Histoire de la révolution française, Volumes 5-6Pagnerre, 1864 - France |
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Page 31
Louis Blanc. Bouillé n'avait pas attendu ces derniers désordres pour se mettre en marche . Dès le 28 , il était parti de Metz , mais secrètement , parce qu'il craignait d'être retenu par les soldats de la garnison ' . N'ayant auprès de ...
Louis Blanc. Bouillé n'avait pas attendu ces derniers désordres pour se mettre en marche . Dès le 28 , il était parti de Metz , mais secrètement , parce qu'il craignait d'être retenu par les soldats de la garnison ' . N'ayant auprès de ...
Page 43
... n'avait que vingt - huit ans . Devant cette tombe si prématurément ouverte , au moment où elle allait se fermer pour toujours , Legendre rencontra les accents d'une éloquence pathétique , et Marat ne cacha point qu'il pleurait . Les ...
... n'avait que vingt - huit ans . Devant cette tombe si prématurément ouverte , au moment où elle allait se fermer pour toujours , Legendre rencontra les accents d'une éloquence pathétique , et Marat ne cacha point qu'il pleurait . Les ...
Page 44
... n'avait pas cessé un instant de décliner . Bientôt , contre cet empire dont les âmes orgueilleuses ne purent longtemps tolérer l'in- solence , il avait vu se lever l'impatiente armée des jour- nalistes , des fabricateurs de libelles ...
... n'avait pas cessé un instant de décliner . Bientôt , contre cet empire dont les âmes orgueilleuses ne purent longtemps tolérer l'in- solence , il avait vu se lever l'impatiente armée des jour- nalistes , des fabricateurs de libelles ...
Page 47
... n'avait voulu , ni de ses appointements de ministre des finances , fixés alors à deux cent mille francs , ni de ceux de ministre d'État , qui montaient à vingt mille , ni des pensions attachées à ces places , ni des droits annuels de ...
... n'avait voulu , ni de ses appointements de ministre des finances , fixés alors à deux cent mille francs , ni de ceux de ministre d'État , qui montaient à vingt mille , ni des pensions attachées à ces places , ni des droits annuels de ...
Page 52
... n'avait pris part , ni aux premiers débats soulevés par l'idée des assignats , ni aux décrets d'exécution , soit du 17 mars 1789 , soit du 1er juin 1790. Il avouait lui - même que l'image d'une cir- culation de papier tout à coup ...
... n'avait pris part , ni aux premiers débats soulevés par l'idée des assignats , ni aux décrets d'exécution , soit du 17 mars 1789 , soit du 1er juin 1790. Il avouait lui - même que l'image d'une cir- culation de papier tout à coup ...
Common terms and phrases
armée avaient Bailly Barnave Bertrand de Molleville Bouillé Brissot Buchez et Roux Burke c'était Camille Desmoulins cent Champ de Mars chap chose citoyens clergé club des Jacobins cœur colonies comité comte d'Artois comte de Mirabeau Constitution Constitutionnels coup crime Danton déclaration décret demande députés devant discours Dumouriez Duport émigrés ennemis Étienne Dumont eût garde nationale Girondins Guadet guerre Histoire parlementaire homme d'État Ibid jour l'abbé L'Ami du peuple l'Assemblée nationale Lafayette Lameth Léopold lettre liberté Louis XVI madame Campan madame Roland Malouet Marat Marck Mathieu Dumas Mémoires de Ferrières Mémoires de madame Mémoires tirés ment Michelet mille ministre monarchie Moniteur municipalité n'avait n'était Nancy nation officiers papiers d'un homme paroles passer patrie patriotes Pétion pétition porte pouvait prêtres prince reine républicain reste Révolution française Robespierre royale royaume s'était séance sentiment serait serment seul société soldats sorte tion tirés des papiers tribune Varennes
Popular passages
Page 37 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France...
Page 72 - ... cents journées de travail, ou d'être locataire d'une habitation évaluée sur les mêmes rôles, à un revenu égal à la valeur de cent cinquante journées de travail; Dans les villes au-dessous de six mille âmes, celle d'être propriétaire ou usufruitier...
Page 467 - II sera établi des fêtes nationales pour conserver le souvenir de la révolution française , entretenir la fraternité entre les citoyens , et les attacher à la constitution, à la patrie et aux lois.
Page 479 - Les décrets du corps législatif concernant l'établissement, la prorogation et la perception des contributions publiques, porteront le nom et l'intitulé de lois. Ils seront promulgués et exécutés sans être sujets à la sanction, si ce n'est pour les dispositions qui établiraient des peines autres que des amendes et contraintes pécuniaires.
Page 367 - ... malheurs qu'il est encore possible d'éviter. Je sais qu'on peut imaginer tout opérer et tout contenir par des mesures extrêmes : mais , quand on aurait déployé la force, pour contraindre l'Assemblée; quand...
Page 484 - ... des actions déclarées crimes ou délits par la loi. La censure sur les actes des pouvoirs constitués est permise ; mais les calomnies volontaires contre la probité des fonctionnaires publics et la droiture de leurs intentions dans l'exercice de leurs fonctions, pourront être poursuivies par ceux qui en sont t'objet.
Page 447 - Constitution avec une ironie aussi insultante, ne seraient-ils pas en droit de lui répondre : « 0 roi, qui sans doute avez cru, avec le tyran Lysandre, que la vérité ne valait pas mieux que le mensonge, et qu'il fallait amuser les hommes par des serments comme on amuse les enfants avec des osselets ; qui n'avez feint d'aimer les...
Page 483 - Tout gardien ou geôlier est tenu, sans qu'aucun ordre puisse l'en dispenser, de représenter la personne du détenu à l'officier civil ayant la police de la maison de détention, toutes les fois qu'il en sera requis par lui.
Page 470 - Seront néanmoins obligés d'opter, les ministres et les autres agents du Pouvoir exécutif révocables à volonté, les commissaires de la Trésorerie nationale, les percepteurs et receveurs des contributions directes, les préposés à la perception et aux régies des contributions indirectes et des domaines nationaux...
Page 231 - Mais quoi ! voilà tous les orateurs de la guerre qui m'arrêtent ; voilà M. Brissot qui me dit qu'il faut que M. le comte de Narbonne conduise toute cette affaire ; qu'il faut marcher sous les ordres de M. le marquis de Lafayette...; que c'est au pouvoir exécutif qu'il appartient de mener la nation à la victoire et à la liberté!