Robespierre terroriste |
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Common terms and phrases
accusé affaires amis Annales révolutionnaires août arrêté aurait avaient avoit banquiers Barère Boyd brumaire cause Chabot chargé chef chose citoyen Comité de Salut Comité de Sûreté commission Commune conspirateurs Convention cours crime d'avoir Danton date déclaration décret demande dénoncé département déposition députés dernier devant donner doute Dufourny Dumouriez Durand écrit ennemis étoit Fabre faction faisait femme fonds frimaire girondins gouvernement guerre Hébert Hérault hommes Jacobins jour journal juge l'armée l'ennemi lettre levée liberté liste livre lui-même mains maison mars membres mémoire ment mesures mission mois mort Mots barrés nationale nommé notes octobre officielle Pache paix parlé passé patriotes pendant peuple pierre porte pouvoir premier présent procès Proli proposa publique qu'un rappeler rapport relations représentants République resta Révolution rien Robes Robespierre s'était s'il Saint-Just Salut public sauver séance secrète section septembre sera seul Sûreté générale témoin Terreur tion tribunal révolutionnaire trouva version voter
Popular passages
Page 23 - Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître; il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Page 181 - Etat où le peuple, continuellement assemblé, règle par lui-même toutes les affaires publiques, encore moins celui où cent mille fractions du peuple, par des mesures isolées, précipitées et contradictoires, décideraient du sort de la société entière. Un tel gouvernement n'a jamais existé et il ne pourrait exister que pour ramener le peuple au despotisme. La démocratie est un...
Page 86 - Fabre d'Eglantine fut à la tête de ce parti ; il n'y fut point seul. Il fut le cardinal de Retz d'aujourd'hui ; panégyriste de d'Orléans , il a été jusqu'au moment de sa détention , et même depuis , le continuateur de toutes les factions ; il usa de toutes les intrigues des autres pour intriguer par elles , les dénonçant pour ne point partager...
Page 176 - ... de l'humanité, sans lequel une grande révolution n'est qu'un crime éclatant qui détruit un autre crime ; elle existe : cette ambition généreuse de fonder sur la terre la première république du monde...
Page 20 - Je n'ai pas suivi le système de ces hommes immoraux et pervers qui affectent le philosophisme pour ne point laisser voir qu'ils sont sans mœurs et sans vertus, qui abattent une croix pour qu'on ne s'occupe pas de leurs dilapidations et de leurs crimes
Page 185 - Ceux qui font la guerre à un peuple, pour arrêter les progrès de la liberté et anéantir les droits de l'homme, doivent être poursuivis par tous , non comme des ennemis ordinaires , mais comme des assassins et des brigands rebelles.
Page 100 - Analysez [maintenant] toute la conduite politique de Danton : vous verrez que la réputation de civisme qu'on lui a faite était l'ouvrage de l'intrigue, et qu'il n'ya pas une mesure liberticide qu'il n'ait adoptée. On le voit, dans les premiers jours de la Révolution, montrer à la cour un front menaçant, et parler avec véhémence dans le club des Cordeliers ; mais bientôt il se lie avec les Lameth, et transige avec eux ; il se laisse séduire par Mirabeau, et se montre aux yeux observateurs...
Page 9 - Juste ciel! toutes les hordes féroces du despotisme s'apprêtent à déchirer de nouveau le sein de notre patrie, au nom de Louis XVI ! Louis combat encore contre nous du fond de son cachot ; et l'on doute s'il est coupable, si on peut le traiter en ennemi!
Page 19 - Mais quand un grand pays révolutionnaire lutte à la fois contre les factions intérieures armées contre le monde, quand la moindre hésitation ou la moindre faute peuvent compromettre pour des siècles peut-être le destin de l'ordre nouveau, ceux qui dirigent cette entreprise immense n'ont pas le temps de rallier les dissidents, de convaincre leurs adversaires. Ils ne peuvent faire une large part à l'esprit de dispute ou à l'esprit de combinaison. Il faut qu'ils combattent, il faut qu'ils agissent,...
Page 167 - La faction des indulgents qui veulent sauver les criminels, et la faction de l'étranger, qui se montre hurlante parce qu'elle ne peut faire autrement sans se démasquer, mais qui tourne la sévérité contre les défenseurs du peuple, toutes ces factions se retrouvent la nuit pour concerter leurs attentats du jour; elles paraissent se combattre pour que l'opinion se partage entre elles; elles se rapprochent ensuite pour étouffer la liberté entre deux crimes.