...là, Napoléon, non par faiblesse, mais pour se soustraire au spectacle accusateur de cette retraite, ne quittait pas la tête de l'armée, et tantôt à...plaindre de ses lieutenants, comme s'il avait pu faire encore illusion à quelqu'un en blâmant d'au"tres que lui ! yive II n'avait pas entretenu depuis Malo-Jaroslawetz...

...faiblesse, mais pour se soustraire au spectacle accusateur de cette retraite, ne quittait pas la tète de l'armée, et tantôt à cheval, tantôt à pied,...plaindre de ses lieutenants, comme s'il avait pu faire encore illusion à quelqu'un en blâmant d'autres que lui ! vive II n'avait pas entretenu depuis Malo-Jaroslawetz...

...l'arrière-garde, n'aper« cevant aucun de ses embarras, il persistait à se plaindre d'elle au lieu de la • dans un abîme de réflexions désolantes, dont il...se plaindre « de ses lieutenants, comme s'il avait encore pu faire allusion à quelqu'un en « blâmant d'autres que lui. • Tome XIV, p. 509 et 510....

...voir; et, « tandis « que l'arrière -garde, harcelée par l'ennemi, mourait de froid, de « fuim et de désespoir, lui ne quittait pas la tête de...faire illusion à quelqu'un en blâmant d'autres que lui5. » Incapable de supporter le spectacle accusateur du mal qu'il a 1 Art. de'M. Prévost-Paradol...

...généraux et le moral des soldats, « Napoléon, 'dit M. Thiers (p. 510), ne quittait pas la tète de l'armée, et tantôt à cheval, tantôt à pied,...illusion à quelqu'un en blâmant d'autres que lui. » Bien plus, non content de laisser à elle-même son arrière-garde, au lieu d'aller la diriger,...

...généraux etle moral des soldats, « Napoléon, dit M.Thiers (p. 510, ne quittait pas la tête de l'année, et tantôt à cheval^ tantôt à pied, plus souvent...comme s'il avait pu faire illusion à quelqu'un en blfimant d'autres que lui. » Bien plus, non content de laisser à elle-même son arrière-garde, au...

...Napoléon, 30 non par faiblesse, mais pour se soustraire au spectacle accusateur de cette retraite, ne quittait pas la tête de l'armée, et tantôt à...entières sans proférer une parole, plongé dans 35 un abîme de réflexions désolantes dont il ne sortait que pour se plaindre de ses lieutenants,...

...non par faiblesse , mais pour se soustraire au spectacle accusateur de cette retraite , ne ({iiittait pas la tête de l'armée , et tantôt à cheval , tantôt à pied, plus souvent en voiture, entre Bevthier consterné, Murât éteint, passait des heures entières sans proférer une parole , plongé...