 | Victor Hugo - French poetry - 1844 - 310 pages
...L'air était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son cœur s'est répandu ! L'automne souriait; les...doré; Et les oiseaux , tournés vers celui que tout nomme , Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'bomme, Chantaient leur chant sacré ! H voulut... | |
 | Victor Hugo - 1855 - 612 pages
...ces lieux où par tant de blessures Son cœur s'est répandu ! L'automne souriait; les coteaux vers U plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient...doré; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disant peut-êlre à J)ieu quelque chose de l'homme. Chantaient leur chant sacré! • II voulut... | |
 | Eugène Crépet - French poetry - 1863 - 778 pages
...L'air était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son cœur s'est répandu ! L'automne souriait; les...doré ; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré l II voulut... | |
 | Victor Hugo - 1869 - 488 pages
...était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où, par tant de blessures, Son cœur s'est répandu ! L'automne souriait ; les...doré ; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré ! H voulut... | |
 | Victor Hugo - 1876 - 532 pages
...L'air était plein d'encens et les prés de verdures Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son cœur s'est répandu! L'automne souriait; les...charmants qui jaunissaient à peine, Le ciel était doré : ït les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, lisant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme,... | |
 | Victor Hugo - 1880 - 618 pages
...était plein d'encens et les prés de verdure» Quand il revit ces lieux où par tant de Uebburi'« Son cœur s'est répandu. L'automne souriait ; les...jaunissaient à peine ; Le ciel était doré; Et les oiseaux, tournée vers celui que tout uomme, Disant peut.être à Dieu quelque chose de l'homme, Il voulut tout... | |
 | Alphonse Leclaire - Canada - 1887 - 828 pages
...toux, résultat de nos imprudences de la veille, la ramenait au lit. L'automne souriait ; les côteanx vers la plaine Penchaient leurs bois charmants qui...doré ; Et les oiseaux tournés vers celui que tout nomme, Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme Chantaient leur chant sacré 1 L'automne... | |
 | Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen (France) - Science - 1891 - 312 pages
...leurs plus touchants accents, leurs plus belles poésies? (1) A. de Lamartine, Harmonies poétiques. L'automne souriait; les coteaux vers la plaine Penchaient...doré : Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disaient peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré (1) I C'est... | |
 | Arthur Graves Canfield - French poetry - 1899 - 430 pages
...était plein d'encens et les prés de verdures, Quand il revit ces lieux où par tant de blessures Son cœur s'est répandu. L'automne souriait ; les...doré ; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré. Il voulut... | |
 | Arthur Graves Canfield - French poetry - 1899 - 416 pages
...où par tant de blessures Son cœur s'est répandu. L'automne souriait ; les coteaux vers la-plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à...doré ; Et les oiseaux, tournés vers celui que tout nomme, Disant peut-être à Dieu quelque chose de l'homme, Chantaient leur chant sacré. Il voulut... | |
| |
L'automne souriait ; les coteaux vers la plaine Penchaient leurs bois charmants qui jaunissaient à peine, Le ciel était doré... 
