Les Français sous la révolution |
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Common terms and phrases
accusés agents amis aristocrates Aspasie assignats avaient Baron Bastille bonnet briseurs d'images c'était Camille Camille Desmoulins Catherine Théot chanter chanteur Chénier chose citoyen club club des jacobins clubiste comité conspiration contre-révolutionnaires convention convention nationale costume coup courage crieur dames Danton décret déesse dénoncé député devant Dieu émigrés enfants ennemis faisait fameux fédérés femmes fête foule Fouquier-Tinville garde nationale général Girondins guillotine héros hommes jacobins jour journal journée l'accusateur public l'Ami du peuple l'échafaud l'exécuteur l'orateur liberté Louis XVI Lucile main malheureux Marat Marie-Joseph Chénier Massard ment Mirabeau Mme Roland montagnards n'avait Necker officiers municipaux Palloy parler paroles passer patrie patriotes pendant la révolution pique politique porte prêtres prison raison réfractaire Régulus représentant du peuple républicains république reste Robespierre Rose Lacombe royalistes s'était salons sans-culottes Sanson seulement soldat suspects Suzette Tallien terreur terrible terroristes tête théophilanthropie thermidor tion toyen tribunal révolutionnaire tribune victimes voulait
Popular passages
Page 96 - Roi ; de protéger, conformément aux lois, la sûreté des personnes et des propriétés, la libre circulation des grains et subsistances dans l'intérieur du royaume, et la perception des contributions publiques, sous quelques formes qu'elles existent ; de demeurer unis à tous les Français par les liens indissolubles de la fraternité ». 34.
Page 48 - Descendant de la voiture pour l'exécution, on lui a dit qu'il fallait ôter sdn habit, il fit quelques difficultés, en disant qu'on pouvait l'exécuter comme il était. Sur la représentation que la chose était impossible, il a lui-même aidé à ôter son habit. Il fit ensuite la même difficulté lorsqu'il s'est agi de lui lier les mains , qu'il donna lui-même lorsque la personne qui l'accompagnait lui eut dit que c'était un dernier sacrifice.
Page 96 - Nous jurons de rester à jamais fidèles à la Nation, à la Loi et au Roi, de maintenir de tout notre pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le Roi...
Page 208 - Je m'arrête devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles.
Page 104 - Suspect. •' Si, au contraire, un citoyen se donnait du. bon temps et des indigestions, il ne se divertissait que parce que l'empereur avait eu cette attaque de goutte, qui heureusement ne serait rien. Il fallait lui faire sentir que Sa Majesté était encore dans la vigueur de l'âge : Reddendam pro intempestiva licenlia, mœstam et funebrem noctem qua senliat viverc Vitellium et imperqre!
Page 208 - Ce calme imperturbable et cette entière abnégation de soi-même, qui n'annoncent aucun remords, et, pour ainsi dire, en présence de la mort même, ce calme et cette abnégation, sublimes sous un rapport, ne sont pas dans la nature. Ils ne peuvent s'expliquer que par l'exaltation du fanatisme politique qui lui a mis le poignard à la main. Et c'est à vous, citoyens jurés, à juger de quel poids doit être cette considération morale dans la balance de la justice.
Page 77 - Le bien est tout ce qui tend à conserver l'homme ou à le perfectionner, le mal est tout ce qui tend à le détruire ou à le détériorer.
Page 101 - Ceux qui ont reçu avec indifférence la constitution républicaine et ont fait part de fausses craintes sur son établissement et sa durée ; 8°...
Page 48 - L'espèce de petit débat qui se fit au pied de l'échafaud roulait sur ce qu'il ne croyait pas nécessaire qu'il otât son habit et qu'on lui liât les mains. Il fit aussi la proposition de se couper lui-même les cheveux. Et pour rendre hommage à la vérité, il a soutenu tout cela avec un sang-froid et une fermeté qui nous a tous étonnés, et je reste très convaincu qu'il avait puisé cette fermeté dans les principes de la religion, dont personne plus que lui ne paraissait pénétré et persuadé.
Page 213 - ... celui de soldat, s'ils ne sont point magistrats. « Ils ne peuvent prendre le costume des arts qu'après avoir traversé, aux yeux du peuple, un fleuve à la nage, le jour de la fête de la Jeunesse...