| 1791 - 630 pages
...ces lourdes hoftilites. » « Enfin , vous m'avez fait entendre qu'un mouvement général cntraînoit la nation , & que le cri de tous les François étoit : Plutôt la guerre, qu'une patience ruineufe & aviliflante. » « Meilleurs , j'ai penfé long-temps que les... | |
| 1792 - 888 pages
...179». & ces l'ources d'hultilncs ; enfin vous m'avez fait entendre qu'un mouvement général enmînoit la nation , & que le cri de tous les François étoit plutôt la guerre qu'une patience ruinculc & aviliflante. » Meflit- urs , j'ai penfé long tcms que les circonftances... | |
| Periodicals - 1792 - 452 pages
...long-tems ce manque d égards II ces fources d'hofttiités ; enfin vous m'avez fait entendre qtùm mouvement général entraînoit la nation , & que le cri de tous les François étoit pluiôt la guerre qu'une patience ruineufe & avilifl'ante. » Meftieurs, j'ai penfé long terris que... | |
| 1792 - 494 pages
...ces four des hofti'ites n. « Enfin vous m'avez fait entendre qu'us mouvement général entraînent, la Nation, & que le cri de tous les François étoit plutôt la guerre qu'une patience ruineufe Sf étvilifftinte », •• « Meilleurs , j'ai peufé longterr.s... | |
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