Histoire des Girondins et des massacres de septembre, Volume 1Dentu, 1860 - French Revolution, 1789-1792 (Assemblée Nationale) |
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Page 83
... mari , ancien comman- . dant de Longwy ; et quand elle vit bien clairement qu'il n'y avait rien à espérer des juges , elle cria de toutes ses forces , et à plusieurs reprises : Vive le roi ! Arrêtée immédiatement , et conduite sur les ...
... mari , ancien comman- . dant de Longwy ; et quand elle vit bien clairement qu'il n'y avait rien à espérer des juges , elle cria de toutes ses forces , et à plusieurs reprises : Vive le roi ! Arrêtée immédiatement , et conduite sur les ...
Page 131
... mari , qui n'avait pas de passion pour elle ; mais il y avait des degrés entre cette situation domestique , et des efforts tentés en commun , pour que la jeune mariée devint 1 Moniteur du 10 juillet 1793 , Discours de Chabot . la ...
... mari , qui n'avait pas de passion pour elle ; mais il y avait des degrés entre cette situation domestique , et des efforts tentés en commun , pour que la jeune mariée devint 1 Moniteur du 10 juillet 1793 , Discours de Chabot . la ...
Page 142
... mari pour l'Angleterre . Elle y resta jusqu'au moment où M. le duc de Chartres , par la mort du prince son père , devint duc d'Orléans . J'ob- tins alors un emploi de mille écus , avec un logement à la chancellerie d'Orléans , pour M ...
... mari pour l'Angleterre . Elle y resta jusqu'au moment où M. le duc de Chartres , par la mort du prince son père , devint duc d'Orléans . J'ob- tins alors un emploi de mille écus , avec un logement à la chancellerie d'Orléans , pour M ...
Page 182
... mari l'un des hommes les plus esti- mables qui existent ; mais j'ai senti souvent qu'il man- quait entre nous de parité . Si nous vivions dans la solitude , j'avais des heures quelquefois pénibles à passer ; si nous allions dans le ...
... mari l'un des hommes les plus esti- mables qui existent ; mais j'ai senti souvent qu'il man- quait entre nous de parité . Si nous vivions dans la solitude , j'avais des heures quelquefois pénibles à passer ; si nous allions dans le ...
Page 185
... mari , le vrai ministre de l'intérieur , avant et après le 10 août 1792. Le lecteur va d'ailleurs être juge de la ques- tion ; voici comment s'expriment les auteurs de l'Histoire parlementaire de la Révolution française . « Les Mémoires ...
... mari , le vrai ministre de l'intérieur , avant et après le 10 août 1792. Le lecteur va d'ailleurs être juge de la ques- tion ; voici comment s'expriment les auteurs de l'Histoire parlementaire de la Révolution française . « Les Mémoires ...
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Common terms and phrases
10 août 20 juin adresses arrêté assassins avaient Bailleul banquet Barbaroux bataillon Bertrand de Molleville Brissot Bulletin du Tribunal Buzot c'était Camille Desmoulins cents château Chronique de cinquante cinquante jours citoyens clubs comité Commune Conciergerie Condorcet Constitution Convention Danton déchéance déclaration décret département député directoire dit-il Ducos Dumouriez écroué eût factieux faction faubourg Saint-Antoine Fayette Fédérés femme Fonfrède force fût garde nationale général Gensonné Gironde Girondins Gonchon Guadet heures Histoire hommes Ibid Jacobins juillet l'Assemblée législative l'Assemblée nationale l'émeute l'hôtel l'insurrection Lasource lettre liberté Louis XVI Louvet madame Roland maire Mandat Marat Marseillais massacres Mathon Mémoires ment ministres monarchie Moniteur mort n'avait n'était nommé octobre officiers municipaux patrie patriotes Peltier personne Petion peuple philosophie politique prison Prudhomme raison reine République reste Révolution du 10 Riouffe Robespierre Roederer Roux royale s'était séance sections septembre serait seul Sillery sort tion transféré Tribunal révolutionnaire tribune trouve Tuileries Varenne Vergniaud
Popular passages
Page 376 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 377 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 376 - Amour sacré de la Patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ; Liberté, liberté chérie, Combats avec tes défenseurs : Sous nos drapeaux que la victoire Accoure à tes mâles accents ; Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens! formez vos bataillons ! Marcbons, qu'un sang impur abreuve nos sillons!
Page 375 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc. Quoi ! ces cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers...
Page 114 - Par un reste d'indulgence, nous aurions désiré pouvoir vous demander la suspension de Louis XVI tant qu'existe le danger de la patrie; mais la Constitution s'y oppose. Louis XVI invoque sans cesse la Constitution ; nous l'invoquons à notre tour et nous demandons sa déchéance. « Cette grande mesure une fois portée, comme il est très-douteux que la nation puisse avoir confiance en la dynastie actuelle, nous demandons que des ministres...
Page 122 - Vraiment, puisqu'on crie tant sur ces fichues Lettres, je me repens bien de n'en avoir pas dit davantage. Va, va, Pascal, laisse-moi faire! tu as un chapitre sur les prophéties, où il n'ya pas l'ombre du bon sens ; attends, attends!
Page 245 - Français, disait la proclamation, n'auront pas appris sans douleur qu'une multitude égarée par quelques factieux est venue à main armée dans l'habitation du roi, a traîné du canon jusque dans la salle des Gardes, a enfoncé les portes de son appartement à coups de hache, et là, abusant...
Page 440 - ... un drapeau rouge, et en même temps les officiers municipaux requerront les chefs des gardes nationales, des troupes réglées et des maréchaussées, de prêter main-forte.
Page 72 - Ravage se lait; mais le lendemain matin , on s'aperçoit qu'on lui avait attaché à la queue un assignat de cent sous avec un petit billet où étaient écrits ces mots : On peut corrompre Ravage avec un assignat de cent sous et un paquet de pieds de mouton.
Page 199 - Tudieu ! tout Parisiens que vous êtes, vous n'y voyez pas plus loin que votre nez, ou vous manquez de vigueur pour faire marcher votre assemblée ! Ce ne sont pas nos représentants qui ont fait la révolution; à part une quinzaine, le reste est au-dessous d'elle : c'est l'opinion publique, c'est le peuple , qui va toujours bien quand cette opinion le dirige avec justesse. C'est à Paris qu'est le siége de cette opinion : achevez donc votre ouvrage, ou attendez-vous de l'arroser de votre sang.