Histoire de France depuis la révolution de 1789: écrits d'après les mémoires et manuscrits contemporains, recueillis dans les dépôts civils et militairesTreuttel et Würtz, 1801 |
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... l'inté- rieur de la salle , et personne ne se permit une inter- pellation embarrassante ; enfin la vérité est que jamais nation ne fut plus dignement représentée . que 1791 . de Paris venait de l'instruire du départ 2 HISTOIRE DE FRANCE ,
... l'inté- rieur de la salle , et personne ne se permit une inter- pellation embarrassante ; enfin la vérité est que jamais nation ne fut plus dignement représentée . que 1791 . de Paris venait de l'instruire du départ 2 HISTOIRE DE FRANCE ,
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... de plus , sur lequel je puisse m'acquitter du devoir de citoyen ; enfin Dumourier , alors commandant militaire , et depuis . écrivit J'ai , pour mettre les contre - révolu- • IV . Ep . tionnaires à la raison , DEPUIS LA RÉVOLUTION . 43.
... de plus , sur lequel je puisse m'acquitter du devoir de citoyen ; enfin Dumourier , alors commandant militaire , et depuis . écrivit J'ai , pour mettre les contre - révolu- • IV . Ep . tionnaires à la raison , DEPUIS LA RÉVOLUTION . 43.
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... enfin tout pressait le rapport qui devait fixer l'opinion publique sur l'état du roi ; en attendant , il était en déten- tion , quoique non avouée ; il voulut même s'en assurer . Peu de jours après son retour , il se présenta à une ...
... enfin tout pressait le rapport qui devait fixer l'opinion publique sur l'état du roi ; en attendant , il était en déten- tion , quoique non avouée ; il voulut même s'en assurer . Peu de jours après son retour , il se présenta à une ...
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... enfin , où pour por ter sa véritable dénomination , le pouvoir exé- cutif devait prendre le nom de comité de sa- lut public . L'opinion du comité , livrée à la discussion fut même moins fortement attaquée que ne semblait l'annoncer l ...
... enfin , où pour por ter sa véritable dénomination , le pouvoir exé- cutif devait prendre le nom de comité de sa- lut public . L'opinion du comité , livrée à la discussion fut même moins fortement attaquée que ne semblait l'annoncer l ...
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... enfin le 17 juillet au matin , les signataires s'étaient réunis en grand nombre autour de l'autel de la patrie , champ de la fédération . Lafayette arriva à dix heures , et fit abattre les barricades déja dres- • sées ; il fut tiré , à ...
... enfin le 17 juillet au matin , les signataires s'étaient réunis en grand nombre autour de l'autel de la patrie , champ de la fédération . Lafayette arriva à dix heures , et fit abattre les barricades déja dres- • sées ; il fut tiré , à ...
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Common terms and phrases
août armées armes assurer attaque autrichien avaient bataillons Brissot Brunswick c'était camp camp de Maulde canon cavalerie Châlons château citoyens Clairfait Clairfayt coalisées comité comité autrichien commandant commissaires conseil constitution constitutionnel corps législatif Croix-aux-Bois Custine déclaration décret d'accusation défense déja départements députés devait Dumourier ennemis ensuite envoyés Ettenheim eût événements force française frontières garde nationale gardes suisses général Dillon Grand-Pré grenadiers guerre jacobins jour Kellermann L'armée du centre l'assem l'assemblée nationale l'ennemi l'état Lafayette laisser liberté Longwy Lukner maire mandé marche membres ment messieurs mesures militaire mille hommes ministre mouvement moyens municipalité n'avait n'était nation officiers ordres passer patrie patriotes Pétion peuple Pièces place politique porter position poste pouvait pouvoir exécutif pré premier président princes Prusse Prussiens public publique rassemblements reine reste retraite réunir révolution Rochambeau s'était Sainte-Menehould sanction séance Sedan semblée sentiments serment seul soldats sureté système tion toyens tribunes troupes Valmy Verdun voulait
Popular passages
Page 31 - Je jure de mourir plutôt que de souffrir l'invasion du territoire français par des troupes étrangères, et de n'obéir qu'aux ordres qui seront donnés en conséquence des décrets de l'Assemblée nationale.
Page 129 - Messieurs, disait-il, au moment trop différé peut-être où j'allais appeler votre attention sur de grands intérêts publics, et désigner, parmi nos dangers, la conduite d'un ministère que ma correspondance accusait depuis longtemps, j'apprends que, démasqué par ses divisions, il a succombé sous ses propres intrigues; car sans doute ce n'est pas en sacrifiant trois collègues asservis par leur insignifiance à son pouvoir que le moins excusable , le plus noté de ces ministresi aura cimenté,...
Page 137 - Messieurs, j'ai obéi à ma conscience, à mes sermens ; je le devais à la patrie, à vous, au roi, et surtout à moimême, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'Assemblée nationale y trouvera un nouvel hommage de mon dévouement à son autorité constitutionnelle, de ma reconnaissance personnelle et de mon respect pour elle. Signé LA FAYETTE.
Page 4 - Mais aucun danger ne pourra lui faire oublier que le sol de la France appartient tout entier à la liberté , et que la loi de l'égalité y doit être universelle. Elle présentera au monde le spectacle nouveau d'une nation vraiment libre, soumise aux règles de la justice , au milieu des orages de la guerre , et respectant partout , en tout temps , à l'égard de tous les hommes , les droits qui sont les mêmes pour tous. ' La paix que le mensonge , l'intrigue et la trahison ont éloignée, ne...
Page 27 - J'ai dû épuiser tous les moyens de maintenir la paix. Maintenant je viens, aux termes de la constitution, vous proposer formellement la guerre contre le roi de Hongrie et de Bohême.
Page 59 - Majesté a constitutionnellement refusée à deux décrets. » Le roi n'a opposé aux menaces et aux insultes des factieux que sa conscience et son amour pour le bien public. >. Le roi ignore quel sera le...
Page 27 - Constitution, de n'entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et de n'employer jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple, ne prend les armes que pour la défense de sa liberté et de son indépendance; que la guerre qu'elle est obligée de soutenir n'est point une guerre de nation à nation, mais la juste défense d'un peuple libre contre l'injuste agression d'un roi...
Page 131 - C'est elle que j'en accuse hautement. Organisée comme un empire à part dans sa métropole et dans ses affiliations, aveuglément dirigée par quelques chefs ambitieux, cette secte forme une corporation distincte au milieu du peuple français, dont elle usurpe les pouvoirs en subjuguant ses représentons et ses mandataires.