Lettres, mémoires et négociations de monsieur le comte d'Estrades: tant en qualité d'ambassadeur de S.M.T.C. en Italie, en Angleterre, & en Hollande, que comme ambassadeur plénipotentiaire à la paix de Nimegue, Volume 9J. Nourse, 1743 - Europe |
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affaire affez affûrer ainfi ajoûter Alliez Ambaffadeurs de l'Empereur auffi avez avoient avoit avons baffadeurs c'eft chofes Colbert & Comte Commerce Comte d'Avaux confidérable connoître Coufin d'Angleterre Dannemarc Decembre défire déja dépêche derniére Eſpagnols Etats Généraux étoient étoit fans fatisfaction fçavoir fent feroit fervir fes Maîtres feulement fieur de Pomponne foient foit fommes fon Maître font fuivant fujet Gurk jufqu'à l'Evêque de Strasbourg laiffé LETTRE De Meffieurs lorfqu'ils lorfque Majefté Majeſté maniére Marchandifes Meffieurs Colbert Meffieurs les Ambaffadeurs Meffieurs les Ambaſſadeurs Meffieurs les Etats Mémoire ment Miniftre Monfieur de Beverning Monfieur de Pomponne Monfieur Jenkins Monfieur l'Evêque Monfieur le Nonce Monfieur le Prince n'eft Nimegue paffé Paffeport Paix paroître particuliére Pleinpouvoir plûtôt Pomponne à Meffieurs pourroit pouvoit préfent prémier prémiére Prince Charles Prince d'Orange propofé propofitions raifons reçû réponſe Sieur de Beverning Sieur Duker Sire Suéde témoigné tems toûjours Traité de 1662 vifite vouloit
Popular passages
Page 6 - Il vous eft auflî aifé d'écrire des chofes dignes de la poftérité qu'il l'eft aux rois du Midi d'écrire : Dieu vous ait, mon coufin, en- fa fainte & digne garde ; & vous , monteur le préfident , en fa, fainte garde.
Page 140 - fin , je prie Dieu, qu'il vous ait, „ mon Coufin , en fa fainte &
Page 244 - Et ta préfentc n'étant à autre fin , je prie Dieu , mon Coufin, qu'il vous ait en fa fainte & digne garde.
Page 284 - Majefté , que fes difpofitions & fon affection pour fes intérêts feroient toujours les mêmes: qu'il s'étoit cru obligé de guérir par cette Alliance les inquiétudes que fon étroite Alliance avec la. France, & la Religion de Monfieur le Duc...
Page 41 - ... tre cette couronne, ainfi qu'il m'y obligea en l'année 1665. Pourpré» venir l'inconvénient que ce foupcon pourroit caufer, auprès du roi d'An» gleterre, j'ai fait déclarer à ce prince , que le traité que vous négociez » avec les Etats, regarderoit uniquement la navigation & le commerce) » & qu'il ne s'y pafleroit chofe quelconque, que du confentement & « » la participation de ce prince. Ainfi il importe que lorfque vous agite...
Page 97 - J'ai reçu il ya quelques jours la lettre que vous m'avez fait l'honneur de m'écrire du 10 de ce mois, mais je n'ai que d'hier au soir un mémoire de M. de Croissy pour M. de Montesson.
Page 181 - Traité^ que le droit d'invpofer felon la volonté du Prince fur les Marchandifes qui entrent ou fortent d'un Etat, eft tellement domanial , & marque de telle forte la Souveraineté, que ce feroit y faire quelque préjudice que de fe.
Page 117 - France , & y porter des fommes confidérables , & qu'il ne doutoit pas qu'un fi bon commencement ne confirmât les Etats d'Hollande dans la réfolution que la plupart des villes avoient prife de ne plus recommencer la guerre. Les...
Page 280 - Monfieur, la Let'tre que vous nous avez fait l'honneur de nous écrire du fixiéme de ce mois, & comme elle ne nous ordonne rien de nouveau , nous n'avons auffi.
Page 213 - C'eft ce que vous devez lui dire précifément en ces termes, mais de bouche feulement, & en lui faifant voir, que rien de ce que je veux faire en ce point pour favorifer les Etats Généraux ne peut être mis par écrit, ni entrer dans un Traité, par les raifons que vous lui avez ci-devant aportées.