Voyageurs anciens et modernes: ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècle, avec biographies, notes et indications iconographiques, Volumes 3-4

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Aux bureaux du Magasin pittoresque, 1855 - Voyages and travels
 

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Popular passages

Page 186 - Juda, ayant ouï de sa propre bouche qu'il falloit rendre à Dieu ce qui est à Dieu , et à César ce qui est à César...
Page 280 - ... de le voir par la suite. Cet animal a la tête et les oreilles d'une mule, le corps d'un chameau, les jambes d'un cerf et la queue d'un cheval, et il hennit comme ce dernier. Cet homme portait aussi une espèce de chaussure faite de la même peau('). Il tenait dans la main gauche un arc court et massif, dont la corde, un peu plus grosse que (') C'esl à cause de celte chaussure, qui donnai!
Page 32 - ... et autres arbres, sous lesquels croît aussi bon chanvre que celui de France, lequel vient sans semence ni labeur. Après avoir visité ledit lieu et l'avoir trouvé convenable, ledit capitaine et les autres se retirèrent dans les barques pour retourner aux navires.
Page 424 - T. in-8 15 fr. — Histoire de la conquête du Mexique, avec un tableau préliminaire de l'ancienne civilisation mexicaine et la vie de Fernand Cortez.
Page 48 - Us disent que cela les tient sains et chaudement, et ils ne vont jamais sans lesdites choses. Nous avons expérimenté ladite fumée, après laquelle avoir mis dans notre bouche, il semble y avoir de la poudre de poivre, tant elle est chaude.
Page 17 - Les autres, qui avaient passé là où nous étions, venaient familièrement à nous, frottant leurs bras avec leurs mains, et après ils les haussaient vers le ciel, sautant et faisant plusieurs signes de réjouissance. Et tellement ils s'assurèrent avec nous, qu'enfin ils trafiquaient de main à main de tout ce qu'ils avaient, en sorte qu'il ne leur resta autre chose que le corps tout nu, parce qu'ils donnèrent tout ce qu'ils avaient qui était chose de peu de valeur. Nous connûmes que ce peuple...
Page 18 - Canarie, dans lesquelles j'ai été et commencé, si bien que j'y ai laissé de ma compagnie qui tous les jours m'attendent, et aussi un bon chevalier, nommé messire Gadifer de la Salle, auquel il a plu me tenir compagnie. Et, très-cher sire, pour ce que vous êtes roi et seigneur de tout le pays à l'environ, et le plus proche roi chrétien, je suis venu requérant votre grâce qu'il vous plaise me recevoir à vous en faire hommage. » Le roi qui l'ouït parler fut fort joyeux et dit qu'il était...
Page 9 - Si la terre correspondait à la bonté des ports, ce serait un grand bien ; mais on ne la doit point appeler terre ; ce sont bien plutôt cailloux et rochers sauvages, et lieux propres aux bêtes farouches...
Page 180 - Dans mon sommeil, j'entendis une voix compatissante qui m'adressa ces mots : « 0 insensé ! pourquoi tant de lenteur à croire et à servir ton Dieu, le Dieu de l'univers? Que fit-il de plus pour Moïse et pour David son serviteur? Depuis ta naissance...
Page 69 - De plus, il ya grande quantité de chênes, les plus beaux que j'aie vus de ma vie, lesquels étaient tellement chargés de glands qu'il semblait qu'ils s'allaient rompre. En outre, il ya de plus beaux érables, cèdres, bouleaux, et autres sortes d'arbres, que l'on n'en vollen France.

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