Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Part 2Arthur La Broderie, Émile Grimaud J. Forest, aîné, 1892 - Brittany (France) |
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Common terms and phrases
Acigné administrateurs août Arch Auray avoit Ballue beau belle Binic bois Breil Brest Bretagne bretonne Brizeux Broudou capitaine Chabot chante chapelle Charles Charles Chabot charmante château Chatellier cheval cœur comité commandement commissaire compagnie côte Côtes-du-Nord d'Acigné d'Auray dernier devant donner épousa étoit femme fille fils Finistère François frère garde garde-côtes gens gentilshommes Guermeur guerre GUY CHABOT hommes Hugo j'ai Jarnac Jean jeune Jos Parker jour juillet Kerviler l'arrière-ban l'église Lafolye Lande Lantic Lapérouse Lehon lettre Levot lieutenant Loaven maison manoir Marie-Rose marine mars milices Morbihan mort Nantes nobles noblesse nommé Olivier de Gourcuff paroisse passé pays Paysages et Monuments peuple pièce Pierre Plougrescant poésie poète Pont-l'Abbé première province Quimper Rennes répondant reste Rheu rivière Rochelle Royou Rozik saint Gonéri Saint-Brieuc Saint-Malo sainte Eliboubane seigneur d'Apigné septembre sera seulement siècle sieur de Pontcalec Société soir terre Thurian Tréguier trouve Vannes vicomte vieux Yves Berthou
Popular passages
Page 154 - Le vieillard, qui revient vers la source première, Entre aux jours éternels et sort des jours changeants; Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens, Mais dans l'œil du vieillard on voit de la lumière.
Page 135 - Société populaire : moi, s'est écrié avec un noble enthousiasme le citoyen Ance; c'est moi qui ambitionne l'honneur de faire tomber la tête des assassins de ma patrie. A peine at-il eu le temps de prononcer cette phrase que d'autres se sont...
Page 11 - C'étoit, pour la figure extérieure, un soldat aux gardes, et même un peu suisse, habillé en femme : elle en avoit le ton et la voix, et des mots du bas peuple; beaucoup de dignité, beaucoup d'amis, une politesse choisie, un sens et un...
Page 169 - C'était une humble église au cintre surbaissé, L'église où nous entrâmes, Où depuis trois cents ans avaient déjà passé Et pleuré bien des âmes; Elle était triste et calme à la chute du jour, L'église où nous entrâmes ; L'autel sans serviteur, comme un cœur sans amour, Avait éteint ses flammes.
Page 166 - J'ai vu, par l'avarice ennuyés et vieillis, Des barbares sans foi , sans cœur, sans espérance, Et, l'amour m'inspirant, j'ai chanté mon pays. Vingt ans je l'ai chanté...
Page 141 - ... quoique je ne fusse plus amoureux, je lui ai sacrifié les avantages les plus flatteurs parce que j'ai cru que c'était d'un devoir rigoureux, et qu'elle n'a employé d'autres armes que les pleurs avec une grande honnêteté ; mais je suis convenu avec elle de chercher dans le service des compensatious, et je suis prêt, Monseigneur, à faire le tour du monde pendant six ans si vous l'ordonnez.
Page 117 - F0ucher, qui est un jeune poète d'un talent original. Tous les soirs indistinctement je suis invité d'aller chez Hugo : il ya toujours des gens de lettres de la nouvelle école ou des artistes à s'y réunir, et là, s'il n'y est pas, sa femme reçoit, elle ne sort presque jamais. C'est une société d'amis où l'on est sans étiquette, et où l'on chante à cœur ouvert ; je vais te nommer à peu près ceux qui forment cette société : c'est Af°...
Page 258 - La Gloire \ de \ sainte Anne en l'origine et progrès \ admirable de la célèbre dévotion | de sa chapelle miraculeuse près | d'Auray en Bretagne.
Page 11 - C'ÉTAIT sous la corpulence, l'épaisseur, la pesanteur, la physionomie d'un bœuf, l'esprit le plus délié, le plus délicat, le plus souple, le plus adroit à prendre et à pousser ses avantages, avec tout l'agrément et la finesse possible, jointe à une grande capacité et à une continuelle expérience de toutes sortes d'affaires, et la réputation de la plus exacte probité, décorée à l'extérieur d'une libéralité et d'une magnificence également splendide, placée et bien entendue, et...
Page 113 - Bibliophiles bretons, renferment, comme on l'a remarqué alors, de curieux renseignements sur la querelle des classiques et des romantiques et d'intéressantes critiques de leurs ouvrages au moment même de leur apparition ; elles donnent de piquants détails sur les hommes les plus marquants de la littérature et de la politique avec lesquels Boulay-Paty, à titre d'homme de lettres et de bibliothécaire de la Maison d'Orléans, s'est trouvé en rapports journaliers. Elles font partie d'une correspondance...