Histoire des Girondins et des massacres de septembre, Volume 1Dentu, 1860 - French Revolution, 1789-1792 (Assemblée Nationale) |
From inside the book
Results 1-5 of 63
Page viii
... pouvait remplir , dans toute sa sévérité , envers les personnes comme envers les choses , sa nécessaire et redoutable fonc- tion pour elle , tout dire est un rigoureux devoir , dès qu'elle peut parler sans scandale inutile . Paris , 10 ...
... pouvait remplir , dans toute sa sévérité , envers les personnes comme envers les choses , sa nécessaire et redoutable fonc- tion pour elle , tout dire est un rigoureux devoir , dès qu'elle peut parler sans scandale inutile . Paris , 10 ...
Page 9
... pouvait même pas le sauver , ce Girondin avoua que le monstre qui avait tranché les jours de Marat avait été vomi par le côté droit , et que c'était cet événement qui l'avait éclairé 2 . Interrogé sur ses relations avec Petion , son ...
... pouvait même pas le sauver , ce Girondin avoua que le monstre qui avait tranché les jours de Marat avait été vomi par le côté droit , et que c'était cet événement qui l'avait éclairé 2 . Interrogé sur ses relations avec Petion , son ...
Page 13
... Convention nationale , nous nous rassemblâmes sept patriotes pour aller diner ensemble . Ducos nous aborda , et nous de- Bulletin du Tribunal révolutionnaire , 2e partie , p . 195 . • que manda s'il pouvait venir avec nous . Nous -- 13.
... Convention nationale , nous nous rassemblâmes sept patriotes pour aller diner ensemble . Ducos nous aborda , et nous de- Bulletin du Tribunal révolutionnaire , 2e partie , p . 195 . • que manda s'il pouvait venir avec nous . Nous -- 13.
Page 14
Bernard Adolphe Granier de Cassagnac. • que manda s'il pouvait venir avec nous . Nous lui dîmes oui . Pendant le diner , la conversation se passa , de notre part , en peintures du caractère des membres de la faction et de leur marche ...
Bernard Adolphe Granier de Cassagnac. • que manda s'il pouvait venir avec nous . Nous lui dîmes oui . Pendant le diner , la conversation se passa , de notre part , en peintures du caractère des membres de la faction et de leur marche ...
Page 15
... pouvait pas les unir , au moins en apparence , et tant qu'ils restaient sous les yeux de leurs bourreaux ? Nous allons montrer qu'en effet ils n'en avaient pas ; et que ces chefs d'un des plus grands partis de la Révolution n'avaient ...
... pouvait pas les unir , au moins en apparence , et tant qu'ils restaient sous les yeux de leurs bourreaux ? Nous allons montrer qu'en effet ils n'en avaient pas ; et que ces chefs d'un des plus grands partis de la Révolution n'avaient ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
10 août 20 juin adresses arrêté assassins avaient Bailleul banquet Barbaroux bataillon Bertrand de Molleville Brissot Bulletin du Tribunal Buzot c'était Camille Desmoulins cents château Chronique de cinquante cinquante jours citoyens clubs comité Commune Conciergerie Condorcet Constitution Convention Danton déchéance déclaration décret département député directoire dit-il Ducos Dumouriez écroué eût factieux faction faubourg Saint-Antoine Fayette Fédérés femme Fonfrède force fût garde nationale général Gensonné Gironde Girondins Gonchon Guadet heures Histoire hommes Ibid Jacobins juillet l'Assemblée législative l'Assemblée nationale l'émeute l'hôtel l'insurrection Lasource lettre liberté Louis XVI Louvet madame Roland maire Mandat Marat Marseillais massacres Mathon Mémoires ment ministres monarchie Moniteur mort n'avait n'était nommé octobre officiers municipaux patrie patriotes Peltier personne Petion peuple philosophie politique prison Prudhomme raison reine République reste Révolution du 10 Riouffe Robespierre Roederer Roux royale s'était séance sections septembre serait seul Sillery sort tion transféré Tribunal révolutionnaire tribune trouve Tuileries Varenne Vergniaud
Popular passages
Page 376 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 377 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 376 - Amour sacré de la Patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ; Liberté, liberté chérie, Combats avec tes défenseurs : Sous nos drapeaux que la victoire Accoure à tes mâles accents ; Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens! formez vos bataillons ! Marcbons, qu'un sang impur abreuve nos sillons!
Page 375 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc. Quoi ! ces cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers...
Page 114 - Par un reste d'indulgence, nous aurions désiré pouvoir vous demander la suspension de Louis XVI tant qu'existe le danger de la patrie; mais la Constitution s'y oppose. Louis XVI invoque sans cesse la Constitution ; nous l'invoquons à notre tour et nous demandons sa déchéance. « Cette grande mesure une fois portée, comme il est très-douteux que la nation puisse avoir confiance en la dynastie actuelle, nous demandons que des ministres...
Page 122 - Vraiment, puisqu'on crie tant sur ces fichues Lettres, je me repens bien de n'en avoir pas dit davantage. Va, va, Pascal, laisse-moi faire! tu as un chapitre sur les prophéties, où il n'ya pas l'ombre du bon sens ; attends, attends!
Page 245 - Français, disait la proclamation, n'auront pas appris sans douleur qu'une multitude égarée par quelques factieux est venue à main armée dans l'habitation du roi, a traîné du canon jusque dans la salle des Gardes, a enfoncé les portes de son appartement à coups de hache, et là, abusant...
Page 440 - ... un drapeau rouge, et en même temps les officiers municipaux requerront les chefs des gardes nationales, des troupes réglées et des maréchaussées, de prêter main-forte.
Page 72 - Ravage se lait; mais le lendemain matin , on s'aperçoit qu'on lui avait attaché à la queue un assignat de cent sous avec un petit billet où étaient écrits ces mots : On peut corrompre Ravage avec un assignat de cent sous et un paquet de pieds de mouton.
Page 199 - Tudieu ! tout Parisiens que vous êtes, vous n'y voyez pas plus loin que votre nez, ou vous manquez de vigueur pour faire marcher votre assemblée ! Ce ne sont pas nos représentants qui ont fait la révolution; à part une quinzaine, le reste est au-dessous d'elle : c'est l'opinion publique, c'est le peuple , qui va toujours bien quand cette opinion le dirige avec justesse. C'est à Paris qu'est le siége de cette opinion : achevez donc votre ouvrage, ou attendez-vous de l'arroser de votre sang.