Oeuvres morales de Plutarque, Volume 4Chez Lefèvre, 1844 |
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... disent que l'éclair ne part qu'après la foudre , comme le sang après la blessure , mais que sa lu- mière frappe les yeux avant que le son parvienne à l'o- reille . Dans l'exercice du pouvoir , les supplices prévien- nent les accusations ...
... disent que l'éclair ne part qu'après la foudre , comme le sang après la blessure , mais que sa lu- mière frappe les yeux avant que le son parvienne à l'o- reille . Dans l'exercice du pouvoir , les supplices prévien- nent les accusations ...
Page 44
... disent de Jupiter , et qui , poussé par un desir in- satiable de gloire , ou par un sentiment d'envie contre ceux qui auraieut quelque crédit dans la république , se charge- rait seul de toutes les affaires . Mais quoi de plus laborieux ...
... disent de Jupiter , et qui , poussé par un desir in- satiable de gloire , ou par un sentiment d'envie contre ceux qui auraieut quelque crédit dans la république , se charge- rait seul de toutes les affaires . Mais quoi de plus laborieux ...
Page 46
... disent leur avis , comme des coqs qui chantent à l'envi l'un de l'autre , et par ces disputes conti- nuelles , de faire perdre aux jeunes gens le frein du res- pect , et de les accoutumer ainsi à l'indocilité et à la con- tradiction ...
... disent leur avis , comme des coqs qui chantent à l'envi l'un de l'autre , et par ces disputes conti- nuelles , de faire perdre aux jeunes gens le frein du res- pect , et de les accoutumer ainsi à l'indocilité et à la con- tradiction ...
Page 53
... disent les poëtes , par leur prudence et leur liberté de tout dire . Ce ne sont pas seulement nos mains , nos pieds et nos facultés corporelles qui appartiennent à la républi- que ; elle a principalement droit sur notre ame et sur tout ...
... disent les poëtes , par leur prudence et leur liberté de tout dire . Ce ne sont pas seulement nos mains , nos pieds et nos facultés corporelles qui appartiennent à la républi- que ; elle a principalement droit sur notre ame et sur tout ...
Page 118
... disent d'eux que l'un est fait pour donner des jeux , l'autre pour ordonner des festins , un troisième pour présider aux exercices du gymnase . D'ail- leurs comme dans les festins dont un Callias ou un Alcibiade font les frais , c'est ...
... disent d'eux que l'un est fait pour donner des jeux , l'autre pour ordonner des festins , un troisième pour présider aux exercices du gymnase . D'ail- leurs comme dans les festins dont un Callias ou un Alcibiade font les frais , c'est ...
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Anaxagore Anaximandre Anaximènes animaux Aristote assez astre Athènes Athéniens avaient besoin cause cent chaleur CHAPITRE chaud chien choses citoyens condense contraire corps couleur croit d'Athènes déja Démocrite Démosthènes desirs Dieu dieux dire discours disent divine donne douce eaux éclipses éléments Empédocle Épicure espèce Est-ce faculté femelles font forme froid globe Grecs GRYLLUS Héraclite Hérodote Hésiode Homère hommes ignée jour Jupiter l'air l'ame l'autre l'eau l'homme l'humidité l'ombre l'univers laisse lieu lorsqu'il lui-même lumière lune Lycurgue Lysias ment miroirs monde mort mouvement nature naturelle non-seulement nourrir nourriture obscure orateur paraît parcequ'il parceque Parménide Perses peuple Pharnace philosophes place plantes Platon pluie Plutarque poëte poisson polype premier principe privation produit prouve Pythagore qu'un raison rayons reste révolution rien s'il sensible sentiment seul SOCLARUS Socrate soleil sorte Spartiates stoïciens substance suivant surface ténèbres terre terrestres Thalès Thébains tion trente tyrans tyrans ULYSSE vaisseaux vent voit vraisemblable