Journal encyclopédique ou universel, Volume 1, Parts 1-31780 |
From inside the book
Results 1-5 of 51
Page 35
... femme étant venue avec une compagnie dans le cabinet à préfent garni de charmille , a découvert fous le banc une racine de l'arbufte extirpé , qui avoit pouffé , & qu'elle en a rompu un petit rejetton pour le montrer aux affiftans . Au ...
... femme étant venue avec une compagnie dans le cabinet à préfent garni de charmille , a découvert fous le banc une racine de l'arbufte extirpé , qui avoit pouffé , & qu'elle en a rompu un petit rejetton pour le montrer aux affiftans . Au ...
Page 42
... ? On l'observe dans l'épilepfie , dans beaucoup d'affections ner- veufes ; les femmes vaporeufes , les hommes mélancoliques ont prefque toujours la bou- che pleine de falive . J'ai été confulté par deux 42 JOURNAL ENCYCLOP .
... ? On l'observe dans l'épilepfie , dans beaucoup d'affections ner- veufes ; les femmes vaporeufes , les hommes mélancoliques ont prefque toujours la bou- che pleine de falive . J'ai été confulté par deux 42 JOURNAL ENCYCLOP .
Page 52
... , par amour pour fon cheval , n'héfita pas ; & auf- fi - tôt une des jambes de cet animal fe ral- longea ; il fallut il fallut que fa femme & fes en- fans l'imitaffent pour en rétablir encore deux . La quatrieme 52 JOURNAL ENCYCLOP .
... , par amour pour fon cheval , n'héfita pas ; & auf- fi - tôt une des jambes de cet animal fe ral- longea ; il fallut il fallut que fa femme & fes en- fans l'imitaffent pour en rétablir encore deux . La quatrieme 52 JOURNAL ENCYCLOP .
Page 67
... elle fe retira en Espagne , chez une de fes parentes , qui la plaça Demoiselle de compagnie chez la femme d'un corrégi- dor . De fes deux fils , l'un , nommé Lifan- dre , obtint un régiment par la protection d'un grand JANVIER 67 1780 .
... elle fe retira en Espagne , chez une de fes parentes , qui la plaça Demoiselle de compagnie chez la femme d'un corrégi- dor . De fes deux fils , l'un , nommé Lifan- dre , obtint un régiment par la protection d'un grand JANVIER 67 1780 .
Page 68
... femme d'un médecin qui étoit mort affez fubitement , il fut impliqué , quoiqu'in- nocent de cette mort , aufli bien ... femmes fe firent leurs confidences mutuelles ; Cléonice vit qu'Octa- ve étoit fon fils ; ce qui lui infpira un nou ...
... femme d'un médecin qui étoit mort affez fubitement , il fut impliqué , quoiqu'in- nocent de cette mort , aufli bien ... femmes fe firent leurs confidences mutuelles ; Cléonice vit qu'Octa- ve étoit fon fils ; ce qui lui infpira un nou ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
adreffe affez affurer ainfi auffi auteurs avoient avoit befoin c'eft C'eſt caufe chofe Cléopatre compofé comte d'Estaing confeil conféquence confidérable connoiffances connoître derniere différens diftinguer efpece efprit enfuite eſt étoient étoit faifant Falconet fans fçait fciences fe trouve fecond fecours fecret feigneur fens fentiment féparé fera feroit fervir feul fidérable fiecle fignes fimple fociété foin foit fommes font fourd & muet fous fouvent fouverain fuccès fuite fuivant fujet fuppofe furtout Grande-Bretagne habitans Hiftoire hommes intéreffant Journal jufqu'à jufte juftice l'abbé Brotier l'académie l'auteur l'hiftoire laiffe lefquels Lépide Livarot Locman loix lorfque maniere marronniers d'Inde ment miniftres n'eft n'étoit néceffaire obfervations ouvrage paffe paffions paroît particuliere penfer perfonne philofophie plaifir plufieurs poéfie poëtes poffible pouvoit préfent prefque premiere propofe puiffe queftion raifon refpectable refte Rouffeau royale s'eft SUÉTONE teffe tems teur théatre Timon tion tourmaline ufage vaiffeaux
Popular passages
Page 354 - Paris , que ces préfentes ils aient à faire lire , publier & enregiftrer , même en tems de vacations , & le contenu en icelles garder & obferver félon leur forme & teneur...
Page 138 - La même fociété avoit accordé le titre de fon ingénieur en inftrumens de mathématique à feu M. Langlois , comme au premier artifte du royaume en ce genre ; elle l'avoit accordé de même à M. Canivet , fon neveu , qu'elle avoit regardé comme l'héritier des talens de fon oncle. A la mort de ce dernier , plufieurs...
Page 271 - Ifthmiens ont été regardés unanimement comme les plus célèbres ; & l'on a pu dire avec raifon qu'ils ne fortiront jamais de la mémoire des hommes, tant que les écrits de l'antiquité fubfifteront dans le monde.
Page 364 - France à se servir du bruit de cette alliance,, comme du moyen le plus efficace pour enflammer les...
Page 426 - ... dépense. Cet ouvrier, dit-on, quadruple ainsi la valeur première du lin ; point du tout : il ne fait que joindre à cette valeur première une valeur étrangère, qui est celle de toutes les choses qu'il a consommées nécessairement. Ces deux valeurs ainsi cumulées forment alors , non la valeur du lin, car il n'existe plus, mais ce que nous pouvons nommer le prix nécessaire de la toile, prix qui, par ce moyen, représente...
Page 115 - Voici donc le principe fondamental des lois politiques en fait de religion. Quand on est maître de recevoir dans un état une nouvelle religion , ou de ne la pas recevoir , il ne faut pas l'y établir; quand elle y est établie , il faut la tolérer.
Page 138 - Se le réferver à celui des artiftes nationaux & regnicoles qui lui prciènteroit le meilleur quart du cercle de trois pieds de rayon , garni de toutes les pièces qui peuvent fervir à le rendre d'un ufage sûr à commode , & accompagné d'un, mémoire contenant le détail des moyens qui auront été employés pour le conjlruire.
Page 353 - Enjoint Sa Majesté au sieur d'Argenson, conseiller d'État et lieutenant général de police à Paris, de tenir la main à l'exécution du présent arrêt , et d'en certifier M. le chancelier dans huitaine. Fait au conseil d'État, Sa Majesté y étant, tenu à Versailles, le premier jour de juillet 1710.
Page 378 - Cependant c'eft celui de mon indépendance qui règne dans mon âme, & puis- je concevoir, qu'efclave fur tout le refte, je ne fois libre que fur l'opinion de ma liberté ? Tous les efforts que l'on fait pour la combattre fe terminent tout au plus à faire naître un doute , & ce doute même en devient une preuve, puifque quiconque doute , n'eft pas invinciblement déterminé.
Page 383 - Les dépofitaires de ces manufcrits fe détermineroient peut-être plus facilement à les publier , s'ils pouvoient recouvrer plufieurs pièces qui en font partie & qui font reftées entre les mains de ceux à qui elles ont été communiquées. On les prie de vouloir bien faire remettre à M. Simon, Imprimeur, ces...