Histoire de France depuis la révolution de 1789: écrits d'après les mémoires et manuscrits contemporains, recueillis dans les dépôts civils et militairesTreuttel et Würtz, 1801 |
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Page 163
... colonnes qui se portaient à son appui , devaient passer la Sam- bre , et tomber sur le flanc de l'ennemi , n'arri- verent que lorsque l'ennemi retournait déja à Mons . Cette attaque se fit par une nuit ora- geuse ; les nouvelles ...
... colonnes qui se portaient à son appui , devaient passer la Sam- bre , et tomber sur le flanc de l'ennemi , n'arri- verent que lorsque l'ennemi retournait déja à Mons . Cette attaque se fit par une nuit ora- geuse ; les nouvelles ...
Page 166
... colonnes , armés de piques , de bâtons ferrés , de haches , de scies , portant des bannières char- gées d'inscriptions menaçantes . Un homme , couvert d'habits déchirés , tenait élevés au haut d'une pique des lambeaux d'une culotte ...
... colonnes , armés de piques , de bâtons ferrés , de haches , de scies , portant des bannières char- gées d'inscriptions menaçantes . Un homme , couvert d'habits déchirés , tenait élevés au haut d'une pique des lambeaux d'une culotte ...
Page 201
... colonnes de droite étaient formées par l'armée de Lafayette ; les deux de gauche , par celle du maréchal ; la cinquième 1792 . 1792 . V. Ep . colonne au centre par les DEPUIS LA RÉVOLUTION . 201.
... colonnes de droite étaient formées par l'armée de Lafayette ; les deux de gauche , par celle du maréchal ; la cinquième 1792 . 1792 . V. Ep . colonne au centre par les DEPUIS LA RÉVOLUTION . 201.
Page 204
... colonnes ennemies tirèrent l'une sur l'autre et perdirent cinq cents hommes . Le lendemain le poste fut repris , et l'ennemi , cerné par les de troupes qui avaient marché du camp Famars , du camp de Maulde et de la garnison de Douai , n ...
... colonnes ennemies tirèrent l'une sur l'autre et perdirent cinq cents hommes . Le lendemain le poste fut repris , et l'ennemi , cerné par les de troupes qui avaient marché du camp Famars , du camp de Maulde et de la garnison de Douai , n ...
Page 240
... colonnes attaquantes devenait nul . Leur ordre de marche était mieux réglé ; la force de l'opinion peut seule expliquer l'obéis- sance , la docilité de ces masses nombreuses et mobiles : elles avançaient de tous les points de Paris ...
... colonnes attaquantes devenait nul . Leur ordre de marche était mieux réglé ; la force de l'opinion peut seule expliquer l'obéis- sance , la docilité de ces masses nombreuses et mobiles : elles avançaient de tous les points de Paris ...
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Common terms and phrases
août armées armes assurer attaque autrichien avaient bataillons Brissot Brunswick c'était camp camp de Maulde canon cavalerie Châlons château citoyens Clairfait Clairfayt coalisées comité comité autrichien commandant commissaires conseil constitution constitutionnel corps législatif Croix-aux-Bois Custine déclaration décret d'accusation défense déja départements députés devait Dumourier ennemis ensuite envoyés Ettenheim eût événements force française frontières garde nationale gardes suisses général Dillon Grand-Pré grenadiers guerre jacobins jour Kellermann L'armée du centre l'assem l'assemblée nationale l'ennemi l'état Lafayette laisser liberté Longwy Lukner maire mandé marche membres ment messieurs mesures militaire mille hommes ministre mouvement moyens municipalité n'avait n'était nation officiers ordres passer patrie patriotes Pétion peuple Pièces place politique porter position poste pouvait pouvoir exécutif pré premier président princes Prusse Prussiens public publique rassemblements reine reste retraite réunir révolution Rochambeau s'était Sainte-Menehould sanction séance Sedan semblée sentiments serment seul soldats sureté système tion toyens tribunes troupes Valmy Verdun voulait
Popular passages
Page 31 - Je jure de mourir plutôt que de souffrir l'invasion du territoire français par des troupes étrangères, et de n'obéir qu'aux ordres qui seront donnés en conséquence des décrets de l'Assemblée nationale.
Page 129 - Messieurs, disait-il, au moment trop différé peut-être où j'allais appeler votre attention sur de grands intérêts publics, et désigner, parmi nos dangers, la conduite d'un ministère que ma correspondance accusait depuis longtemps, j'apprends que, démasqué par ses divisions, il a succombé sous ses propres intrigues; car sans doute ce n'est pas en sacrifiant trois collègues asservis par leur insignifiance à son pouvoir que le moins excusable , le plus noté de ces ministresi aura cimenté,...
Page 137 - Messieurs, j'ai obéi à ma conscience, à mes sermens ; je le devais à la patrie, à vous, au roi, et surtout à moimême, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'Assemblée nationale y trouvera un nouvel hommage de mon dévouement à son autorité constitutionnelle, de ma reconnaissance personnelle et de mon respect pour elle. Signé LA FAYETTE.
Page 4 - Mais aucun danger ne pourra lui faire oublier que le sol de la France appartient tout entier à la liberté , et que la loi de l'égalité y doit être universelle. Elle présentera au monde le spectacle nouveau d'une nation vraiment libre, soumise aux règles de la justice , au milieu des orages de la guerre , et respectant partout , en tout temps , à l'égard de tous les hommes , les droits qui sont les mêmes pour tous. ' La paix que le mensonge , l'intrigue et la trahison ont éloignée, ne...
Page 27 - J'ai dû épuiser tous les moyens de maintenir la paix. Maintenant je viens, aux termes de la constitution, vous proposer formellement la guerre contre le roi de Hongrie et de Bohême.
Page 59 - Majesté a constitutionnellement refusée à deux décrets. » Le roi n'a opposé aux menaces et aux insultes des factieux que sa conscience et son amour pour le bien public. >. Le roi ignore quel sera le...
Page 27 - Constitution, de n'entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et de n'employer jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple, ne prend les armes que pour la défense de sa liberté et de son indépendance; que la guerre qu'elle est obligée de soutenir n'est point une guerre de nation à nation, mais la juste défense d'un peuple libre contre l'injuste agression d'un roi...
Page 131 - C'est elle que j'en accuse hautement. Organisée comme un empire à part dans sa métropole et dans ses affiliations, aveuglément dirigée par quelques chefs ambitieux, cette secte forme une corporation distincte au milieu du peuple français, dont elle usurpe les pouvoirs en subjuguant ses représentons et ses mandataires.