La petite chouannerie: ou, Histoire d'un collège breton sous l'Empire |
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âmes armée armes arriva assez aurait Auray avaient avions baïonnettes balles bataillon Bignan blessés bleus bourgeois brave Bretagne Bretons bruit c'était Cadoudal camarades campagne canton canton d'Auray Carnac cartouches catéchisme impérial cause champ de bataille chant chef chevalier de Margadel chose chouannerie cœur collège de Vannes combat commandement conscription coup d'Auray d'élite débarquement dernière devant Dieu drapeau écoliers enfants étions faisait Francheville fusils fût Gamber garnison gendarmes général Bigarré général Rousseau Georges Cadoudal ghet guerre hommes impérial jeune joie jour jour-là l'Empire laisser lande Lemanach lendemain lieu Lorient Madame de Staël main marche marins ment militaire Morbihan mort Muzillac n'avait n'était nuit officiers paroisse passer pauvre paysans peine pendant Plescop pleurs Ploërmel Plumergat Pluvigner Pontivy porte pouvait premier presque prêtres qu'un Quiberon reste Rohu route s'était sainte Sainte-Anne sang sanglante serment seul soldats sorte Sulniac surtout tête tion tirailleurs troupes trouver venait victoire vieux chouans vint voix yeux
Popular passages
Page 196 - Des dieux que nous servons connais la différence: Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance; Et le mien, quand ton bras vient de m'assassiner, M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 371 - Ils n'avaient plus qu'un choix, ces fils de paysans : Ou prêtres ou soldats, — ils se sont faits chouans; Et leur pays les voit tombant sur les bruyères, Sans grades, tous égaux, tous chrétiens et tous frères... Hymnes médiateurs, éclatez, nobles chants! Vanne aussi m'a nourri , mon nom est sur ses bancs : J'ai nagé dans son port et chassé dans ses îles , J'ai vu les vieux débris de ses guerres civiles, Puis je connais le cloître où le moine Abeilard Vers la libre pensée élevait...
Page 284 - what the mothers are. No fondest father's wisest care Can fashion so the infant heart, As those creative beams that dart, With all their hopes and fears, upon The cradle of a sleeping son. His startled eyes with wonder see A father near him on his knee, Who wishes all the while to trace The mother in his future face; But 'tis to her alone uprise His wakening arms, to her those eyes Open with joy, and not surprise...
Page 211 - Comme aux jours primitifs la race aux longs cheveux, Que rien ne peut dompter quand elle a dit : Je veux! Nous avons un cœur franc pour détester les traîtres ! Nous adorons Jésus, le Dieu de nos ancêtres! Les chansons d'autrefois toujours nous les chantons : Oh! nous ne sommes pas les derniers des Bretons! Le vieux sang de tes fils coule encor dans nos veines, O terre de granit recouverte de chênes!
Page 371 - Et chantant leurs combats, liberté, je te chante! Ils n'avaient plus qu'un choix, ces fils de paysans : Ou prêtres ou soldats; — ils se sont faits chouans, Et leur pays les voit tombant sur les bruyères Sans grades, tous égaux, tous chrétiens et tous frères... Hymnes médiateurs, éclatez, nobles chants!
Page 33 - Bliss was it in that dawn to be alive, But to be young was very heaven ! — Oh ! times, In which the meagre, stale, forbidding ways Of custom, law, and statute, took at once The attraction of a country in Romance...
Page 377 - France and England ! on whose lofty crests The day-spring of the Future flows so free, Save where the cloud of your hostility Settles between, and holy light arrests, Shall Ye, first instruments of God's behests, But blunt each other ? Shall Barbarians see The two fair sisters of civility Turn a fierce wrath against each other's breasts...
Page 368 - Nos parents, nos amis pour lui sont trépassés ; « Leurs os semés partout feraient une montagne ; « Nous, puisqu'il faut mourir, nous mourrons en Bretagne! Un soir (nulle clarté sur terre, nulle au ciel ), Dans une humble maison fut construit un autel, . Et, par de longs détours marchant vers cette église, Tous vinrent se liguer pour leur grande entreprise.
Page 370 - ... dévouées, Hors d'haleine, apportant les balles que leur main Fondait, durant la nuit, de leurs cuillers d'étain? Courage, ô jeunes gens! sur ces hautes pelouses Voici , derrière vous, vos futures épouses! Vos mères, les voici debout à vos côtés! Le pied sur votre sol, enfin, vous combattez!
Page 368 - ... partout feraient une montagne ; « Nous, puisqu'il faut mourir, nous mourrons en Bretagne! Un soir (nulle clarté sur terre, nulle au ciel ), Dans une humble maison fut construit un autel, . Et, par de longs détours marchant vers cette église, Tous vinrent se liguer pour leur grande entreprise. Kellec au rendez-vous arriva le premier, Vert comme un jeune pin et franc comme l'acier ; Puis les deux Nicolas, frères mélancoliques, Qui semblaient entrevoir leurs tombeaux héroïques ; Flohic,...