Lucile, où es-tu? (Ici on remarque la trace d'une larme.) Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et mon cœur s'est également fendu quand j'ai aperçu , dans le jardin , ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux ; j'ai... Oeuvres - Page 148by Camille Desmoulins - 1896Full view - About this book
| Pierre Joseph A. Roussel - 1815 - 342 pages
...machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux. J'ai joint les mains, comme implorant sa pitié. J'ai vu sa douleur, à son mouchoir et à son voile, qu'elle...viendrez, qu'elle s'asseye un peu plus près, avec loi, afin que je vous voie mieux... Chère amie, tu n'imagines pas ce que c'est que d'être au secret,... | |
| Camille Desmoulins - France - 1825 - 412 pages
...également fendu quand j'ai apercu , dans le jardin , ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux ; j'ai joint les mains comme implorant...bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur (ici encore une trace clelarines)^ à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé, ne pouvant tenir... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1825 - 410 pages
...également fendu quand j'ai aperçu , dans le jardin , ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux ; j'ai joint les mains comme implorant...bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur ( ici encore une trace de larmes), à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé, ne pouvant tenir... | |
| Camille Desmoulins - France - 1825 - 442 pages
...également fendu quand j'ai aperçu, dans le jardin, ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux ; j'ai joint les mains comme implorant...j'en suis bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleus ( ici encore une trace de larmes), à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé, ne pouvant... | |
| Buchez, Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Roux-Lavergne - 1837 - 512 pages
...également fendu quand j'ai aperçu dans le jardin ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux ; j'ai joint les mains comme implorant...bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur (ici encore une trace de larmes) à son mouchoir et à son goile qu'elle a baissé , ne pouvant tenir... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Pierre Célestin Roux-Lavergne - France - 1837 - 514 pages
...gémit, j'en suis bien sûr , dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur (ici encore une trace de larmes) à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé , ne pouvant tenir à ee spectacle. Quand vous viendrez , qu'elle s'asseye un peu pins près avec toi , afin que je vous... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 622 pages
...contre « les barreaux; j'ai joint les mains comme implorant sa « pitié, elle qui gémit, j'en suis sûr, dans ton sein. J'ai vu « hier sa douleur à...baissé , ne pouvant tenir à ce spectacle. Quand vous vien« drez, qu'elle s'asseye un peu plus près avec toi afin que je « vous voie mieux. Il n'ya pas... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 444 pages
...implorant sa pitié , elle qui gémit , » j'en suis sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa dou» leur à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé, » ne pouvant tenir à ce spectacle. Quand vous vien» drez , qu'elle s'asseye un peu plus près avec toi » afin que je vous voie mieux. Il n'ya pas... | |
| Alphonse de Gisors - Palaces - 1847 - 302 pages
...ta » mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre » les barreaux ; j'ai joint les mains implorant sa pitié , elle » qui gémit, j'en suis bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa •n douleur à son mouchoir, et à son voile qu'elle a baissé, » ne pouvant tenir à ce spectacle.... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1848 - 406 pages
...contre les barreaux ; j'ai joint les » mains comme implorant sa pitié, elle qui gémit, » j'en suis sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur » à...baissé, ne » pouvant tenir à ce spectacle. Quand ^>us vien» drez, qu'elle s'asseye un peu plus près avec toi » afin que je vous voie mieux. Il n'ya... | |
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