Urgences/Réanimation, transfusion sanguine : soins infirmiers

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Elsevier Masson, 2005 - Blood - 344 pages
La 4e de couv. indique : "Cette cinquième édition du cahier n° 21 recouvre le programme du module « Soins infirmiers aux urgences et en réanimation, transfusion sanguine » du diplôme d'État. La mise à jour de cette nouvelle édition a été effectuée pour tenir compte de l'évolution des connaissances, des techniques et de la législation. La première partie expose l'organisation actuelle des secours et l'accueil hospitalier des urgences, la prise en charge des principales urgences et le rôle de l'infirmier(e). La deuxième partie aborde l'accueil de l'infirmier(e) en réanimation, la prise en charge globale du patient et de son entourage, les détresses vitales, les principaux désordres et pathologies en réanimation. La troisième partie est consacrée à la salle de surveillance post-interventionnelle, au rôle de l'infirmier(e) anesthésiste diplômé(e) d'État (IADE). La quatrième partie traite de la prise en charge de la douleur aux urgences, en réanimation et durant la période péri-opératoire. Enfin, la cinquième partie traite de la transfusion sanguine et de l'hémovigilance, et précise les modalités d'utilisation des produits sanguins. Des encadrés intitulés « Points clés » sont insérés pour mettre en valeur les connaissances incontournables. La compréhension et l'acquisition des connaissances sont facilitées par une présentation tout en couleurs :. maquette en couleurs afin de mettre en valeur la structure du cours ;. nombreux schémas, tableaux et photographies en couleurs afin de faciliter l'apprentissage des connaissances. Et toujours, en fin d'ouvrage : un cahier d'entraînement, pour permettre à l'étudiant de tester ses connaissances et de s'entraîner à la résolution de cas concrets."
 

Contents

Surveillance mécanique
218
Transports intrahospitaliers A Polycarpe
225
Troisième partie
231
Copyright

Common terms and phrases

Popular passages

Page 22 - Tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer.
Page 22 - On est responsable non seulement du dommage que l'on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l'on a sous sa garde.
Page 289 - La réforme de la responsabilité médicale après la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé.
Page 90 - Article 35 : le médecin doit à la personne qu'il examine, qu'il soigne ou qu'il conseille, une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu'il lui propose. Tout au long de la maladie, il tient compte de la personnalité du patient dans ses explications et veille à leur compréhension.
Page 283 - Ensemble des procédures de surveillance organisées depuis la collecte du sang et de ses composants jusqu'au suivi des receveurs, en vue de recueillir et d'évaluer les informations sur les effets inattendus ou indésirables résultant de l'utilisation thérapeutique des produits sanguins labiles, et d'en prévenir l'apparition".
Page 20 - Relèvent du rôle propre de l'infirmier ou de l'infirmière les soins liés aux fonctions d'entretien et de continuité de la vie et visant à compenser partiellement ou totalement un manque ou une diminution d'autonomie d'une personne ou d'un groupe de personnes. Dans ce cadre...
Page 91 - Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d'exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences. Si le malade est hors d'état d'exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que ses proches aient été prévenus et informés, sauf urgence ou impossibilité.
Page 92 - Tout au long de la maladie, il tient compte de la personnalité du patient dans ses explications et veille à leur compréhension. Toutefois, dans l'intérêt du malade et pour des raisons légitimes que le praticien apprécie en conscience, un malade peut être tenu dans l'ignorance d'un diagnostic ou d'un pronostic grave sauf dans les cas où l'affection dont il est atteint expose les tiers à un risque de contamination.
Page 148 - Ce refus peut être exprimé par l'indication de sa volonté sur un registre national automatisé prévu à cet effet Il est révocable à tout moment (. . .) Si le médecin n'a pas directement connaissance de la volonté du défunt, il doit s'efforcer de recueillir le témoignage de sa famille.
Page 272 - ... le directeur général de l'institut national de la santé et de la recherche médicale; le directeur de...

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