Histoire de la révolution et de l'empire, Volume 2Jacques Lecoffre et Cie, libraires-éditeurs, 1858 - France |
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... C'était un écrivain doué de quelques talents , mais à qui manquaient la probité et l'esprit de travail . Livré à de continuels besoins d'ar- Brissot . Oct. 1791. gent , il avait passé sa jeunesse à ASSEMBLÉE LÉGISLATIVE . 9.
... C'était un écrivain doué de quelques talents , mais à qui manquaient la probité et l'esprit de travail . Livré à de continuels besoins d'ar- Brissot . Oct. 1791. gent , il avait passé sa jeunesse à ASSEMBLÉE LÉGISLATIVE . 9.
Page 10
... c'était le rehausser à ses propres yeux , et le tirer du mépris pour l'ériger en victime . Peu de mois après , Brissot , com- prenant le besoin de se faire oublier , voyageait en Amé- rique , et obtenait de Franklin et de Washington ...
... c'était le rehausser à ses propres yeux , et le tirer du mépris pour l'ériger en victime . Peu de mois après , Brissot , com- prenant le besoin de se faire oublier , voyageait en Amé- rique , et obtenait de Franklin et de Washington ...
Page 11
... C'était d'ailleurs un homme qui aurait regardé en arrière sa vie sans y trouver la bassesse ou l'improbité , s'il avait pu oublier que , de concert avec Voltaire , il avait autrefois érigé le mensonge en sys- tème , afin d'épargner à la ...
... C'était d'ailleurs un homme qui aurait regardé en arrière sa vie sans y trouver la bassesse ou l'improbité , s'il avait pu oublier que , de concert avec Voltaire , il avait autrefois érigé le mensonge en sys- tème , afin d'épargner à la ...
Page 12
... c'était avec une ardeur aveugle , mais sincère , qu'en étendant ses doctrines il croyait travailler au bonheur de l'espèce humaine . Son esprit était actif et laborieux , ses mœurs douces , son caractère parfois sus- ceptible de ...
... c'était avec une ardeur aveugle , mais sincère , qu'en étendant ses doctrines il croyait travailler au bonheur de l'espèce humaine . Son esprit était actif et laborieux , ses mœurs douces , son caractère parfois sus- ceptible de ...
Page 17
... C'était une cohue d'agitateurs , de mécontents et d'ambitieux plus ou moins hypocrites , dans le sein desquels s'étaient glissés , pour pousser au désordre , des émissaires ca- chés de l'Angleterre et de la Prusse , et avec eux les ...
... C'était une cohue d'agitateurs , de mécontents et d'ambitieux plus ou moins hypocrites , dans le sein desquels s'étaient glissés , pour pousser au désordre , des émissaires ca- chés de l'Angleterre et de la Prusse , et avec eux les ...
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Common terms and phrases
10 août administrateur du département administrateur du directoire applaudissements armées assassins avaient Brissot c'était camp chefs citoyens clergé club club des feuillants commandement commune conseil constitution constitutionnel courage crime Croix-aux-Bois curé Danton déclaration décret DÉPUTÉS despotisme devait directoire du département directoire du district Dumouriez émigrés ennemis Fayette feuillants force française garde nationale Gironde girondins guerre homme de loi idem jacobins Janv jour juge au tribunal juge de paix Juillet Juin Kellermann l'armée l'assemblée législative l'assemblée nationale l'ennemi l'évêque LÉGISLAT Lessart liberté Longwy Louis XVI Luckner madame madame de Staël madame Roland maire Majesté massacres membre du directoire menaces ment ministre mort nation officier municipal patrie patriotes Péthion peuple porter prêtres princes procureur général syndic procureur syndic reine républicains révolution révolution française révolutionnaire Robespierre Roland royale royaume Sainte-Menehould sang séance Sept sera serment syndic du district tion tribunal du district tribune troupes Tuileries tyrans Vergniaud vicaire
Popular passages
Page 368 - La Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements, qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le...
Page 257 - Tuileries est forcé ou insulté, que s'il est fait la moindre violence, le moindre outrage à Leurs Majestés le roi, la reine et la famille royale, s'il n'est pas pourvu immédiatement à leur sûreté, à leur conservation et à leur liberté, elles en tireront une vengeance exemplaire et à jamais mémorable, en livrant la ville de Paris à une exécution militaire et à une subversion totale, et les révoltés coupables d'attentats aux supplices qu'ils auront mérités.
Page 218 - ... la puissance qui vous servirait à les braver; la constitution, que pour qu'elle ne vous précipitât pas du trône, où vous aviez besoin de rester pour la détruire; la nation, que pour assurer le succès de vos perfidies en lui inspirant de la confiance : pensez-vous nous abuser...
Page 403 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 361 - Hier fut un jour sur les événements duquel IL FAUT peut-être laisser UN VOILE. Je sais que le Peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice...
Page 198 - Majesté a constitutionnellement refusée à deux décrets. Le roi n'a opposé aux menaces et aux insultes des factieux que sa conscience et son amour pour le bien public. Le roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter, mais il a besoin de dire à la Nation française que la violence, à...
Page 256 - ... pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris...
Page 403 - Le nouvel évêque ne pourra s'adresser au pape pour en obtenir aucune confirmation ; mais il lui écrira comme au chef visible de l'Église universelle, en témoignage de l'unité de foi et de la communion qu'il doit entretenir avec lui.
Page 402 - L'élection des curés ne pourra se faire ou être commencée qu'un jour de dimanche dans la principale église du chef-lieu de district, à l'issue de la messe paroissiale, à laquelle tous les électeurs seront tenus d'assister.
Page 97 - De cette tribune où je vous parle, on aperçoit le « palais où des conseillers pervers égarent et trou« blent le roi que la constitution nous a donné, forgent « les fers dont ils veulent nous enchaîner, et préparent « les manœuvres qui doivent nous livrer à la maison « 'd'Autriche. Je vois les fenêtres du palais où l'on trame « la contre-révolution, où l'on combine les moyens de « nous replonger dans les horreurs de l'esclavage...