Oeuvres complètes, Volume 3Librairie Internationale, 1868 |
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Common terms and phrases
absolue aperception Aristote arithmétique Bernard de Jussieu c'est-à-dire capacités capital catégories causalité cause centralisation certitude chose classification concepts condition connaissance conséquent constitution d'après démocratie démontrer déterminer développement Dieu dire divine division du travail dogme économique Edgar Quinet éléments espèces faculté fonctions force forme formule Fourier galité générale genre gouvernement groupes hommes humain idées industrielle intel juge justice Kant l'âme l'aperception l'autre l'Économie politique l'égalité l'entendement l'esprit l'histoire l'homme l'idée l'industrie l'infini l'intelligence l'intuition l'ordre l'unité législatif liberté logique loi sérielle lois mathématiques matière ment métaphysique méthode morale mouvement nature nécessaire Note de l'éditeur objet organes organisation passions pensée peuple phénomènes philosophie Platon première prêtres principe produit progrès propriété qu'est-ce qu'une raison rapport réforme religieuse religion révélation rien royauté salaire science science économique sensation sériée seul sociale société sophistes sorte spécialité substance syllogisme syllogistique synthèse système système de numération système ternaire termes théorie sérielle tion tique travailleur unités universelle vérité zoologie
Popular passages
Page 53 - Tout est bien , sortant des mains de l'Auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme.
Page 377 - La puissance législative s'exerce collectivement par le Roi, la chambre des pairs, et la chambre des députés des départements.
Page 12 - Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté. Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre...
Page 27 - Prague : enfin Luther parut, et une large brèche fut faite à la religion, dans les parties les plus ferventes de la chrétienté. Les contrées qui gardèrent la communion de Rome furent précisément celles où la corruption des mœurs était le plus avancée, France, Italie, Espagne : tout le monde peut constater aujourd'hui comment, à mesure que les habitudes d'ordre, de travail, de sobriété, d'économie, se fortifient chez le peuple, le christianisme s'éteint en lui sans retour.
Page 391 - C'est contre cette autorité que les libertins se révoltent avec un air de mépris ; mais qu'ont-ils vu, ces rares génies, qu'ont-ils vu plus que les autres ? Quelle ignorance est la leur ! et qu'il serait aisé de les confondre, si, faibles et présomptueux, ils ne craignaient d'être instruits ! Car pensent-ils avoir mieux vu les difficultés à cause qu'ils y succombent, et que les autres qui les ont vues les ont méprisées ? Ils n'ont rien vu, ils n'entendent rien, ils n'ont pas même de...
Page 68 - Par le nom d'idée j'entends cette forme de chacune de nos pensées par la perception immédiate de laquelle nous avons connaissance de ces mêmes pensées ; de sorte que je ne puis rien exprimer par des paroles lorsque j'entends ce que je dis, que de cela même il ne soit certain que j'ai en moi l'idée de la chose qui est signifiée par mes paroles.
Page 281 - Puisque l'industrie humaine est la transposition des séries de la nature; et puisque le travail, dans ses divisions, suit les mêmes lois que toutes les choses sériées, la spécification et la composition : il s'ensuit que tout art, tout métier, toute science, en...
Page 111 - L'être en soi a autant d'acceptions qu'il y a de catégories, c'est-à-dire qu'on ne peut rien affirmer de lui qui ne soit une de ces dix choses : l'essence, la quantité, la qualité, la relation, le lieu, le temps, la situation , la possession, l'action, la passion '. Ce sont donc là les termes simples, ou ce qui est dit sans aucune combinaison , quœ sine omni conjunctionedicuntur'.
Page 24 - Tu as été ta première dupe, la dupe de ton ignorance et de ton orgueil. Tu croyais qu'au nom de liberté, le peuple en foule courrait à ton autel, et que tu serais pontife de la France raisonneuse. Tu t'es trompé, téméraire! tes mascarades font pitié, tes scandales soulèvent le dégoût. Tu le sais, et tu t'obstines : mais plus tu étales d'impudence, plus ton cœur est abîmé; et plus je sens redoubler ma joie.
Page 302 - ... du fruit de l'arbre de la science du bien et du mal? Et par cette première défense ne mit-il pas des bornes à sa liberté?