Histoire de la révolution française, Volume 2Lecointe, 1834 - France |
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20 juin accusait applaudissements armée Ary Scheffer avaient Barbaroux bataillons Bertrand de Molleville Brissot c'était Camille Desmoulins château chef citoyens civile clubs Coblentz comité conduite confiance conseil constitutionnels cour danger déclarer décret déja Delessart département députés devait directoire dispositions donner Dumouriez émigrés enfin ennemis envoyé eût excité fallait famille royale faubourg fédérés feuillants fin du volume force foule frontières garde nationale général Gensonné Gironde girondins Guadet guerre jacobins jour l'assem l'assemblée constituante l'assemblée nationale Lafayette législative Léopold lettre liberté lois Louis XVI Luckner madame Campan majesté Marat Marseillais menaces ment messieurs mesures mille hommes ministres moyens municipalités n'avait n'était Narbonne nation patrie patriotes personne Pétion pétition pétitionnaires peuple populaire porter pouvait prêtres assermentés prince projet Prusse publique puissances refus reine répondit réunir révolution Robespierre Rochambeau Roland s'était sances sanction Santerre sentiments serait serment seul Suisses sûreté tion tribunes troupes trouvait Tuileries Vergniaud veto voulait Voyez la note
Popular passages
Page 185 - Constitution, et d'enchaîner le courage de ceux qui la servaient ? Était-ce nous défendre que de paralyser sans cesse le gouvernement par la désorganisation continuelle du ministère? La Constitution vous laissa-t-elle le choix des ministres pour notre bonheur ou notre ruine? VOUS fit-elle chef de l'armée pour notre gloire ou notre honte?
Page 243 - Majestés impériale et royale rendant personnellement responsables de tous les événements, sur leur tête, pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris, les juges de paix et tous autres qu'il appartiendra...
Page 183 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 296 - ... de lumière ne peut ni détruire, ni modérer. » Sa religion, c'est-à-dire, la religion telle qu'il la conçoit, est devenue pour lui la plus forte et pour ainsi dire l'unique habitude morale de sa vie. L'objet le plus essentiel qu'elle lui présente est le culte des images ; et le ministre de ce culte...
Page 80 - L'Assemblée nationale , délibérant sur la proposition formelle du roi; considérant que la cour de Vienne , au mépris des traités , n'a cessé d'accorder une protection ouverte aux Français rebelles ; qu'elle a provoqué et formé un concert avec plusieurs puissances de l'Europe contre l'indépendance et la sûreté de la nation française...
Page 311 - Ainsi pour ces pauvres habitants des campagnes, l'amour ou la haine de la patrie consiste aujourd'hui, non point à obéir aux lois, à respecter les autorités légitimes, mais à aller ou ne pas aller à la messe du prêtre assermenté. La séduction, l'ignorance et le préjugé ont jeté à cet égard de si profondes racines, que nous avons eu beaucoup de peine à leur faire entendre que la Constitution politique de...
Page 240 - Qu'entraînées dans la guerre présente par des circonstances irrésistibles, les deux cours alliées ne se proposent d'autre but que le bonheur de la France sans prétendre s'enrichir par des conquêtes; 2°...
Page 110 - ... constater leurs opinions : si celui-là eût existé, je ne m'adresserais pas par écrit, en ce moment, à Votre Majesté. « La vie n'est rien pour l'homme qui estime ses devoirs au-dessus de tout; mais, après le bonheur de les avoir remplis, le seul...
Page 244 - ... de désigner la ville de son royaume la plus voisine de ses frontières dans laquelle elle jugera à propos de se retirer avec la reine et sa famille, sous...
Page 102 - Élevée dans l'idée de les conserver, elle n'a pu se les voir enlever avec plaisir; le désir de se les faire rendre était aussi naturel que le regret de les voir anéantir. Ces...