Les hommes de 1852 |
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Common terms and phrases
22 juin allait amendements assemblées aujourd'hui avaient Baroche baron Billault Bonaparte Bouhier de l'Écluse c'était candidat officiel caractère catholique Chambre chapitre chose circonscription collègues commissaire du gouvernement commission du budget conseil d'État conseillers d'État constitution contrôle Corps législatif coup d'État Décembre déclare décret demande démocratie dépenses députés devant Devinck discours discussion générale dotation duc d'Uzès finances garde nationale Gouin hommes jour juin Kerdrel l'armée l'assemblée l'empire l'esprit l'honorable l'opposition l'orateur laisser libéral liberté Louis Veuillot LOUIS-NAPOLÉON BONAPARTE majorité marquis de Calvières membres ment messieurs ministre modération monarchie Montalembert Morny n'avait n'était Napoléon Napoléon III orateur Parieu parle parlementaire parole passé pays pensée Persigny personnelle politique porté pouvait pouvoir président du Corps presse prince président projet de loi public publique question rapporteur régime régime parlementaire républicain République reste rien Rouher s'était séance second empire Sénat sénateurs sénatus-consulte sentiment serait session seulement sion situation sorte surtout tion tribune vernement vote Vuitry
Popular passages
Page 171 - Des citoyens que le Président de la République juge convenable d'élever à la dignité de sénateur. Art. 21 . Les sénateurs sont inamovibles et à vie. Art. 22. Les fonctions de sénateur sont gratuites; néanmoins le Président de la République pourra accorder à des sénateurs, en raison de services rendus et de leur position de fortune , une dotation personnelle, qui ne pourra excéder trente mille francs par an.
Page 49 - Depuis trop longtemps la société ressemblait à une pyramide qu'on aurait retournée et voulu faire reposer sur son sommet; je l'ai replacée sur sa base. Le...
Page 281 - Le nouveau règne que vous inaugurez aujourd'hui, n'a pas pour origine, « comme tant d'autres dans l'histoire , la violence, la conquête ou la ruse. Il « est, vous venez de le déclarer, le résultat légal de la volonté de tout « un peuple qui consolide, au milieu du calme, ce qu'il avait fondé au sein « des agitations. Je suis pénétré de reconnaissance envers la nation qui, trois « fois en quatre années, m'a soutenu de ses suffrages, et chaque fois n'a aug...
Page 289 - Il est voté par ministère. La répartition par chapitres du crédit accordé pour chaque ministère est réglée par décret de l'Empereur, rendu en Conseil d'État.
Page 10 - ... du gouvernement qu'il vient de fonder. En conséquence, Monsieur le préfet, prenez des mesures pour faire connaître aux électeurs de chaque circonscription de votre département, par l'intermédiaire des divers agents de l'administration, par toutes les voies que vous jugerez convenables, selon l'esprit des localités, et, au besoin, par des proclamations affichées dans les communes, celui des candidats que le gouvernement de LouisNapoléon juge le plus propre à l'aider dans son œuvre réparatrice.
Page 286 - Conseil d'État quand ils ont atteint l'âge de dix-huit ans accomplis. Ils ne peuvent y siéger qu'avec l'agrément de l'Empereur.
Page 330 - Loi du 9-12 juillet 1852, relative aux interdictions de séjour dans le département de la Seine et dans les communes de l'agglomération lyonnaise.
Page 49 - Pourquoi, en 1814, at-on vu avec satisfaction, en dépit de nos revers, inaugurer le régime parlementaire? C'est que l'Empereur, ne craignons pas de l'avouer, avait été, à cause de la guerre, entraîné à un exercice trop absolu du pouvoir. » Pourquoi, au contraire, en 1861, la France applaudissait-elle à la chute de ce même régime parlementaire...
Page 10 - Comme c'est évidemment la volonté du peuple d'achever ce qu'il a. commencé, il faut que le peuple soit mis en mesure de discerner quels sont les amis et quels sont les ennemis du Gouvernement qu'il vient de fonder. En conséquence,, monsieur le Préfet, prenez des mesures pour faire connaître aux électeurs de chaque circonscription...
Page 126 - Je n'attaque en aucune manière; je dis seulement que cet acte a dû être jugé ainsi par un homme qui croyait qu'il y avait là une confiscation. La pensée de M. de Montalembert était celle de M. le procureur général; pas de vous, monsieur le procureur général, mais de l'autre qu'on a restitué à la cour de cassation.