Histoire des Girondins et des massacres de septembre, Volume 1Dentu, 1860 - French Revolution, 1789-1792 (Assemblée Nationale) |
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... conduite ; on a vu Vigée déclarer qu'il connais- sait fort peu ses collègues ; on a vu Vergniaud se défendre de toute intimité avec Brissot et avec Gensonné ; on a vu Sillery renier Petion , auquel il avait pourtant confié sa femme ; on ...
... conduite ; on a vu Vigée déclarer qu'il connais- sait fort peu ses collègues ; on a vu Vergniaud se défendre de toute intimité avec Brissot et avec Gensonné ; on a vu Sillery renier Petion , auquel il avait pourtant confié sa femme ; on ...
Page 23
... conduite qu'avaient tenue dans cette journée les habi- tants de cette ville , JE FIS DÉCRÉTER QU'ILS AVAIENT BIEN MÉRITÉ DE LA PATRIE 1 . » Tout cela était vrai ! Vergniaud fut pénétré d'ad- miration pour une Commune qui cerna la ...
... conduite qu'avaient tenue dans cette journée les habi- tants de cette ville , JE FIS DÉCRÉTER QU'ILS AVAIENT BIEN MÉRITÉ DE LA PATRIE 1 . » Tout cela était vrai ! Vergniaud fut pénétré d'ad- miration pour une Commune qui cerna la ...
Page 41
... conduite énergique et pure à la Convention nationale lui méritait bien cette distinc- tion . On se contenta cependant de le colloquer parmi les soixante - treize dont il partagea la rigou- reuse destinée , jusqu'à leur rappel solennel ...
... conduite énergique et pure à la Convention nationale lui méritait bien cette distinc- tion . On se contenta cependant de le colloquer parmi les soixante - treize dont il partagea la rigou- reuse destinée , jusqu'à leur rappel solennel ...
Page 83
... conduite sur les gradins du tribunal , à côté de son mari , eile fut con- damnée avec lui , et conduite à l'échafaud sur la même charrette 2 . Avoye Laville - Costard3 travaillait , avec Boyer- Brun , à la rédaction du Journal des ...
... conduite sur les gradins du tribunal , à côté de son mari , eile fut con- damnée avec lui , et conduite à l'échafaud sur la même charrette 2 . Avoye Laville - Costard3 travaillait , avec Boyer- Brun , à la rédaction du Journal des ...
Page 123
... conduite n'a que trop prouvé combien je me trom- pais , et encore aujourd'hui je ne puis , sans un sen- timent pénible , songer que je m'en suis laissé impo- ser par un coquin aussi niais ' . » 1 Bertrand de Molleville , Mémoires , t ...
... conduite n'a que trop prouvé combien je me trom- pais , et encore aujourd'hui je ne puis , sans un sen- timent pénible , songer que je m'en suis laissé impo- ser par un coquin aussi niais ' . » 1 Bertrand de Molleville , Mémoires , t ...
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Common terms and phrases
10 août 20 juin adresses arrêté assassins avaient Bailleul banquet Barbaroux bataillon Bertrand de Molleville Brissot Bulletin du Tribunal Buzot c'était Camille Desmoulins cents château Chronique de cinquante cinquante jours citoyens clubs comité Commune Conciergerie Condorcet Constitution Convention Danton déchéance déclaration décret département député directoire dit-il Ducos Dumouriez écroué eût factieux faction faubourg Saint-Antoine Fayette Fédérés femme Fonfrède force fût garde nationale général Gensonné Gironde Girondins Gonchon Guadet heures Histoire hommes Ibid Jacobins juillet l'Assemblée législative l'Assemblée nationale l'émeute l'hôtel l'insurrection Lasource lettre liberté Louis XVI Louvet madame Roland maire Mandat Marat Marseillais massacres Mathon Mémoires ment ministres monarchie Moniteur mort n'avait n'était nommé octobre officiers municipaux patrie patriotes Peltier personne Petion peuple philosophie politique prison Prudhomme raison reine République reste Révolution du 10 Riouffe Robespierre Roederer Roux royale s'était séance sections septembre serait seul Sillery sort tion transféré Tribunal révolutionnaire tribune trouve Tuileries Varenne Vergniaud
Popular passages
Page 376 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 377 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 376 - Amour sacré de la Patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ; Liberté, liberté chérie, Combats avec tes défenseurs : Sous nos drapeaux que la victoire Accoure à tes mâles accents ; Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens! formez vos bataillons ! Marcbons, qu'un sang impur abreuve nos sillons!
Page 375 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc. Quoi ! ces cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers...
Page 114 - Par un reste d'indulgence, nous aurions désiré pouvoir vous demander la suspension de Louis XVI tant qu'existe le danger de la patrie; mais la Constitution s'y oppose. Louis XVI invoque sans cesse la Constitution ; nous l'invoquons à notre tour et nous demandons sa déchéance. « Cette grande mesure une fois portée, comme il est très-douteux que la nation puisse avoir confiance en la dynastie actuelle, nous demandons que des ministres...
Page 122 - Vraiment, puisqu'on crie tant sur ces fichues Lettres, je me repens bien de n'en avoir pas dit davantage. Va, va, Pascal, laisse-moi faire! tu as un chapitre sur les prophéties, où il n'ya pas l'ombre du bon sens ; attends, attends!
Page 245 - Français, disait la proclamation, n'auront pas appris sans douleur qu'une multitude égarée par quelques factieux est venue à main armée dans l'habitation du roi, a traîné du canon jusque dans la salle des Gardes, a enfoncé les portes de son appartement à coups de hache, et là, abusant...
Page 440 - ... un drapeau rouge, et en même temps les officiers municipaux requerront les chefs des gardes nationales, des troupes réglées et des maréchaussées, de prêter main-forte.
Page 72 - Ravage se lait; mais le lendemain matin , on s'aperçoit qu'on lui avait attaché à la queue un assignat de cent sous avec un petit billet où étaient écrits ces mots : On peut corrompre Ravage avec un assignat de cent sous et un paquet de pieds de mouton.
Page 199 - Tudieu ! tout Parisiens que vous êtes, vous n'y voyez pas plus loin que votre nez, ou vous manquez de vigueur pour faire marcher votre assemblée ! Ce ne sont pas nos représentants qui ont fait la révolution; à part une quinzaine, le reste est au-dessous d'elle : c'est l'opinion publique, c'est le peuple , qui va toujours bien quand cette opinion le dirige avec justesse. C'est à Paris qu'est le siége de cette opinion : achevez donc votre ouvrage, ou attendez-vous de l'arroser de votre sang.