homme , admirable nature , Salut pour la derniere fois ! Ah! puissent voir long-tems votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux... | |
 | Louis Philipon de la Madelaine - French literature - 1805 - 478 pages
...sur la tombe où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais l et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois,...nature , Salut pour la dernière fois ! Ah! puissent voir long-tems votre beauté aacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de iours... | |
 | François Noel - Almanacs, French - 1812 - 630 pages
...sur ma tombe, où lentement j'arrive i INul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimois, et vous douce verdure, Et vous, riant exil des bois!...nature, Salut pour la dernière fois'! Ah , puissent voir long-tems votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux! Qu'ils meurent plein de jours,... | |
 | Encyclopedias and dictionaries, German - 1817 - 880 pages
...sur la tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser dès pleurs. Salut! champs que j'aimols, et vous douce verdure, '; Et vous riant exil des bois...pavillon de L'homme, admirable nature, Salut pour la derolere fols; Ah! puissent voir long- tenu votre beauté sacrée 'r Tant d'amis sourds a mes adieux!... | |
 | Capelle (M., Pierre Adolphe) - French poetry - 1818 - 470 pages
...convive, J'apparus un jour , et je meurs ; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive , Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais,...nature, Salut pour la dernière fois! Ah ! puissent voir long-temps votre beauté sacrée Tant d'amis sourds h mes adieux! Qu'ils meurent pleins de jours,... | |
 | Jean Joseph Dussault, Jean-Antoine-François Massabiau - French literature - 1818 - 588 pages
...sur la tombe où lentement j'arrive , Nul ne viendra verser des pleurs. Salut , champs que jVunois , et vous , douce verdure , Et vous , riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme, admirable natupe, Saint , pour la dernière fois ! Ah! puissent voir long-temps votre beauté sacrée, Tant d'amis... | |
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