J'ai vu plus de dix femmes qui, n'osant prendre du poison, avaient crié Vive le Roi! et chargeaient par ce moyen cet abominable tribunal du soin de terminer leurs jours, les unes pour ne pas survivre à un époux, d'autres à un amant, d'autres par dégoût... Histoire philosophique de la révolution de France - Page 405by Antoine Etienne Nicolas Fantin des Odoards - 1807Full view - About this book
| Pierre Jean Baptiste Nougaret - Correctional institutions - 1797 - 398 pages
...prendre du poison , avaient crié vive le roi t et chargeoient par ce moyen cet abominable tribunal du soin de terminer leurs jours. Les unes pour ne pas survivre à un époux, d'autres à un amant, d'autres par dégoût de la vie , presqu' aucune par fanatisme royal. Et dans quelle classe se trouvoient... | |
| Antoine Etienne Nicolas Fantin des Oduards - France - 1801 - 468 pages
...de la guillotine, mais j'ai vu plusieurs femmes qui , n'osant se tuer , avaient crié vive le foi , et chargeaient , par ce stratagème , le tribunal...hommes , ce furent les femmes qui , dans ces jours de 1794- mort, montrèrent le plus intrépide courage ; elles découvrirent de nouvelles ames , elles... | |
| Antoine Fantin-Desodoards - Italy - 1803 - 456 pages
...avaient crié vive le roi , et chargeaient par ce stratagème le tribunal révolutionnaire du soin de * J terminer leurs jours , les unes pour ne pas survivre à un époux , les autres à un amant , ou à un frère , d'autres par dégoût pour la vie , et très-peu par fanatisme... | |
| Antoine Fantin-Desodoards - France - 1807 - 444 pages
...tout l'éclat de leur printems , recevant le coup fatal avec indifference , ressemblaient à des auges qui s'envolaient au ciel. Si ce débordement de sang...intrépide courage ; elles découvrirent de nouvelles ames , elles reculèrent les bornes connues de la nature. J794. "' CHAPITRE XXVIII. Causes prochaines... | |
| Honoré-Jean Riouffe - France - 1823 - 332 pages
...prendre du poison , avaient crié vive le roi, et chargeaient par ce moyen cet abominable tribunal du soin de terminer leurs jours : les unes pour ne pas survivre à un époux, d'autres à un amant, d'autres par dégoût de la vie , presque aucune par fanatisme royal. Et dans quelle classe se trouvaient... | |
| 1823 - 332 pages
...prendre du poison , avaient crié vive le roi, et chargeaient par ce moyen cet abominable tribunal du soin de terminer leurs jours : les unes pour ne pas survivre à un époux, d'autres à un amant, d'autres par dégoût de la vie , presque aucune par fanatisme royal. Et. dans quelle classe se trouvaient... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1823 - 320 pages
...vive le roi, et chargeaient par ce moyen cet abominable tribunal du soin de terminer leurs jours : lrs unes pour ne pas survivre à un époux, d'autres à un amant, d'autres par dégoût de la vie , presque aucune par fanatisme royal. Et dans quelle classe se trouvaient... | |
| France - 1847 - 478 pages
...prendre du poison , avaient crié vive le roi! et chargeaient par ce moyen cet abominable tribunal du soin de terminer leurs jours : les unes pour ne pas survivre à un époux , d'autres à un amant , d'autres par dégoût de la vie, presque aucune par fanatisme royal. Et dans quelle classe se trouvaient... | |
| Cléry (M.) - France - 1847 - 500 pages
...n'osant prendre du poison, avaient criérn-e le roi! et chargeaient par ce moyen cet abominable tribunal du soin de terminer leurs jours : les unes pour ne pas survivre à un époux , d'autres à un amant, d'autres par dégoût de la vie, presque aucune par fanatisme royal. Et dans quelle classe se trouvaient... | |
| Albert Des Etangs - France - 1860 - 546 pages
...crié : Vive le roi ! et chargeaient par ce moyen le tribunal révolutionnaire du soin de termineV leurs jours : les unes pour ne pas survivre à un époux, d'autres à un amant (1). » « Le trait de la femme de Lavergne, commandant de Longwy qui a crié : Vive le roi! pour périr... | |
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