Revue d'histoire littéraire de la France, Volume 32 |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Contents
1 | |
38 | |
50 | |
79 | |
98 | |
105 | |
127 | |
136 | |
295 | |
304 | |
311 | |
318 | |
397 | |
406 | |
457 | |
464 | |
142 | |
242 | |
253 | |
260 | |
282 | |
286 | |
470 | |
477 | |
602 | |
608 | |
616 | |
624 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
août article assez aurait avant avoit avril Cannes cardinal Catalogue cause Chateaubriand chose complète Correspondance cours critique d'autres date décembre demande dernier devant Dieu dire doit donne doute écrit édition Édouard Champion enfin étude femme février Fontaine forme française général gens Grèce Histoire homme Hugo Ibid idées Inconnue inédites J'ai janvier jeune jour Journal juge juillet juin l'auteur l'histoire l'homme laisser Lamartine langue Lettre lieu littéraire livre lui-même Madame mars Mémoires ment Méré mieux monde mort nature naturelle note nouveau nouvelle novembre octobre ouvrages pages Panizzi parle passage passé pensée père personne peut-être pièce place Poèmes poésie poète porte première présent propos Proudhon publié qu'un question raison relations reste Revue rien roman Rousseau s'est s'il Sainte-Beuve semble sens sentiment septembre serait seulement siècle société soir sorte suivant sujet surtout texte titre trait trouve Vente vérité volume vrai
Popular passages
Page 33 - Conscience! conscience! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné , mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal , qui rends l'homme semblable à Dieu! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 497 - Ce sexe va plus loin que le nôtre dans ce genre d'écrire. Elles trouvent sous leur plume des tours et des expressions qui souvent en nous ne sont l'effet que d'un long travail et d'une pénible recherche; elles sont heureuses dans le choix des termes...
Page 177 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 85 - Le vrai Dieu, le Dieu fort est le Dieu des idées! Sur nos fronts où le germe est jeté par le sort, Répandons le savoir en fécondes ondées; Puis, recueillant le fruit tel que de l'âme il sort, Tout empreint du parfum des saintes solitudes, Jetons l'œuvre à la mer, la mer des multitudes : — Dieu la prendra du doigt pour la conduire au port.
Page 155 - J'ai parcouru ces deux journaux. Ces jeunes gens ne manquent certes pas de talent, mais que de folies! que d'inexactitudes 1 quelles exagérations! quel manque de précision ! Pour dire la vérité, ils me font une peur de chien. Je n'aime rien tant que d'être seul.
Page 104 - Son sacrifice est fait ; mais il faut que la terre Recueille du travail le pieux monument. C'est le journal savant, le calcul solitaire, Plus rare que la perle et que le diamant ; C'est la carte des flots faite dans la tempête, La carte de l'écueil qui va briser sa tête : Aux voyageurs futurs sublime testament.
Page 82 - Ce sont les sévères artistes Que l'aube attire à ses blancheurs, Les savants, les inventeurs tristes, Les puiseurs d'ombre, les chercheurs, Qui ramassent dans les ténèbres Les faits, les chiffres, les algèbres, Le nombre où tout est contenu, Le doute où nos calculs succombent, Et tous les morceaux noirs qui tombent Du grand fronton de l'inconnu!
Page 106 - Au pied de l'échafaud j'essaye encor ma lyre. Peut-être est-ce bientôt mon tour. Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière. Avant que de ses deux moitiés...
Page 32 - Mon enfant, il n'ya point de bonheur sans courage, ni de vertu sans combat. Le mot de vertu vient de force; la force est la base de toute vertu. La vertu n'appartient qu'à un être faible par sa nature, et fort par sa volonté...
Page 24 - L'Emile, en particulier, ce livre tant lu, si peu entendu, et si mal apprécié, n'est qu'un traité de la bonté originelle de l'homme, destiné à montrer comment le vice et l'erreur, étrangers à sa constitution, s'y introduisent du dehors, et l'altèrent insensiblement.