Oeuvres complètes, Volume 4Armand-Aubrée, 1831 |
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aimable aime assez auroit avez avoit besoin bonheur charmes cher Émile chose CHRISTOPHE DE BEAUMONT cœur connoissance connoître contrat social d'être desirs devoirs Dieu dire doit donner élève enfants esprit est-ce état étoient étoit eût faudroit femme fille foible foiblesse force gens gner goût gouvernement heureux honnête humain j'ai j'aurois j'avois j'en j'étois jamais jeune homme jeunesse jour jugement l'amour l'autre l'être l'homme l'usage du monde laisser livre lois long-temps maître maître à danser malheureux Mandement ment mère mieux mœurs monde monseigneur morale n'en n'étoit nature objet pable parler paroît passer passions péché originel peine penser père personne peuple plaire plaisir plaisirs pouvoit préjugés premier qu'à qu'un raison religion rendre reste reux rien s'il sage saint Paul sait savoir sentiments sera seroit seul sexe Socrate soin Sophie sophisme sort souf Sparte sûr Télémaque Tertullien tion trouve vérité vertu veut veux vice Voilà vois voudrois vrai yeux
Popular passages
Page 419 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir , souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation? Quand Platon peint son juste imaginaire, couvert de tout l'opprobre du crime et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ ; la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie , et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 340 - Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 418 - Je vous avoue aussi que la majesté des Ecritures m'étonne, que la sainteté de l'Evangile parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe : qu'ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu'un livre à la fois si sublime et si simple soit l'ouvrage des hommes ? Se peut-il que celui dont il fait l'histoire ne soit qu'un homme lui-même...
Page 200 - Le" pays des chimères est en ce monde le seul digne d'être habité, et tel est le néant des choses humaines, qu'hors * l'Être existant par lui-même il n'ya rien de beau que ce qui n'est pas.
Page 56 - Le service n'aurait pas plus d'ordre que d'élégance; la salle à manger serait partout, dans le jardin, dans un bateau, sous un arbre; quelquefois au loin, près d'une source vive, sur l'herbe verdoyante et fraîche, sous des touffes d'aunes et de coudriers...
Page 147 - Combien un repas grossier paraît savoureux! Avec quel plaisir on se repose à table! Quel bon sommeil on fait dans un mauvais lit! Quand on ne veut qu'arriver, on peut courir en chaise de poste; mais quand on veut voyager, il faut aller à pied.
Page 55 - Je n'irais pas me bâtir une ville en campagne, et mettre au fond d'une province les Tuileries devant mon appartement. Sur le penchant de quelque agréable colline bien...
Page 196 - Mon enfant, il n'ya point de bonheur sans courage, ni de vertu sans combat. Le mot de vertu vient de force; la force est la base de toute vertu. La vertu n'appartient qu'à un être faible par sa nature, et fort par sa volonté...
Page 340 - J'avoue que la majesté des Écritures m'étonne : la sainteté de l'Évangile *** parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes : avec toute leur pompe, qu'ils sont petits près de celui-là! Se peut-il qu'un livre à la fois si sublime et si simple soit l'ouvrage des hommes ? Se peut-il que celui dont il fait l'histoire ne soit qu'un homme lui-même ? Est-ce le ton d'un enthousiaste ou d'un ambitieux sectaire ? Quelle douceur, quelle pureté dans ses mœurs!
Page 221 - État quand il est passif, Souverain quand il est actif, Puissance en le comparant à ses semblables.