Histoire de France, depuis la révolution de 1789: écrite d'après les mémoires et manuscrits contemporains, recueillis dans les depôts civils et militaires, Volume 2Treuttel et Würtz, 1801 - France |
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... n'était même pas désignée ; on leur en assigna une dans l'inté- rieur de la salle , et personne ne se permit une inter- pellation embarrassante ; enfin la vérité est que jamais nation ne fut plus dignement représentée . de Paris venait ...
... n'était même pas désignée ; on leur en assigna une dans l'inté- rieur de la salle , et personne ne se permit une inter- pellation embarrassante ; enfin la vérité est que jamais nation ne fut plus dignement représentée . de Paris venait ...
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... n'était point M. de Cazalès qui avait été attaqué , mais un autre particulier , qui était en sûreté présentement ; que le peuple avait paru affligé , mais animé des meilleurs sentiments , disposé à respecter les lois ; et qu'après avoir ...
... n'était point M. de Cazalès qui avait été attaqué , mais un autre particulier , qui était en sûreté présentement ; que le peuple avait paru affligé , mais animé des meilleurs sentiments , disposé à respecter les lois ; et qu'après avoir ...
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... n'était pas à la hauteur des circonstances ; le style , les expressions , la na- Pièces ja ture des plaintes , rien ne portait ce caractère d'élévation que l'infortune ne doit jamais ôter à la grandeur ; on peut croire , au défaut de la ...
... n'était pas à la hauteur des circonstances ; le style , les expressions , la na- Pièces ja ture des plaintes , rien ne portait ce caractère d'élévation que l'infortune ne doit jamais ôter à la grandeur ; on peut croire , au défaut de la ...
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... n'était point de sortir de France ; mais seulement de se rendre à Mont - Médi , comme place de sureté ; il justifia ceux qui l'avaient suivi , sur le secret C 1791 . qu'il leur avait gardé de ses projets . 40 HISTOIRE DE FRANCE ...
... n'était point de sortir de France ; mais seulement de se rendre à Mont - Médi , comme place de sureté ; il justifia ceux qui l'avaient suivi , sur le secret C 1791 . qu'il leur avait gardé de ses projets . 40 HISTOIRE DE FRANCE ...
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... gner toute entreprise du dehors . Les trônes y virent avec satisfaction le plan de leur fonda- tion ; ils virent réduit en principes politiques , ce qui n'était , chez eux , qu'une pratique sou- 42 HISTOIRE DE FRANCE ,
... gner toute entreprise du dehors . Les trônes y virent avec satisfaction le plan de leur fonda- tion ; ils virent réduit en principes politiques , ce qui n'était , chez eux , qu'une pratique sou- 42 HISTOIRE DE FRANCE ,
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Common terms and phrases
août armées armes assurer attaque Autrichiens avaient bataillons Brissot Brunswick c'était camp camp de Maulde canon cavalerie Châlons château citoyens Clairfait Clairfayt comité commandant commissaires conseil constitution constitutionnel convention nationale corps législatif Croix-aux-Bois Custine déclaration décret défense déja département députation devait Dumourier émigrés ennemis ensuite envoyés Ettenheim eût événements force française frontières garde nationale général Dillon Grand-Pré grenadiers guerre j'ai jacobins jour Kalkreuth Kellermann L'armée du centre l'assem l'assemblée nationale l'empereur l'empire l'ennemi l'état Lafayette laisser lettre liberté lois Longwy Lukner majesté mandé marche mée membres ment messieurs mesures militaire mille hommes ministre mouvement moyens municipalité n'était nation officiers ordres passer patrie patriotes Pétion peuple Pièces place politique porter position poste pouvait pouvoir pré premier prendre président princes Prusse Prussiens public publique Quiévrain rassemblements reine république reste retraite réunir révolution s'était Sainte-Menehould sanction séance Sedan semblée sentiments sera seul soldats sureté tion toyens Trèves Valmy Verdun
Popular passages
Page 69 - Rissau, le furent dans vingt-quatre heures. Pendant ce temps, on réunit les chevaux indispensables, pour lesquels le zèle des corps administratifs, de la municipalité et des citoyens de la ville et des environs, suppléèrent à nos besoins; nous nous procurâmes également des souliers et autres objets nécessaires. Le 26, je fis partir sous les ordres de M. de Narbonne, maréchal de camp, l'artillerie avec trois compagnies et demie du régiment d...
Page 19 - Mais vous avez sûrement pensé qu'il importait de mettre le plus petit intervalle possible entre l'achèvement de la constitution et la fin des travaux du corps constituant , afin de marquer avec plus de précision , par le rapprochement , la différence qui existe entre les fonctions d'une assemblée constituante et les devoirs des législatures.
Page 70 - J'accepte donc la Constitution ; je prends l'engagement de la maintenir au dedans, de la défendre contre les attaques du dehors, et de la faire exécuter par tous les moyens qu'elle met en mon pouvoir. Je déclare qu'instruit de l'adhésion que la grande majorité du Peuple donne à la Constitution, je renonce au concours que j'avais réclamé dans ce travail, et que n'étant responsable qu'à la Nation, nul autre, lorsque j'y renonce, n'aurait le droit de s'en plaindre.
Page 17 - Alors, et dans ce cas, Leursdites Majestés l'Empereur et le Roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires, pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 219 - C'est là qu'est la véritable plaie de mon cœur. Un jour, peut-être, le peuple saura combien son bonheur m'est cher, combien il fut toujours et mon seul intérêt et mon premier besoin. Que de chagrins pourraient être effacés par la plus légère marque de son retour ! Signé Louis.
Page 155 - Pour qu'une nation soit libre , il suffit qu'elle veuille l'être , « je viens aujourd'hui , plein de confiance dans la justice de notre cause, de mépris pour les lâches qui la désertent, et d'indignation...
Page 153 - C'est elle que j'en accuse hautement. Organisée comme un empire à part dans sa métropole et dans ses affiliations, aveuglément dirigée par quelques chefs ambitieux, cette secte forme une corporation distincte au milieu du peuple français, dont elle usurpe les pouvoirs en subjuguant ses représentons et ses mandataires.
Page 152 - La nation attend d'eux son salut ; mais en se donnant une constitution , elle leur a prescrit l'unique route par laquelle ils peuvent la sauver. « Persuadé, messieurs, qu'ainsi que les droits de l'homme sont la loi de toute assemblée constituante , une constitution devient la loi des législateurs qu'elle a établis, c'est à vous-mêmes que je dois dénoncer les efforts trop puissans que l'on fait pour vous écarter de cette règle que vous avez promis de suivre.
Page 31 - Je jure de mourir plutôt que de souffrir l'invasion du territoire français par des troupes étrangères, et de n'obéir qu'aux ordres qui seront donnés en conséquence des décrets de l'Assemblée nationale.
Page 31 - Je jure d'employer les armes remises en mes mains à la défense de la patrie et à maintenir contre...