Histoire de France, depuis la révolution de 1789: écrite d'après les mémoires et manuscrits contemporains, recueillis dans les depôts civils et militaires, Volume 2Treuttel et Würtz, 1801 - France |
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... Dillon et Biron . Biron partit de Valenciennes avec dix bataillons et dix escadrons , pour attaquer Mons ; il se porta , le 29 , sur Quié- vrain , dont on s'empara ; les troupes autrichien- nes avaient pris une position en avant de Mons ...
... Dillon et Biron . Biron partit de Valenciennes avec dix bataillons et dix escadrons , pour attaquer Mons ; il se porta , le 29 , sur Quié- vrain , dont on s'empara ; les troupes autrichien- nes avaient pris une position en avant de Mons ...
Page 121
... Dillon devait , avec un corps de cavalerie de dix escadrons , faire une tentative , et d'après ses ordres , seulement , une fausse attaque sur Tournai . Le désordre et la déroute y furent plus prompts encore . A peine la ligne fut ...
... Dillon devait , avec un corps de cavalerie de dix escadrons , faire une tentative , et d'après ses ordres , seulement , une fausse attaque sur Tournai . Le désordre et la déroute y furent plus prompts encore . A peine la ligne fut ...
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... Dillon ; mais cependant l'assemblée , ef- frayée des désastres de Mons et de Lille , prit quelques mesures de répression contre les excès de l'anarchie militaire . On sentit le besoin de la discipline dans les armées ; une loi martiale ...
... Dillon ; mais cependant l'assemblée , ef- frayée des désastres de Mons et de Lille , prit quelques mesures de répression contre les excès de l'anarchie militaire . On sentit le besoin de la discipline dans les armées ; une loi martiale ...
Page 126
... Dillon y fut une juste vengeance des soldats ; l'empe- reur , dans une sorte de manifeste , avait dénoncé les jacobins comme une secte isolée , à laquelle seule il déclarait la guerre ; ils s'honorèrent de l'exception , et relevèrent le ...
... Dillon y fut une juste vengeance des soldats ; l'empe- reur , dans une sorte de manifeste , avait dénoncé les jacobins comme une secte isolée , à laquelle seule il déclarait la guerre ; ils s'honorèrent de l'exception , et relevèrent le ...
Page 132
... Dillon contraignit plusieurs généraux à se retirer , et le sort de plusieurs de ceux qui restèrent , ne les justifia que trop . Le maréchal Rochambeau , malgré les instances de ses troupes , malgré un décret favorable du corps ...
... Dillon contraignit plusieurs généraux à se retirer , et le sort de plusieurs de ceux qui restèrent , ne les justifia que trop . Le maréchal Rochambeau , malgré les instances de ses troupes , malgré un décret favorable du corps ...
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Common terms and phrases
août armées armes assurer attaque Autrichiens avaient bataillons Brissot Brunswick c'était camp camp de Maulde canon cavalerie Châlons château citoyens Clairfait Clairfayt comité commandant commissaires conseil constitution constitutionnel convention nationale corps législatif Croix-aux-Bois Custine déclaration décret défense déja département députation devait Dumourier émigrés ennemis ensuite envoyés Ettenheim eût événements force française frontières garde nationale général Dillon Grand-Pré grenadiers guerre j'ai jacobins jour Kalkreuth Kellermann L'armée du centre l'assem l'assemblée nationale l'empereur l'empire l'ennemi l'état Lafayette laisser lettre liberté lois Longwy Lukner majesté mandé marche mée membres ment messieurs mesures militaire mille hommes ministre mouvement moyens municipalité n'était nation officiers ordres passer patrie patriotes Pétion peuple Pièces place politique porter position poste pouvait pouvoir pré premier prendre président princes Prusse Prussiens public publique Quiévrain rassemblements reine république reste retraite réunir révolution s'était Sainte-Menehould sanction séance Sedan semblée sentiments sera seul soldats sureté tion toyens Trèves Valmy Verdun
Popular passages
Page 69 - Rissau, le furent dans vingt-quatre heures. Pendant ce temps, on réunit les chevaux indispensables, pour lesquels le zèle des corps administratifs, de la municipalité et des citoyens de la ville et des environs, suppléèrent à nos besoins; nous nous procurâmes également des souliers et autres objets nécessaires. Le 26, je fis partir sous les ordres de M. de Narbonne, maréchal de camp, l'artillerie avec trois compagnies et demie du régiment d...
Page 19 - Mais vous avez sûrement pensé qu'il importait de mettre le plus petit intervalle possible entre l'achèvement de la constitution et la fin des travaux du corps constituant , afin de marquer avec plus de précision , par le rapprochement , la différence qui existe entre les fonctions d'une assemblée constituante et les devoirs des législatures.
Page 70 - J'accepte donc la Constitution ; je prends l'engagement de la maintenir au dedans, de la défendre contre les attaques du dehors, et de la faire exécuter par tous les moyens qu'elle met en mon pouvoir. Je déclare qu'instruit de l'adhésion que la grande majorité du Peuple donne à la Constitution, je renonce au concours que j'avais réclamé dans ce travail, et que n'étant responsable qu'à la Nation, nul autre, lorsque j'y renonce, n'aurait le droit de s'en plaindre.
Page 17 - Alors, et dans ce cas, Leursdites Majestés l'Empereur et le Roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires, pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 219 - C'est là qu'est la véritable plaie de mon cœur. Un jour, peut-être, le peuple saura combien son bonheur m'est cher, combien il fut toujours et mon seul intérêt et mon premier besoin. Que de chagrins pourraient être effacés par la plus légère marque de son retour ! Signé Louis.
Page 155 - Pour qu'une nation soit libre , il suffit qu'elle veuille l'être , « je viens aujourd'hui , plein de confiance dans la justice de notre cause, de mépris pour les lâches qui la désertent, et d'indignation...
Page 153 - C'est elle que j'en accuse hautement. Organisée comme un empire à part dans sa métropole et dans ses affiliations, aveuglément dirigée par quelques chefs ambitieux, cette secte forme une corporation distincte au milieu du peuple français, dont elle usurpe les pouvoirs en subjuguant ses représentons et ses mandataires.
Page 152 - La nation attend d'eux son salut ; mais en se donnant une constitution , elle leur a prescrit l'unique route par laquelle ils peuvent la sauver. « Persuadé, messieurs, qu'ainsi que les droits de l'homme sont la loi de toute assemblée constituante , une constitution devient la loi des législateurs qu'elle a établis, c'est à vous-mêmes que je dois dénoncer les efforts trop puissans que l'on fait pour vous écarter de cette règle que vous avez promis de suivre.
Page 31 - Je jure de mourir plutôt que de souffrir l'invasion du territoire français par des troupes étrangères, et de n'obéir qu'aux ordres qui seront donnés en conséquence des décrets de l'Assemblée nationale.
Page 31 - Je jure d'employer les armes remises en mes mains à la défense de la patrie et à maintenir contre...