Histoire complète de Bordeaux, Volume 2, Parts 1-2

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 167 - Nous jurons d'être à jamais fidèles à la Nation, à la Loi et au Roi ; de maintenir de tout notre pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale, et acceptée par le Roi; de protéger...
Page 54 - ... de maintenir de tout leur pouvoir la constitution du royaume , d'être fidèles à la nation , à la loi et au roi...
Page 4 - ... sorte que chaque citoyen soit dans une parfaite indépendance de tous les autres , et dans une excessive dépendance de la cité : ce qui se fait toujours par les mêmes moyens; car il n'ya que la force de l'état qui fasse la liberté de ses membres.
Page 141 - La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 386 - La Constitution vous laissa-t-elle le choix des ministres pour notre bonheur ou notre ruine? VOUS fit-elle chef de l'armée pour notre gloire ou notre honte?
Page 260 - Je dois à mon honneur, je dois à ma famille de ne point souscrire à un jugement qui m'inculpe d'un crime que je ne puis me reprocher; en conséquence je déclare que j'interjette appel à la nation elle-même du jugement de ses, représentants; je donne, par ces présentes, pouvoir spécial à mes défenseurs officieux, et charge...
Page 399 - Enfin, Robespierre nous accuse d'être devenus tout à coup des modérés, des Feuillants. Nous, modérés ! Je ne l'étais pas le 10 août, Robespierre, quand tu étais caché dans ta cave. Des modérés ! Non, je ne le suis pas, dans ce sens que je veuille éteindre l'énergie nationale. Je sais que la liberté est toujours active comme la flamme; qu'elle est inconciliable avec ce calme parfait qui ne convient qu'à des esclaves. Si...
Page 366 - Le Pape est hors de Paris, et cela est bien; il n'est ni à Madrid ni à Vienne, et c'est pourquoi nous supportons son autorité spirituelle. A Vienne, à Madrid, on est fondé à en dire autant. Croit-on que, s'il était à Paris, les Viennois, les Espagnols consentiraient à recevoir ses décisions?
Page 381 - De cette tribune où je vous parle, on aperçoit le palais où des conseillers pervers égarent et trompent le Roi que la constitution nous a donné, forgent les fers dont ils veulent nous enchaîner, et préparent les manœuvres qui doivent nous livrer à la maison d'Autriche. Je vois les fenêtres du palais où l'on trame la contre-révolution, où l'on combine les moyens de nous replonger dans les horreurs de l'esclavage, après nous avoir fait passer par toutes les horreurs de l'anarchie et par...
Page 397 - Iriez-vous trouver ces faux amis, ces perfides flatteurs qui vous auraient précipités dans l'abîme? Ah ! fuyez plutôt, redoutez leur réponse.

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